Une concurrence loyale et vigoureuse force les entreprises à produire et à vendre des produits que les consommateurs désirent, tout en les offrant à des prix qu'ils sont prêts à payer. C'est donc le consommateur qui a le pouvoir dans un marché concurrentiel.
Comme dans le sport, la concurrence est un stimulant qui incite les entreprises à se dépasser, favorisant ainsi l'innovation, la diversité de l'offre et des prix attractifs pour les consommateurs comme pour les entreprises.
La politique de concurrence contribue à stimuler l'esprit d'entreprise et la productivité, à élargir l'offre pour les consommateurs, à faire baisser les prix et à améliorer la qualité des biens et services. Des prix bas pour tous: La façon la plus simple de conquérir des parts de marché est d'offrir un meilleur prix.
Certains considèrent également la politique de concurrence comme un outil permettant de contribuer à un certain nombre d'autres objectifs : pluralisme, décentralisation de la prise de décision économique, prévention des abus de pouvoir économique, promotion des petites entreprises, justice et équité et autres valeurs ...
Lorsque le consommateur a la possibilité de choisir entre plusieurs fournisseurs, il en tire avantage, et avec lui l'économie dans son ensemble. Cette possibilité qui lui est offerte oblige les entreprises à entrer en concurrence les unes avec les autres.
Le modèle de concurrence pure et parfaite est fondé sur cinq hypothèses fondamentales : l'atomicité du marché, l'homogénéité du produit, une entrée libre sur le marché, la parfaite transparence du marché et des informations, et la libre circulation des facteurs de production.
L'analyse de la concurrence vous permet de connaître les produits et services qu'elle propose, mais aussi la manière dont elle commercialise et vend ces produits. Vous pourrez utiliser ces résultats pour déterminer les bonnes pratiques, exploiter les faiblesses des concurrents et attirer davantage de clients.
Les coûts baissent sous l'effet de la concurrence parce que les entreprises investissent, croissent et développent des effets d'échelle, découvrent et mettent en œuvre des technologies plus puissantes, améliorent leur productivité, automatisent certains processus, innovent et conçoivent des produits plus adaptés, ...
Le droit de la concurrence est encadré tant par la loi française que par les normes européennes et internationales. Il a pour principal objectif de stimuler la croissance et l'emploi en encourageant l'innovation et en protégeant les consommateurs par l'assurance de prix compétitifs et d'une offre riche et variée.
La politique de la concurrence se justifie par l'idée que les modifications au niveau microéconomique engendrent des effets positifs au niveau macroéconomique selon le mécanisme simplifié suivant.
Violer le droit de la concurrence expose les entreprises à un risque financier immédiat et significatif ; outre le risque d'amendes, les entreprises peuvent être confrontées à des actions en dommages-intérêts de la part de leurs clients.
Monopole, oligopole et concurrence monopolistique sont trois types de marchés imparfaitement concurrentiels. Sur ces structures de marché, les offreurs sont faiseurs de prix.
La concurrence directe, constituée de l'ensemble des entreprises proposant un produit ou service similaire à votre entreprise. La concurrence indirecte, constituée des entreprises proposant un produit ou service différent, mais répondant au même besoin que celui auquel votre entreprise cherche à répondre.
La politique de la concurrence à l'égard des entreprises
On peut recenser 2 objectifs fondamentaux de la politique de la concurrence : empêcher les ententes entre entreprises (cartels) ; encadrer les concentrations sur les marchés.
Le droit de la concurrence au sens strict. C'est l'Autorité de la Concurrence – associée aux tribunaux – qui est compétente pour mettre en œuvre et faire respecter le droit de la concurrence au niveau français.
Les producteurs étudient donc la meilleure stratégie de combinaison en essayant de respecter des contraintes diverses : offrir au consommateur une diversité de choix, mais limitée parce que permettant de contrôler la qualité du produit ou du service offert, tout en minimisant les coûts de production.
Défaillances de marché, asymétries d'information, externalités, biens collectifs. négatives, non-rivalité, non-exclusion, biens communs, biens collectifs impurs.
En effet, la concurrence favorise l'activité économique jusqu'à un certain niveau au-delà duquel elle devient néfaste : soit pour un secteur déjà fortement concurrentiel, soit pour un marché particulier ou l'investissement demandé est trop important pour pouvoir faire face à une concurrence.
La concurrence pure et parfaite est une structure hypothétique de marché définir au XIXème siècle ; Ses hypothèses sont l'atomicité, l'homogénéité, la fluidité, la transparence et la libre circulation des facteurs de production ; Sa théorie est le fondement de celle de l'équilibre général des marchés.
La concurrence pure et parfaite est censée permettre l'équilibre sur tous les marchés sous des conditions suffisantes très particulières. La concurrence pure et parfaite représente un des deux cas extrêmes de structures de marché étudiés par les économistes néoclassiques, le second étant le cas de monopole.
Sans concurrence, les consommateurs doivent se contenter de ces produits et services inférieurs, ou s'en passer. Cependant, lorsque les entreprises mènent leurs activités dans un marché concurrentiel sain, les consommateurs peuvent choisir la meilleure option disponible pour répondre à leurs besoins et à leur budget.
Il faut tout d'abord savoir que la situation de concurrence parfaite est un idéal qui n'existe jamais totalement dans la réalité. Le concept de concurrence parfaite a été créé pour permettre la comparaison entre plusieurs structures de marché.