(1895-1985) : « L'homme, créé à l'image de Dieu, a été placé sur la terre pour faire l'expérience de la condition mortelle, état intermédiaire entre la vie prémortelle et l'immortalité. « Nos premiers parents, Adam et Ève, ont désobéi à Dieu.
Il est évident que le but essentiel de la vie est de réconcilier l'homme avec Dieu. Le Saint-Esprit guide une personne à travers tout un processus d'abandon total à Dieu et au Sauveur, Jésus-Christ. Par l'Esprit, une personne croît dans la grâce et la connaissance, dans le caractère de Jésus-Christ (2 Pierre 3 :18).
Votre existence dans la condition mortelle a un but. Vous êtes ici pour obtenir un corps physique, pour acquérir de l'expérience et des qualités divines comme la justice, la miséricorde et l'amour. Dieu ne vous a pas envoyé ici sans avoir un plan.
Qu'il se questionne ou non, l'homme cherche à procréer, travaille à la protection et l'éducation de sa descendance, veut se sentir utile, cherche à repousser la souffrance et la mort, et à accéder à une existence supérieure (sociale ou religieuse).
Ainsi, le but ultime de la vie humaine est de se réjouir en Dieu et de lui donner toute la gloire qui lui revient. Et si Dieu est le but ultime de ma vie, tout ce que je fais dépend de Lui. Que je nomme les animaux ou que je cultive le jardin, tout ce que je fais, je le fais pour Sa gloire.
La volonté salvifique de Dieu, expression théologique, évoque une réalité fondamentale pour la foi chrétienne ; elle signifie que tout homme, s'il accepte, peut être sauvé. (Jean 6; 40), car la volonté de Dieu est que tous les hommes soient sauvés (1 Timothée 2, 4).
Le but de l'existence n'est pas de trouver le bonheur : c'est de trouver son utilité
Le but de votre départ de sa présence pour venir sur terre, est de prendre un corps, d'acquérir de l'expérience et d'apprendre à faire de bons choix. De nombreux aspects de la vie apportent du bonheur mais d'autres apportent le chagrin.
Pour certains, le but de la spiritualité est une exploration profonde de l'intériorité, conduisant à l'éveil spirituel, une conversion intime, ou l'accession à un état de conscience modifié et durable.
"Parmi les corps naturels [i.e non fabriqués par l'homme] certains ont la vie et certains ne l'ont pas. Nous entendons par vie le fait de se nourrir, de croître, et de dépérir par soi-même" (De l'âme, II, 1). Et, plus loin, Aristote dit que la vie est ce par quoi le corps animé diffère de l'inanimé. »
Puisque la mission de Jésus consistait essentiellement, ainsi leur disait-on, à sauver par sa mort les hommes de leurs péchés, il leur paraissait bien évident, non seulement que Jésus prévoyait sa mort, mais encore que celle-ci lui apparaissait d'entrée de jeu comme le but même de sa venue sur terre.
L'existence ainsi pensée désigne donc le statut de la créature par rapport à l'acte créateur qui la fait passer du statut de possible à celui de réel. Ainsi, en ce premier sens, « exister » signifie essentiellement « être créé », « être réalisé » ou « avoir été conduit à être ».
Lorsque nous donnons notre vie à Christ, ce n'est que le début. Dieu dépose une semence de tout ce qu'il est au plus profond de notre être et met en nous le vouloir de faire ce qui est bien. Chaque fois que nous coopérons avec Dieu, nous faisons un pas de géant en avant.
Parce qu'il voulait nous donner la possibilité de progresser et de devenir comme lui, notre Père céleste a créé notre esprit et il a fourni un plan de salut et de bonheur qui inclut nécessairement cette expérience terrestre.
- Le sens de la vie comme objectif : avoir une vie qui a du sens, c'est avoir le sentiment que les objectifs que l'on se fixe dans notre vie et les buts que nous voulons atteindre sont les bons et que nous pouvons les atteindre ou que nous les avons atteints.
Le spiritualisme est la métaphysique qui pense la relation de l'esprit au corps : la spiritualité est incarnée. Mais il soutient toujours qu'on ne peut pas penser séparément la vie physique, organique, sans se référer à un principe spirituel.
Comme le note J. Emblen, les définitions de la religion forment une constellation de six mots clés : système, croyances, organisé, personne, culte, pratiques -, alors que la spiritualité est dessinée par les mots : personnel, vie, principe, animation, être, Dieu (dieu), qualité, relation et transcendant17.
Le but ultime de ma vie se résume à mes propres valeurs. Une fois que l'on connaît et que l'on détermine nos valeurs personnelles, on peut construire notre quotidien et nos projets autour d'elles. Et c'est là que la vie devient passionnante. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle on tombe parfois en dépression…
Lorsqu'on évoque la finalité du vivant, la première finalité qui s'impose, c'est la reproduction ou la persistance dans l'être, voire la volonté de puissance (ou volonté de la volonté!) mais aussi, à l'opposé, l'homéostasie, le retour à l'équilibre, le repos voire la pulsion de mort...
L'existence, fondamentalement, est « projet » : le choix, l'engagement sont donc au cœur de la pensée de Sartre. Par conséquent, l'existence excède bien la vie, mais seul l'homme peut se déterminer comme existant, alors que la vie appartient aussi bien à l'homme qu'aux plantes et aux animaux.
Nous devons à Dieu quatre choses, dont on s'acquitte dans la religion chrétienne : nous devons le connaître, l'adorer, l'aimer et lui obéir. Nous connaissons Dieu par la foi. Nous l'adorons par la prière et par le sacrifice.
L'acte sexuel est agréable.
Il fait partie du plan de Dieu pour la création (Genèse 1:31). Il a été conçu pour procurer plaisir et satisfaction (Cantique des Cantiques 4:10).
L'Église est gouvernée par les clés de la prêtrise.
Tous les hommes et toutes les femmes servent sous la direction des personnes qui détiennent les clés. C'est ainsi que le Seigneur gouverne son Église.
L'Esprit-Saint est une personne divine qui scelle l'union entre le Père et le Fils ; il est donc au coeur de la vie trinitaire. L'Esprit est aussi mystérieux que le Père et le Fils, mais il rappelle plus impérieusement que Dieu est mystère car il est unique mais, en même temps, révélé en trois personnes.
On reconnaît son action à la joie, au courage et à la force que l'on éprouve. Comme un feu intérieur, il nous enflamme pour faire le bien, nous donne la paix, nous rappelle l'amour du Père, nous guide vers la vérité et nous donne d'être convaincu que Dieu agit dans notre vie et dans le monde.