Selon le fabricant de notre PLA, les avantages environnementaux de cette matière sont les suivants: 70% en moins de consommation d'énergie fossile pour sa fabrication. 80% en moins de gaz à effet de serre. À base de plantes (renouvelable)
Utilisation. Il est utilisé dans l'emballage alimentaire (œufs, eau minérale, fruits et légumes, etc. ), pour remplacer les sacs et cabas en plastiques jusqu'ici distribués dans les commerces, ou dans la fabrication de très nombreux objets injectés, extrudés ou thermoformés.
Le PLA est un bioplastique qui a le mérite d'être à la fois biosourcé ET biodégradable (un bioplastique est souvent l'un ou l'autre, mais rarement les deux à la fois !). Le PLA est en effet classé parmi les plastiques 100% biosourcés : il est issu de ressources renouvelables telles que le maïs ou la canne à sucre.
Le PET végétal est recyclable dans une usine classique. Pas à l'infini, mais recyclable. En revanche, ça se complique pour une autre famille de plastique : le PLA, l'acide polylactique, lui n'est pas recyclable.
Le PLA (acide polylactique) est issu de matières premières renouvelables et naturelles, telles que le maïs, et fait partie des polyesters en tant que polymère synthétique. L'amidon (ou le glucose dans certains cas) est extrait des plantes et converti en dextrose par addition d'enzymes.
Le PLA est un matériau d'impression 3D sans danger pour l'alimentation. Avec le moulage par injection plastique, ce matériau est principalement utilisé pour fabriquer des emballages.
Le PLA ne présente pas de dangers physiques (c'est-à-dire liées aux propriétés physico-chimiques), toxiques ou écotoxiques au sens règlementaire. Ses chaînes longues en font une macromolécule qui ne répond pas aux critères de classification des substances dangereuses.
Le processus de biodégradation et sa durée dépendent en grande partie de l'environnement dans lequel le PLA se trouve. En effet, pour qu'il puisse se décomposer, il lui faut de l'oxygène, de l'humidité, des températures gravitant autour des 60 °C et certaines bactéries spécifiques.
D'une manière générale retenez que dans la majorité des cas plus un matériau s'imprime à haute température, plus sa résistance à la température sera forte. On retrouve cette logique avec le trio PLA, PET-G, ABS. En effet le PLA s'imprime à environ 200-220°C, le PET-G à 220-240°C, l'ABS à 240-260°C.
Deux phases sont nécessaires pour la fabrication du PLA: tout d'abord, il faut fermenter le sucre ou l'amidon sous l'effet de bactéries qui synthétisent l'acide lactique; ensuite, l'acide lactique est polymérisé par un nouveau procédé de fermentation, qui lui permet de se transformer en acide polylactique.
Les paramétrages pour imprimer du PLA
Concernant les paramétrages de l'impression, nous recommandons de sélectionner une température d'extrusion moyenne entre 180 et 220°C. Ce consommable ne nécessite pas l'utilisation d'un plateau chauffant, ce qui le rend compatible avec la quasi-totalité des machines FDM.
Pour le filament PLA par exemple, on retrouve souvent une température entre 180 et 220°C. Cette plage a pour but d'adapter la viscosité au débit requis.
Pour l'impression du PLA il ne faudra pas dépasser 50°C car l'effet inverse peut être obtenu, le PLA commençant à devenir malléable à partir de 40-50°C.
La solution la plus courante et la plus simple pour sécher le filament consiste à le passer directement au four. Il suffit de régler la température juste en dessous de la température de transition vitreuse du plastique et de laisser votre filament sécher entre 4 à 6 heures, le temps que toute l'humidité s'en échappe.
Le principe consiste à récupérer des objets en PLA, de les broyer et de refaire par extrusion du filament utilisable pour imprimer de nouvelles pièces. Si le principe paraît simple, sa réalisation est un peu plus compliquée pour obtenir un fil suffisamment régulier pour être réutilisé en impression 3D.
Le filament PLA est également le plastique le plus facile à imprimer. En effet, il fond à basse température (en règle général entre 190 et 220°C), et est peu sujet au warping. Il offre un rendu de surface lisse et propre.
PLA de FormFutura
Ses PLA les plus courants comprennent le PLA EasyFil, un mélange de PLA facile à utiliser et sans warping pour vos travaux d'impression quotidiens, et son PLA Premium, un PLA haut de gamme.
Le polycarbonate (PC), en plus d'être le filament 3D le plus robuste de cette liste, est extrêmement durable et résistant aux chocs et à la chaleur (il peut supporter des températures allant jusqu'à 110 °C).
Le fait que l'amidon utilisé provienne de la nature n'en fait pas un produit naturel (le pétrole aussi est un produit provenant de la nature!). Le PLA se dégrade uniquement en compostage industriel, à une température de plus de 60°C, libérant du CO2.
Ainsi, par exemple pour le PLA, le polymère se dégrade 4 fois plus vite à 250°C qu'à 230 °C. Pour une bonne conservation des filaments et de leurs propriétés il est donc important d'imprimer dans le spectre bas des températures conseillées, et par cause à effet, à des vitesses moins importantes.
Si votre filament pétille à l'extrusion ou si des bulles se créent en sortant de la buse cela indique que votre filament est humide. Avec un filament nylon ou PVA (forcément très sensible à l'humidité), le filament sur la bobine peut déjà le révéler.
Le fil PLA permet d'imprimer des objets 3D à une vitesse plus élevé que l'ABS et à une température moins importante. Il commence à se ramollir autour de 50°C, le PLA à une température d'extrusion comprise entre 180°C et 230°C.
La forte croissance de l'impression tridimensionnelle (3D) dans de nombreux secteurs génère des risques professionnels spécifiques eux-mêmes en augmentation : - Risques chimiques : émissions de particules fines, de composés organiques volatils, de gaz nocifs liés aux imprimantes 3D et à leurs différentes technologies.
Parmi les matériaux de filaments d'impression 3D reconnus sans danger pour les aliments, on peut citer le PLA (acide polylactique), le PP (polypropylène), le copolyester, le PET (polyéthylène téréphtalate), le PET-G (PET et glycol), le polystyrène HIPS et le nylon-6, ainsi que certaines marques d'ABS, d'ASA et de PEI ( ...