En inspirant, nous inhalons l'oxygène ambiant et en expirant, nous rejetons du dioxyde de carbone. Chaque inspiration peut contenir jusqu'à quatre litres d'air. La respiration interne est un processus biochimique qui permet de libérer l'oxygène dans les cellules et de produire de l'énergie pour le corps.
Bien respirer, c'est vital
« La fonction respiratoire permet d'assurer l'apport de l'oxygène nécessaire à notre organisme et l'évacuation du dioxyde de carbone résultant de son activité. Par des variations de ventilation, la respiration maintient l'équilibre des gaz du sang, indispensable à la vie.
Grâce à la respiration, l'inhalation et l'expiration, le système respiratoire facilite les échanges gazeux entre l'air et le sang, et entre le sang et les cellules de l'organisme. Le système respiratoire nous permet également de sentir les odeurs et de créer des sons.
La respiration est indispensable à la vie : elle apporte au corps l'oxygène dont il a besoin pour vivre et elle le débarrasse des déchets comme le gaz carbonique. Elle se déroule en deux temps: l'inspiration et l'expiration. À chaque inspiration, l'oxygène arrive dans les poumons.
La ventilation permet le renouvellement de l'air dans les poumons. Elle correspond aux mouvements d'inspiration (entrée de l'air dans les poumons) et d'expiration (sortie de l'air des poumons). Ces mouvements sont produits par la contraction des muscles respiratoires (intercostaux et diaphragme).
Cette respiration peut être représentée en 4 étapes majeures: 1) Ventilation 2) Echange des gaz avec le sang 3) Circulation sanguine 4) Echange des gaz avec les cellules.
L'air inspiré pénètre par la bouche et le nez puis traverse la trachée qui se ramifie en bronches et bronchioles jusqu'aux sacs alvéolaires. Trachée et bronches sont des conduits comportant des anneaux cartilagineux facilitant le transport de l'air. L'air expiré suit le même trajet, mais en sens inverse.
Qu'est ce qui déclenche l'inspiration? La respiration dépend étroitement de la concentration de gaz carbonique dans le sang. Lorsque cette concentration s'élève, l'organisme ressent le besoin de respirer afin d'éliminer cet excès.
Dans le processus de respiration, le nez est la première ligne de défense contre les impuretés de l'air. L'intérieur des narines est tapissé de poils qui empêchent en partie les substances potentiellement nocives de pénétrer dans les voies nasales jusqu'au délicat tissu pulmonaire.
Respirer! Il a été démontré que le fait de prendre conscience de notre respiration calme immédiatement notre réponse au stress en activant le système nerveux parasympathique (SNP).
Faites descendre l'air dans votre abdomen. Pincez les lèvres et expirez lentement, pendant 4 secondes. Vous devez prendre deux fois plus de temps pour expirer que pour inspirer. Avec le temps, vous pouvez augmenter le nombre d'inspirations et d'expirations (par exemple, à 4 et 8 secondes).
Le stress peut transformer la respiration en respiration thoracique qui concourt à une impression d'oppression. Ce type de respiration fait travailler seulement la zone supérieure du thorax au détriment l'abdomen. Les poumons ne sont donc pas entièrement sollicités : ils ne se gorgent d'air qu'à 30 % de leur capacité.
Le travail de respiration est effectué par les muscles suivants : Diaphragme. Muscles entre les côtes (muscles intercostaux) Muscles du cou.
Le tronc cérébral est situé sous le cerveau, devant le cervelet. Il relie le cerveau à la moelle épinière et contrôle des fonctions automatiques de l'organisme telles que la respiration, la digestion, le rythme cardiaque et la pression artérielle.
Les origines les plus fréquentes chez l'adulte sont l'insuffisance cardiaque aiguë, l'embolie pulmonaire et une infection pulmonaire survenant sur un poumon déjà malade (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.)
L'air est un mélange gazeux constitué de 78 % de diazote (N2), 21 % de dioxygène (O2) mais également, en faibles proportions, d'autres gaz comme le dioxyde de carbone, de la vapeur d'eau, de l'hélium…
En inspirant, nous inhalons l'oxygène ambiant et en expirant, nous rejetons du dioxyde de carbone.
L'air contient un gaz indispensable à la vie : le dioxygène (O2). Les êtres humains, les animaux et les végétaux l'absorbent et rejettent du dioxyde de carbone.
Explication. L'abdomen ne se gonfle que parce que le diaphragme, en se tendant et s'abaissant, pousse les viscères, qui viennent appuyer sur la paroi abdominale. On parle donc de respiration abdominale par simplification, et pour éviter une respiration trop haute.
La contraction du diaphragme entraine son abaissement. La contraction des muscles intercostaux entraine le soulèvement des côtes et du sternum. Le volume des poumons et de la cage thoracique augmente.
Anatomie humaine
L'être humain possède deux poumons (un gauche et un droit), situés à l'intérieur du thorax dans les cavités pleurales, et séparés l'un de l'autre par le médiastin.
Cependant, certains événements ou encore le stress peuvent l'altérer ou la rendre trop rapide et superficielle, enchaînant des conséquences sur la santé, dont l'hyperventilation [2]. Il existe deux types de respirations : paradoxale et diaphragmatique, cette dernière étant « la bonne ».
Le diaphragme est le principal muscle de la respiration. Il assure les mouvements inspiratoires et expiratoires. Il forme une cloison entre le thorax et l'abdomen.
La ventilation, c'est l'action de faire circuler l'air entre les alvéoles pulmonaires et l'extérieur du corps. C'est une activité réflexe, mais que nous pouvons sensiblement contrôler. La respiration, c'est le processus par lequel s'opèrent les échanges gazeux permettant d'oxyder les substances organiques.