Le taux global de participation au marché du travail chez les femmes est actuellement proche de 49 %, tandis que celui des hommes est de 75 %. Soit une différence de près de 26 points de pourcentage, qui atteint même 50 points de pourcentage dans certaines régions.
Tout d'abord, le nombre de femmes travaillant augmente considérablement, passant d'environ 40% au milieu des années 1940 à près de 70% aujourd'hui (67% en 2013, selon la DARES – Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques).
Les femmes et les filles jouent un rôle essentiel pour surmonter les plus grands défis auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui, et elles doivent être entendues, valorisées et appréciées dans l'ensemble de la société, afin que s'y reflètent leurs perspectives et leurs choix pour leur avenir et celui de l'avancement ...
Les femmes ont un rôle vital dans la gestion de l'environnement et le développement. Leur pleine participation est donc essentielle à la réalisation d'un développement durable.
De plus, les femmes sollicitent un soutien à 67% dans le lancement de leur entreprise, contre 57% pour les hommes. Or on sait a priori qu'un entrepreneur accompagné augmente considérablement ses chances de réussites.
Défi personnel – Double pression. Ainsi, les femmes ont fondé ou cofondé 49,12% des entreprises créées en 2013, selon l'étude GEM. Les femmes impliquées dans la création d'entreprises le font non pas par nécessité financière, mais plus pour relever un défi personnel.
L'entrepreneuriat féminin est donc très paradoxal : d'un côté la forte envie de se lancer, pour être libre, créer sa vie, être soi, et de l'autre la forte peur de rater, perdre de l'argent ou ne pas se payer. Le plus dur finalement, comme dans tout changement, semble de se lancer, de faire les premières démarches.
Une société dominée par les hommes. Le Code civil de 1804 place les femmes sous l'autorité de leur père, puis de leur mari. Considérées par la loi comme mineures, elles ne disposent pas des mêmes droits que les hommes, malgré l'égalité proclamée dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen en 1789.
L'empathie, l'écoute, la bienveillance, l'amour, la créativité, ... tant de façons d'être "féconde" même si l'on n'est pas maman !
Une femme moderne est une femme libre de ses choix. Certes, la liberté absolue n'existe pas, cependant, une femme moderne doit pouvoir, à l'instar de l'homme et à contraintes égales, prendre les décisions qu'elle estime lui convenir à elle et aux personnes qu'elle souhaite intégrer dans sa réflexion.
Les rôles de la femme et de l'homme dans la société, leurs représentations ont traversé les siècles sans subir de modifications significatives : au sexe dit faible, la tenue de la maison et l'éducation des enfants ; au sexe dit fort, le travail à l'extérieur, la charge de nourrir la famille et la prise de décisions.
Les femmes participent à la marche en avant de la société, à la lutte pour les droits de l'homme, au développement et à la paix mais malgré tout, elles continuent à figurer parmi les plus pauvres, à connaître l'exploitation et des millions d'entre elles n'ont toujours pas le droit de vote.
L'accès au travail rémunéré permet aux femmes d'acquérir une indépendance financière vis-à-vis de leur mari et transforme en retour les rôles hommes/femmes dans la société, même si certains hommes ont encore du mal à l'admettre.
Les femmes pauvres savaient que le travail était surtout avilissant. Elles soutenaient que le travail permettrait aux femmes de briser les chaînes de leur dépendance économique aux hommes, ce qui leur permettrait en retour de résister à la domination sexiste.
Les femmes ont aussi investi certaines professions autrefois réservées aux hommes, dans le domaine de la magistrature et de la médecine notamment. Ainsi, entre 1982 et 2002, la part de femmes parmi les professionnels du droit est passée de 28 à 46 %, et parmi les médecins de 36 à 43 %.
1. Être humain du sexe féminin. 2. Adulte de sexe féminin, par opposition à fille, jeune fille : La voilà une femme maintenant.
Le premier problème que rencontrent les femmes est la difficulté d'accès au marché de l'emploi. Le deuxième problème est celui de la disparité salariale. Le troisième problème concerne ce que l'on appelle le « plafond de verre ».
La femme vraie ne se compare pas aux autres femmes.
Elle est consciente de son individualité, de sa particularité. Elle prend pour modèle des femmes dont la vie familiale et professionnelle est une réussite. Elle est ouverte et partage ce qu'elle connait avec les autres femmes. Elle se donne pour enrichir les autres.
En 1965, elles obtiennent le droit de travailler sans demander l'accord de leur mari. Puis, en 1972, une loi impose le même salaire pour le même travail, qu'on soit un homme ou une femme.
cit., Article I, de l'occupation, Art. II, du…, ainsi que les principaux devoirs d'une femme mariée : la pratique de la religion, l'éducation des enfants, les relations avec son mari, et plus généralement les mœurs. L'accent est mis sur l'emploi du temps des épouses qui est une préoccupation constante de ces ouvrages.
En France, 40 % des créateurs d'entreprises individuelles sont des femmes. Parmi elles, les « Mompreneurs », qui se revendiquent comme mamans et entrepreneures, entendent coupler création d'une activité indépendante, très souvent exercée à domicile, et maternité.
Dina Lavoie (1988) définit la femme entrepreneure comme « la femme qui, seule ou avec un ou des partenaire(s), a fondé, acheté ou accepté en héritage une entreprise, qui assume tous les risques et responsabilités financières, administratives et sociales et qui participe quotidiennement à sa gestion courante ».