Et si, selon lui, Napoléon mettait toujours sa main dans sa veste, c'était pour trois raisons. Une occasion de se demander ensuite si l'empereur ne se serait finalement pas retrouvé victime de sa propre personnalité impériale.
Il adoptait cette position quand il posait devant les peintres, pour avoir « la classe » ! C'était une question de bonnes manières : il était inconvenant de laisser pendre ses mains, le long de son corps ou de se les coller dans les poches du pantalon, comme un gueux.
Spéculations sur le geste
De nombreux mythes, qu'ils soient erronés ou crédibles, ont voulu raconter pourquoi Napoléon Bonaparte plaçait sa main droite dans son gilet.
La posture de l'époque
En effet, il était assez inconvenant de laisser pendre ses bras le long du corps ou de les croiser et malheureusement, les pantalons n'étaient pas dotés de poches. C'est pourquoi il était d'usage de porter la main à son torse.
Une enfance entre la Corse et la France
Louis Napoleone di Buonaparte est né le 15 août 1769 à Ajaccio, un an après l'achat de la Corse à la République de Gênes. Second fils de Carlo Maria Buonaparte et de Maria Letizia Ramonilo, il est issu d'une famille de treize enfants qui appartient à la petite noblesse corse.
Le coupable serait le général Charles de Montholon, un proche de l'Empereur. Il aurait empoisonné petit à petit Napoléon en versant quelques gouttes de poison dans le vin que consommait le général à Sainte-Hélène.
Au total, 19 bicornes napoléoniens ont été recensés à travers le monde sur les 120 portés au cours des quinze années de règne, dont la plupart demeure dans des musées. Celui-ci avait été acheté en 1814 par un politicien écossais dénommé Sir Michael Shaw-Stewart.
Selon le Dr Le Clerc, lors du Consulat, Napoléon souffrait probablement d'une insuffisance rénale chronique. Celle-ci serait liée à une maladie des reins consécutive à une hypertension artérielle (probable néphropathie d'origine vasculaire ou néphroangiosclérose).
Pourquoi Napoléon Bonaparte a-t-il était exilé à l'île d'Elbe ? Outre les victoires, Napoléon connu également de dures défaites. 31 mars 1814, après la difficile campagne de France, Paris tombe aux mains des Russes et des Prussiens. Devant ce désastre, Napoléon est alors contraint d'abdiquer.
Le divorce de Napoléon et Joséphine de Beauharnais
Le 1er décembre 1804, à la veille du sacre, le cardinal Fesch reçoit le consentement matrimonial des époux. Son union avec Joséphine étant restée sans descendance, Napoléon se décide à répudier son épouse en novembre 1809.
Napoléon choisit l'abeille comme un des symboles de ses armoiries. Associée à l'immortalité et la résurrection, c'est d'abord un moyen pour lui de rattacher sa dynastie aux origines de la France et de se démarquer de la Fleur de Lys, attribut de l'Ancien Régime.
Le choix des emblèmes impériaux : l'aigle et l'abeille
L'aigle renvoie au mythe des origines de Rome, fondatrice de la civilisation, et l'abeille à la lignée des rois mérovingiens.
« Patrie, Science, Gloire ». C'est finalement par ordre du 11 avril 1805 que l'Aigle impérial est officiellement attribué à l'École polytechnique. Il est possible que ce soit l'Empereur lui-même qui ait modifié la devise « Patrie, Science, Gloire » en « Pour la Patrie, les Sciences et la Gloire ».
Son titre : Napoléon Le Petit, un pamphlet en forme de cri d'indignation pour désigner le neveu du « premier » Napoléon ; ce « traître » celui en qui Hugo avait pourtant placé sa confiance pour les élections présidentielles de 1848. Louis Napoléon a proclamé la restauration de la dignité impériale.
Aujourd'hui intégré au musée de l'Armée, le Dôme des Invalides abrite la dernière demeure de Napoléon Ier. Les frères de l'empereur ainsi que l'Aiglon, son fils, reposent également à ses côtés.
Le Dôme abrite également le mausolée de Vauban, les sépultures de Napoléon II dit l'Aiglon, de Joseph et Jérôme Bonaparte, des généraux Bertrand et Duroc ainsi que celles des illustres maréchaux Foch et Lyautey.
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie.
Le 5 mai, à 4 h du matin, il prononce avec peine ses derniers mots : « À la tête de l'armée. » À moins que ce ne soit : « France… mon fils… armée… » On l'entend à peine avant qu'il ne plonge dans le coma.
Des précipitations intenses ont contribué à la déroute de l'armée napoléonienne à Waterloo, en 1815. Des pluies pas tout à fait dues au hasard, selon l'étude que vient de publier un chercheur britannique.
Après la défaite de Napoléon et le congrès de Vienne en 1815, la monarchie est réinstaurée en France. Louis XVIII (1815 - 1824) est proclamé "roi de France".
Parmi ces femmes, deux ont été très importantes. Il s'agit d'Éléonore Denuelle et de Marie Walewska.
Bien que certaines rumeurs parlent d'un assassinat, la plupart des historiens s'accordent à dire que la mort de Napoléon, survenue en 1821 alors qu'il avait 51 ans, est due à un cancer de l'estomac.
Marengo était devenu le cheval préféré de Napoléon qui l'avait monté dans plusieurs batailles jusqu'à Waterloo en 1815, où il a été capturé par les troupes de Wellington.
Napoléon Ier était à peine mis hors jeu que la France a vu apparaître une flopée de Napoléon ! Focus sur le dénommé Jean Charnay, qui réussira à tenir son rôle durant un mois. 9 août 1815. Cette fois, c'en est fini de la France pour Napoléon.
Il s'appelait Marengo. C'était un pur-sang arabe blanc-gris clair, capturé en Égypte en 1799. Il était le cheval préféré de Napoléon Bonaparte, qui le monta lors de plusieurs batailles victorieuses, de Marengo à Austerlitz, Iéna et Wagram.