L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) nous a confirmé, de son côté, que l'abattage rituel ne cause pas davantage de douleur à l'animal. «Lors de l'abattage traditionnel, l'animal est étourdi avant l'abattage et est entièrement inconscient. L'animal ne peut pas ressentir de douleur à cette étape.
avec étourdissement après égorgement (« post-stunning ») : les animaux sont étourdis immédiatement après la section des jugulaires. La douleur et la peur provoquées par l'égorgement demeurent, mais la perte de conscience intervient rapidement après.
L'abattage sans étourdissement des animaux est organisé afin de garantir le libre exercice des pratiques religieuses dans le respect des dispositions réglementaires relatives à la protection animale, l'hygiène alimentaire et la protection de l'environnement.
Une étude menée en Allemagne en 1978, à l'université de Hanovre, par le Professeur Schultz et le Docteur Hazim démontre (après implantation d'électrodes pour réaliser des électroencéphalogrammes et électrocardiogrammes sur plusieurs veaux et moutons) que l'animal abattu par incision ne souffre pas plus que celui abattu ...
Ils souffrent de piétin à force de ne jamais voir leur literie changée, de maladies infectieuses telles que la salmonelle et la listeria, sans oublier le stress thermique, l'insuffisance cardiaque, des cloques pectorales et dermatites causées par la surpopulation extrême.
L'acte est accompli par un shohet, spécialiste dûment autorisé et formé aux lois de la shehita. Il coupe, au moyen d'un couteau particulier, la trachée, l'œsophage, les artères carotides et les veines jugulaires ; la bête abattue est suspendue la tête en bas de façon qu'elle se vide de son sang.
En France, sauf pour les abattages rituels qui bénéficient d'une dérogation, les moutons et les agneaux sont « étourdis » au moyen d'une pince à électronarcose avant d'être saignés.
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) nous a confirmé, de son côté, que l'abattage rituel ne cause pas davantage de douleur à l'animal. «Lors de l'abattage traditionnel, l'animal est étourdi avant l'abattage et est entièrement inconscient. L'animal ne peut pas ressentir de douleur à cette étape.
L'abattage du porc se réalise par une saignée dans la poitrine. La section des artères et veines du tronc brachiocéphalique interrompt l'apport de nutriments et d'oxygène au cerveau, provoquant ainsi la mort de l'animal.
L'idée du halal est, en particulier, née de la volonté de l'ayatollah Khomeini qui, faute d'interdire l'importation de viandes étrangères, réussit à imposer un contrôle islamique, d'abord à l'Australie et la Nouvelle-Zélande qui acceptèrent.
Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière. Lorsque la viande kasher est abattue, l'homme qui va tuer l'animal dit une prière. Il pratique ensuite une incision dans la gorge de l'animal afin d'en faire sortir tout le sang.
Mais il existe des dérogations pour l'abattage rituel, qu'il soit halal ou casher, au cours duquel l'étourdissement est proscrit. Pendant l'incision de la gorge, le sacrificateur doit prononcer au moment de l'égorgement, seul mode de mise à mort reconnu, une phrase rituelle.
Il n'existe pas de différence de qualité entre viande non halal et viande halal. La méthode d'abattage n'influe pas sur les qualités gustatives et organoleptiques de la viande. Du côté de l'hygiène, les abattoirs pratiquant l'abattage rituel sont soumis aux mêmes contrôles vétérinaires et sanitaires que les autres.
L'abattage rituel vise donc à demander à Dieu son autorisation de mettre à mort un animal. Pour être halal, une viande doit provenir d'un animal vivant dont la tête a été orientée vers la Mecque avant son sacrifice.
En Europe, l'abattage rituel est aujourd'hui interdit en Autriche, en Suisse, en Norvège, en Slovénie, en Islande, au Danemark et en Belgique.
Elle permet d'éviter toute douleur, peur ou agitation des animaux, de protéger les employés et de leur permettre d'assurer un bon étourdissement. L'opérateur aura plus de facilité à bien utiliser le matériel si l'animal est calme et immobilisé dans le box d'abattage.
Le porc commence à être engraissé en novembre. Quand il atteint environ 200 kg, il peut être abattu, généralement aux environs de Noël. La tradition de la pelèra voudrait qu'un petit cochon soit tué en décembre, l'autre, celui de 200 kg en février.
Une astuce : Avant de piquer, tapotez l'endroit ou vous allez piquer juste avant d'y enfoncer l'aiguille afin que le cochon ne soit pas surpris ! En cas de questions ou d'urgence appeler l'association : 06 63 17 93 46.
Si vous voulez découper la tête tout en laissant les bajoues intactes, découpez vers le coin de la bouche, sous les oreilles, pour en séparer la viande. Les bajoues sont excellentes pour préparer du bacon de bajoues, mais d'autres personnes préfèrent garder la tête intacte pour préparer du fromage de tête.
Au total, 34% de l'ensemble des abattoirs en France sont autorisés à effectuer des abattages rituels. Ce qui ne signifie absolument pas que ce taux est applicable à l'intégralité des viandes consommées. La viande produite par ces abattoirs habilités n'est en effet pas nécessairement halal.
La société a commencé à produire du bœuf halal, du poulet, de l'agneau et du dindon pour la consommation nationale et internationale en 1974.
Il est généralement effectué par des sociétés spécialisées, soit directement à la main, soit par une machine. Dans ce cas, les oiseaux sont engloutis à grande vitesse par une « moissonneuse à poulets », convoyés par tapis roulant, puis propulsés vivement dans les caisses.
Une réalité méconnue alors que le prédateur est de plus en plus présent et visible autour des fermes. La prédation des renards n'épargne pas les élevages de moutons. A Saint-Vincent-Bragny, le Gaec Michel déplore la perte d'une dizaine d'agneaux par an tués par des renards.
Les agneaux de bergerie sont envoyés à l'abattoir vers l'âge de 3-4 mois. Les agneaux d'herbage, eux, ont accès à l'extérieur et peuvent manger de l'herbe en plus du lait de leur mère. Ils sont abattus entre 3 et 12 mois.