Un mini-AVC est une forme moins grave d'AVC. Il se produit lorsque la circulation sanguine vers une partie du cerveau est interrompue. Il est généralement causé par un caillot sanguin qui bloque une artère qui alimente le cerveau en sang.
Mini‑AVC. Certaines personnes ont ce qui s'appelle un mini‑accident vasculaire cérébral (mini‑AVC). Ce phénomène se produit lorsqu'un vaisseau sanguin est brièvement bloqué par un petit caillot. Vous en ressentez les effets pendant moins de 24 heures.
Les symptômes sont les mêmes que ceux d'un « vrai » AVC, mais ils disparaissent en moins d'une heure. Un mini-AVC est un signal d'alarme à prendre au sérieux : il peut être suivi d'une attaque cérébrale parfois plus grave au cours des 48 heures suivantes. Il est donc important de consulter un médecin au plus tôt.
Les différents types d'AVC
L'hémorragie cérébrale (20 % des cas) ; c'est la plus dangereuse en termes de mortalité et de séquelles. Le plus souvent, elle provient d'un anévrisme (section dilatée d'une artère) qui prive le cerveau d'oxygène et provoque une compression sur les tissus environnants.
Les différents types d'AVC
On distingue deux types d'accidents vasculaires cérébraux : les infarctus cérébraux et les hémorragies cérébrales ou méningées.
L'âge et l'espérance de vie après un AVC
En chiffres, une étude sur 836 patients a trouvé que : pour 57 % des survivants d'AVC de moins de 50 ans, l'espérance de vie est plus d'un an. pour 9 % de survivants d'AVC de plus de 70 ans, l'espérance de vie est plus de 5 ans.
Faiblesse, engourdissement ou paralysie du visage, d'un bras ou d'une jambe, généralement d'un seul côté du corps. un trouble de l'élocution ou une difficulté à comprendre les autres. cécité d'un ou des deux yeux ou vision double. Vertige ou perte d'équilibre ou de coordination.
"On peut complètement guérir d'un AVC sans séquelles, mais il faut réagir très vite. Chaque minute qui passe, c'est 2 millions de neurones en moins. Il faut donc aller très vite, on a 4 heures 30 pour recevoir un traitement, une sorte de Destop pour déboucher les artères mais il n'y a pas une minute à perdre.
Les séjours à l'hôpital durent de 1 à 3 semaines, selon la gravité de l'AVC et de ses séquelles. Pendant cette période, les patients collaborent ardemment avec une équipe d'experts qui évaluèrent leur état et leurs séquelles, y compris les troubles physiques ou cognitifs.
Il s'agit d'un signal d'alarme pouvant être annonciateur d'un accident vasculaire cérébral (AVC). Le risque d'AVC est proche de 90 % à 3 mois, dont la moitié dans les 48 premières heures. La survenue d'un AIT nécessite donc une prise en charge urgente.
Trois raisons sont généralement avancées pour expliquer l'élévation du risque de mort subite le matin, entre 6h et 9h. L'augmentation physiologique à cette période la journée de la tension artérielle, celle de la fréquence cardiaque et la libération dans le sang d'hormones comme le cortisol.
Le stress peut parfois être utile. Mais trop de stress peut nuire à votre santé et augmenter votre risque de maladies du cœur et d'AVC.
Les premiers signes d'un mini-AVC (symptômes)
les autres symptômes possibles sont les difficultés à marcher, la perte d'équilibre, l'apparition de vertiges, un fourmillement ou un engourdissement au niveau du visage, des bras ou des jambes.
Les séquelles les plus fréquentes causées par un accident ischémique transitoire (AIT) sont les troubles de la mémoire et de la concentration, mais elles sont rares et disparaissent après quelques jours ou semaines. Les personnes atteintes d'un AIT présentent néanmoins un risque accru de faire un AVC.
Des études ont montré que le risque d'AVC ischémique était augmenté par la prise d'antipsychotiques, médicaments aux propriétés antidopaminergiques[2] communément prescrits en psychiatrie.
Marche, vélo, natation, yoga... En pratiquant une activité physique régulière qui vous plaît, vous réduisez le risque d'accident vasculaire cérébral.
En dehors de cette évaluation globale, la consultation post-AVC a pour premier objectif de mesurer la qualité de la récupération du handicap physique dans les suites de l'événement aigu.
Cette fatigue s'exprime par une fatigabilité (moindre résistance à l'effort), un besoin de s'allonger, de faire la sieste, de se coucher plus tôt, un manque d'énergie peu amélioré par le repos… Ce trouble est fréquent : 50 à 70 % des personnes ayant fait un AVC se plaignent d'une fatigue anormale 9 mois après un AVC.
Des médicaments antiagrégants plaquettaires sont prescrits après un AVC ischémique. Ils empêchent les plaquettes du sang de s'agglutiner et donc les caillots de se former. Il peut s'agir de l'aspirine donnée à des doses précises, ou d'autres médicaments comme le clopidogrel ou le ticlopidine.
* En cas de suspicion d''accident ischémique transitoire (AIT), c'est aussi l'IRM, tout particulièrement la séquence de dif- fusion, qui est la technique de choix. En effet, sur la séquence de diffusion, une lésion ischémique cérébrale est visible chez environ la moitié de ces patients.
Le traitement en urgence de l'AVC est la thrombolyse, une technique médicale ayant pour objectif de dissoudre en urgence le caillot sanguin qui obstrue l'artère cérébrale. Ce traitement ne laisse aux médecins que quelques heures de délai pour agir et mettre un terme à l'AVC.