Les boeufs émettent une grande quantité de méthane, un gaz à effet de serre beaucoup plus puissant que le dioxyde de carbone. Leur système digestif leur fait produire beaucoup plus de méthane que les cochons, les poules ou les dindes.
Quel impact les gaz émis par les vaches ont-ils sur la planète ? Si vous pensez que les gaz qu'émettent les vaches sont plus polluants que ceux des pots d'échappement de voitures, c'est faux, faux, et re-faux ! Contrairement aux idées reçues, les vaches émettent plus de rots que de pets !
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
Mais au lieu d'être évacué de la manière traditionnelle, celui-ci circule dans le sang, passe par les viscères avant d'être relâché par la respiration. "Ainsi, le paresseux est sans doute le seul mammifère qui ne pète pas", est-il écrit.
Le cochon est digne de mention, quoiqu'il produit bien moins de méthane que les autres espèces dans cette liste avec sa moyenne de 3 livres de méthane par année.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
La principale source de pollution ponctuelle de l'eau provient du traitement des eaux usées et des eaux d'égout, tandis que la pollution diffuse a pour sources principales l'agriculture et les centrales à combustible fossile (via la pollution de l'air).
En première position se place le Qatar, dont le taux de dioxyde de carbone émis par habitant s'élève à près de 37 tonnes .
Dans la lutte contre le changement climatique, le méthane émis par les vaches est un polluant que l'on ne peut tout simplement pas se permettre de négliger.
Les combustibles fossiles comme le pétrole, le gaz naturel, ou le charbon, constituent la principale source de polluants atmosphériques.
L'accumulation du dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère contribue pour 2/3 de l'augmentation de l'effet de serre induite par les activités humaines (combustion de gaz, de pétrole, déforestation, cimenteries, etc.).
En effet, ces animaux possèdent dans leur rumen (un de leurs 4 estomacs) des bactéries qui dégradent la cellulose : une fibre très solide des végétaux. Cette fermentation naturelle produit du méthane qui est émis par éructation. Or, le méthane est un gaz qui contribue à l'effet de serre.
Le pain, qu'il soit frais ou sec, est mauvais pour la santé des herbivores. Lors de la digestion, l'amidon contenu dans le pain se transforme en glucose qui se retrouve dans la circulation sanguine. Cela provoque une maladie grave, extrêmement douloureuse, appelée la fourbure du sabot.
Une étude de Robert et Brenda Vale, publiée dans la revue New Scientist (octobre 2009), affirme que les chiens et les chats polluent la planète deux fois plus qu'une voiture !
Autrement dit, la pollution du sol est comprise comme altération du biotope constitué par l'humus (ou tous autres types de sols) par l'introduction de substances toxiques, éventuellement radioactives ou d'organismes pathogènes entraînant une perturbation plus ou moins importante de l'écosystème.
Gestion des déchets, industrie et situation transfrontalière
Les pratiques agricoles sont loin d'être la seule source de pollution des terres et des sols. Les déchets mal gérés, aussi bien municipaux qu'industriels, sont responsables de plus d'un tiers des contaminations locales, suivis par les activités industrielles.
Sable, terre, peinture, sirop, sel, alcool, caillou, bois, craie, huile, graisse…
Ainsi, selon les calculs de Lucas Chancel, une personne appartenant aux 0,01 % les plus riches de la population mondiale – environ 771 000 personnes –, émettait en moyenne 2 332 tonnes d'équivalents CO2 en 2019, quand une personne appartenant à la moitié la plus pauvre de l'humanité n'en a émis que 1,4.
Le vélo ne pollue pas, et, en ville, il permet de se déplacer plus vite qu'en voiture sur une distance de moins de cinq kilomètres. Un voyage en avion ruine tous les efforts que vous accomplissez par ailleurs pour vivre de façon écologique.
En cause : le kérosène, un mélange d'hydrocarbures issu du raffinage du pétrole, servant à alimenter les turboréacteurs et les turbopropulseurs des avions. En fonction des différentes phases d'un vol, l'avion va brûler plus ou moins de kérosène.
Le putois (Mustela putorius) est un petit animal carnivore de la famille des Mustélidés reconnaissables à leur silhouette allongée tels que belette, loutre, fouine, hermine, vison, notamment. Le putois a, en plus, la particularité de dégager une odeur très forte lorsqu'il se sent menacé.
Ces flatuosités, comme les appellent les médecins, sont la plupart du temps très malodorantes. Pourtant, la plupart des gaz libérés sont inodores : dioxyde de carbone, hydrogène et méthane. Mais le pet contient aussi du sulfure d'hydrogène, célèbre pour son odeur d'œuf pourri.
Or cette mécanisation n'est rendue possible que grâce aux combustibles fossiles. À l'heure de la prise de conscience écologique, le retour du cheval ne paraît donc pas si fou. Les chevaux ne manquent pas de points positifs. Ils ne polluent pas l'atmosphère et sont silencieux.