Ce qui est responsable de notre jalousie, c'est notre peur de perdre l'autre personne et les perceptions que nous pouvons entretenir.
Il s'agit d'une lutte intérieure qui vient fragiliser notre sentiment de sécurité acquis. Quand on est jaloux, on souffre et on a tendance à faire souffrir l'autre. Et comme si ce n'était pas suffisant, très souvent on se rajoute une couche de honte et de jugement de soi.
"La jalousie est le plus souvent le fruit d'une grande anxiété, peur de l'abandon ou du rejet, ancrée à quelque chose d'ancien, l'enfance. Ce comportement avec l'entourage entraîne de la méfiance qui, dans les relations affectives, peut prendre beaucoup de place, rendant alors les échanges complexes.
La jalousie vous habite lorsque vous désirez ce que vous ne pouvez pas obtenir, alors, vous enviez les autres pour ce qu'ils ont que vous n'avez pas. Évidemment, la jalousie n'est pas objective et elle se manifeste souvent par de la méfiance, de l'agressivité, de l'inquiétude envers vous-même ou envers autrui.
Peur excessive de perdre l'autre, crainte démesurée de ne plus être aimé, angoisse profonde d'être abandonné au profit d'une autre personne : autant de sentiments que peut vivre la personne qui souffre de jalousie maladive.
La jalousie maladive repérée dès les premiers signes peut se soigner en développant la confiance en soi et la confiance en l'autre. On peut par exemple développer une activité personnelle d'expression ou de création, comme le théâtre ou la photographie.
La jalousie de l'aîné peut apparaître ou réapparaître lorsque le bébé parvient à un nouveau stade de sa vie : quand il apprend à marcher et qu'il se met à l'interrompre dans son jeu, à casser ses jouets, à les éparpiller ou quand il apprend à parler et qu'il devient capable de défier son grand frère ou sa grande soeur.
La jalousie apparaît quand un enfant a l'impression que sa mère ou son père donne plus d'amour et d'attention à quelqu'un d'autre, comme à un bébé ou à un nouveau conjoint. Mordre sa petite soeur ou faire des bêtises, c'est une façon de vous dire : «Tu t'occupes trop du bébé!
La jalousie n'est pas une preuve d'amour.
Ce n'est pas à toi de toujours rassurer ton conjoint, de te justifier et/ou de t'empêcher de sortir parce que ton ou ta partenaire s'est déjà fait tromper. Tu as un doute sur ta relation. Tu aimerais pouvoir en parler sans avoir peur d'être jugée?
Disputes à répétition, frustration, manipulation, manque de confiance en soi et en son/sa partenaire, manque d'estime de soi, insécurité, paranoïa, isolement … La jalousie excessive de l'autre peut vous faire perdre la tête et vous donner l'envie de le fuir.
La jalousie est la manifestation de la possessivité.
Cela s'accompagne de la peur de perdre et d'un sentiment d'envie. J'envie celui ou celle qui veut me prendre l'être aimé. Ce potentiel "prédateur" me paraît être "bien mieux que moi". Peur, envie, manque ce confiance en soi, créent le sentiment d'être en danger.
Trop de questions. Il ou elle vous demande des détails sur vos amis, se souvenant de choses dont vous ne vous rappelez pas. Il ou elle vous demande également des comptes sur votre journée et votre passé ! La question qu'il ou elle vous a posé aujourd'hui, il vous la reposera dans quelques jours.
Une femme jalouse posera un tas de question à son amie sur ses fréquentations, ses nouveaux collègues, son emploi du temps, jusqu'à l'indiscrétion. Vous sentez que vous avez ce mauvais penchant ? Essayez de prendre sur vous et laissez la personne que vous aimez venir à vous.
Ne pas ménager votre partenaire et lui dire clairement ce vous attendez de lui, sans avoir peur de le blesser. Partager vos émotions et parler de ce que vous ressentez au plus profond de vous en lui expliquant que sa jalousie vous fait souffrir et vous fait peur, l'aidera à vous comprendre et à se remettre en question.
Certaines personnes disent même que ce type de jalousie apporte du bon à la relation, comme s'il s'agissait d'un assaisonnement savoureux. Cependant, lorsque cette peur de la perte devient une obsession et crée un besoin de contrôle exagéré, on parle de jalousie pathologique.
« C'est parfaitement possible. Certains individus savent donner à leur partenaire une confiance pleine et entière sans être aiguillonné par la peur », affirme Florentine d'Aulnois-Wang, thérapeute de couple. La jalousie n'en reste pas moins un sentiment courant et acceptable, voire souhaitable (à petites doses).
Certes, il y a des familles où la jalousie semble passer d'une génération à l'autre, mais la génétique n'y est pour rien.
Contraire : désintéressé. 3. Qui préserve ce qu'il a.
La jalousie se fait entendre avec la régularité des composantes essentielles de la vie psychique. C'est sans doute la part de passion, voire de folie, qu'elle exalte qui lui donne sa puissance inspiratrice depuis la nuit des temps.
La personne malade de jalousie est totalement convaincue du bien-fondé de ses soupçons et malgré toutes les preuves ou explications, sa victime sera toujours coupable. La jalousie maladive opprime et mène à l'échec toute relation.
Consulter un psychologue peut régler le problème. Lorsque l'on est un jaloux pathologique, il est impossible de retrouver une vie amoureuse sereine et heureuse.
Faites preuve de compassion avec un jaloux
Vous pouvez être tentée de vous révolter contre la nature erronée de ces accusations, et lui répondre par de violentes critiques qui vont certainement envenimer la situation. La parade : Prenez conscience qu'il souffre et faites preuve de compassion !
Cette émotion est caractérisée par un mélange d'anxiété, d'insécurité et (souvent) d'agressivité relatif à la perte anticipée de quelque chose d'important. La jalousie est particulièrement présente dans les relations amoureuses et peut même être faussement valorisée.