L'Iroko : l'arbre miraculeux qui stocke le CO2 pour le transformer en calcaire. L'Iroko est un arbre tropical africain poussant principalement en zones chaudes et humides, qui a une capacité remarquable à absorber le CO2 pour le transformer en calcaire.
Surnommé, l'arbre impérial, le Paulownia a cette capacité de filtration hors norme qui en fait un arbre indispensable à la planète. Il peut absorber 10 fois plus de CO2 que les autres arbres et donc purifier l'air beaucoup plus vite.
À ce compte, le sapin naturel remporte la palme du choix le plus écologique, selon l'analyse du cabinet-conseil en développement durable Ellipsos.
Parmi eux, le chêne vert, extrêmement efficace à absorber les pollutions en tout genre. Le sycomore américain, quant à lui, excelle à contenir les inondations et à créer des zones d'ombre.
Le lys de la paix, également connu sous le nom de Spathiphyllum, est la plante phare de la production intensive d'oxygène. Recommandée par la NASA pour ses propriétés assainissantes, cette plante augmente également l'humidité ambiante.
C'est pourquoi il est intéressant, voire très important de planter des arbres qui seront utiles à la biodiversité mais aussi à la planète de manière générale. Misez sur les chênes, les peupliers, l'érable du Japon, les conifères ou encore le magnolia et le bouleau !
Un arbre absorbe environ 25 kg de CO2 par an
Au bout du compte, la plupart des chiffres avancés sont à prendre avec de grandes précautions, mais ils donnent une fourchette moyenne de 10 à 40 kg de CO2 absorbés par arbre et par année.
Le bambou peut contribuer à la déforestation
La monoculture épuise les sols, éradique la biodiversité nécessaire, et génère donc plus de risques de maladies. Une fois le bambou installé, impossible de retrouver la biodiversité originelle. Autre impact écologique non-négligeable : son empreinte carbone.
Le sapin artificiel a un bilan carbone bien moins favorable
En réalité, les sapins artificiels fabriqués à partir de dérivés de pétrole ne sont pas plus écologiques.
Le bambou : la solution contre les gaz à effet de serre
En effet, le bambou absorbe 5 fois plus de gaz à effet de serre et produit 35 % d'oxygène supplémentaire qu'un autre arbre, à volume équivalent.
Durant la journée, les plantes profitent de la photosynthèse. Elles rejettent plus d'oxygène que de CO2. Durant la nuit, il n'y a plus de photosynthèse, les plantes respirent. Elles ne rejettent plus que du CO2, c'est pas très bon ça !
L'Iroko : l'arbre miraculeux qui stocke le CO2 pour le transformer en calcaire. L'Iroko est un arbre tropical africain poussant principalement en zones chaudes et humides, qui a une capacité remarquable à absorber le CO2 pour le transformer en calcaire.
L'érable champêtre, l'érable platane, le frêne à fleurs, le mûrier platane, l'olivier, le savonnier de Chine, le tilleul à petites feuilles, le tilleul à grandes feuilles (moins résistant que celui à petites feuilles)... La rédaction vous conseille : Chêne vert, Quercus ilex.
Les plants des pépinières du MFFP font aussi l'objet de distributions d'arbres gratuits aux citoyens de toutes régions par des organismes reconnus, au cours du mois de mai dans le cadre du « Mois de l'arbre et des forêts ».
1. Le Pin sylvestre (Pinus sylvestris L.) : Espèce indigène sur une grande partie du Massif Central, le pin sylvestre est rustique et tolérant à une très large gamme de climats et de de sols. Il a souvent été utilisé pour le reboisement notamment sur des secteurs difficiles tant en plaine qu'en montagne.
Le Celtis occidentalis ou Micocoulier de Virginie est arbre résistant à la sécheresse ou chaleur, appartenant à la famille des Ulmacées. Il mesure 15 à 20 mètres de hauteur. Cet arbre a la particularité d'avoir une écorce rugueuse présentant des nodosités.
Il est généralement conseillé de ne pas mettre de plantes dans une chambre, car la nuit, les végétaux respirent en absorbant de l'oxygène et en rejetant du dioxyde de carbone (CO2). Mais les volumes de CO2 rejetés par les plantes sont très faibles, donc pas du tout dangereux pour la santé !
Les fleurs en bouquets et les fleurs en pot sont interdites de séjour dans les chambres des malades. « elles sont évidemment des réservoirs à germes et à bactéries » explique-t-on au service d'hygiène de l'hôpital Saint-Cyr.