Car l'existence n'a pas de sens si elle n'a pas de but, avec des objectifs à accomplir et des choses à apprendre de nos expériences. L'ignorance est la pire des situations, car elle est à l'opposée de toute évolution. Élever son niveau de conscience est le but de toute existence.
L'existence désigne le fait d'être, indépendamment de toute connaissance possible. Elle se distingue de l'essence, qui définit ce qu'une chose est, et du néant, qui, par définition, n'a pas de réalité.
Quelle est la finalité de l'existence ? Difficile de se dérober à cette question vertigineuse. Les réponses possibles sont légion : le sens de la vie, c'est se connaître soi-même, trouver le bonheur, aimer (Dieu, son prochain), faire des enfants, posséder une Rolex avant d'atteindre 50 ans…
Au-delà des connotations religieuses et spirituelles, le but d'une vie est simplement le message de votre vie. C'est le message que vous souhaitez apporter au monde durant votre existence sur terre (et peut-être au-delà). Avoir un but s'applique à nous tous, que nous soyons religieux, agnostique, ou même athée.
Qu'il se questionne ou non, l'homme cherche à procréer, travaille à la protection et l'éducation de sa descendance, veut se sentir utile, cherche à repousser la souffrance et la mort, et à accéder à une existence supérieure (sociale ou religieuse).
Votre vie sur terre vous fournit des occasions d'apprendre et de progresser. Elle vous permet : D'avoir un corps physique. D'utiliser votre libre arbitre et d'apprendre à choisir entre le bien et le mal.
Selon les Védas, la vie de l'être humain a quatre buts, quatre sens : « Dharma », le devoir, la vertu, la recherche de la perfection de l'être que l'on est, la réalisation de soi sur le plan moral (courage, honnêteté, tolérance, charité).
Ensemble des événements et des activités qui constituent le cadre et le contenu d'une existence, sur le plan individuel ou collectif. Ensemble des éléments qui donnent de la valeur à l'existence humaine.
En premier lieu, chercher le sens de la vie peut-être une façon de renforcer notre estime de soi : si notre existence a un sens, alors notre vie a une valeur intrinsèque. Dès lors, chercher le sens de la vie peut être une façon de se prouver à soi-même que notre vie compte.
Si nous avons la vie, c'est aussi pour agir. La vie nous donne la possibilité d'agir dans le monde à travers notre corps, notre parole, notre comportement. Par notre volonté, nous pouvons utiliser notre corps pour nous déplacer, transformer, construire.
En ce sens, l'existence est le simple fait d'être, l'être conçu sans détermination aucune, sans prédicat, sans rien : l'être commence par l'indétermination de l'existence, indétermination du fait d'être pur et simple. Ainsi, cette première idée de l'existence la ferait concevoir par une connaissance immédiate.
La vie, à ce titre, peut caractériser la plante, l'animal et l'homme. Toutefois seul l'homme peut être qualifié d'existant : il est en effet le seul être vivant capable de se représenter sa vie et d'ouvrir un horizon de sens. L'existence est donc une notion métaphysique qui renvoie à la spécificité de l'être humain.
Ainsi, pour Aristote, le bonheur est le but ultime de la vie humaine et s'obtient par la pratique de la vertu. La vertu, elle, s'obtient par la pratique et l'habitude.
Le but de la vie est de vivre ; à développer tout ce que la vie contient en puissance.
Son but ultime n'est autre que de mettre en exergue la différence avantageuse qu'il peut y avoir entre notre âge subjectif et celui mentionné sur notre état civil.
La vie humaine est d'abord « vie » au sens où les plantes et les animaux sont aussi des êtres vivants. Le principe de la vie étant, pour Aristote, l'âme ; il lui faut distinguer différentes parties de l'âme afin d'isoler sa dimension spécifiquement humaine.
Dans son traité De Vâme, la définition de la vie qui sert de base à toute l'élaboration ultérieure des rapports entre l'âme et le corps est : la capacité de se nourrir, de croître et de dépéiir.
Nous connaissons bien les 5 sens du corps humain, ceux qui nous aident à appréhender le quotidien : l'ouïe, la vue, l'odorat, le goût et le toucher. S'ajoute le 6e sens, notre intuition. Mais il en existe un 7e, présent en chacun de nous. Il s'agit de notre pouvoir guérisseur.
Le sixième sens est une expression faisant référence à des perceptions extrasensorielles, c'est-à-dire n'étant pas issues des cinq sens physiologiques : la vue, l'ouïe, le toucher, le goût et l'odorat. Ainsi le sixième sens serait une fonction supplémentaire de perception.
(Dépend du système nerveux somatique aussi appelé système nerveux sensitif et moteur). La vue est sans aucun doute le sens le plus développé chez l'être humain. La vision nous permet de distinguer des détails, de voir les couleurs et le relief et de suivre du regard un objet en mouvement.
Puisque la mission de Jésus consistait essentiellement, ainsi leur disait-on, à sauver par sa mort les hommes de leurs péchés, il leur paraissait bien évident, non seulement que Jésus prévoyait sa mort, mais encore que celle-ci lui apparaissait d'entrée de jeu comme le but même de sa venue sur terre.
Dieu a un plan pour notre bonheur. La vie a un but et une signification. Dieu, notre père aimant, veut que nous trouvions le bonheur et la joie. Pour ce faire, il a élaboré un plan pour nous fait progresser, vivre par la foi, fonder une famille et retourner vivre avec lui un jour.
Comme vous l'avez vu, les quatre choses qui devraient compter le plus dans la vie – la santé, le temps, l'amour et l'objectif de vie – sont des choses immatérielles. Néanmoins, elles sont nécessaires pour être une personne heureuse et pour profiter du monde qui nous entoure.