En islam, le mariage n'est pas une finalité en soi mais un moyen pour fonder la famille sur des bases saines. La famille est, en effet, le premier pilier d'une société, tant et si bien que ce pilier doit être fondé sur des relations solides. La maternité est, de ce fait, le ciment qui renforce la famille.
Le mariage est ainsi un acte officiel et solennel qui institue entre deux époux une communauté socialement reconnue appelée « famille » (ou foyer, feu, ménage) dont le but est de constituer un cadre de vie stable, commun aux parents et aux enfants pour leur éducation.
Se marier permet aussi d'officialiser votre amour et de renforcer le sentiment de légitimité du couple. Le mariage permet également de renforcer les liens de fidélité du couple. En effet, une personne mariée sera moins convoitée qu'une personne non mariée. Se marier c'est aussi donner sa parole à son partenaire.
Les conditions du mariage sont la présence du tuteur de la mariée, l'acceptation des deux époux, le mahr de l'époux à l'épouse, le contrat de mariage et plusieurs témoins.
Le mariage musulman est un contrat passé librement entre un homme et une femme qui s'engagent à s'apporter amour et protection. Il est fondé, selon le Coran, sur “ l'amour et la compassion que Dieu a infusé dans le cœur de l'homme et de la femme afin qu'ils forment un couple ”.
Le mariage en Islam, aussi appelé hlel (qui vient du « halal »), nikah ou fatiha suivant le pays d'origine, est un contrat moral passé entre les deux membres d'un couple musulman, reconnu devant Dieu et devant les hommes.
Points clés à retenir : Les raisons valables pour que la femme divorce en Islam sont l'avarice, le mauvais traitement et le mauvais comportement de son époux ; Le divorce est aussi possible en cas de refus de prier ou d'abandon de la religion par l'époux.
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
Le mahr (arabe : مهر) est le don, selon les prescriptions de l'islam, que l'époux doit faire à l'épouse. Ce don serait une forme d'appréciation et permettrait d'offrir certaines garanties à la femme.
Dans les pays musulmans, le mariage est organisé généralement le jeudi et le vendredi. Mais en France pour des questions pratiques, on préfère le faire le samedi et le dimanche. De cette manière, toute la famille peut se libérer pour participer aux festivités.
D'après une étude réalisée par le sociologue Nicholas Wolfinger à l'université de l'Utah, l'âge idéal pour se marier serait de 32 ans.
En France, aujourd'hui, on se marie essentiellement par amour. Si pour certains le mariage est une preuve d'amour, pour d'autres il s'agit plutôt d'officialiser aux yeux de la société l'engagement que chacun a pris envers l'autre.
La conclusion du mariage génère de nombreux effets notamment sur le nom de famille et le régime matrimonial des époux. La conclusion du mariage génère de nombreux effets. La principale conséquence de la célébration d'un mariage est la création de l'union conjugale.
Ce fut un mariage accompli par le Seigneur entre deux êtres immortels parce qu'avant que le péché ne soit dans le monde, leur corps n'était pas soumis à la mort. Il les a rendus un, pas seulement pour le temps, ni pour une période déterminée ; ils étaient un pour l'éternité…
la dot de mariage, apportée par la famille de l'épouse à celle-ci ou au ménage (pratique qui avait cours dans la bourgeoisie) ; le prix de la fiancée apporté par le mari ou sa famille à la famille de son épouse ; le douaire apporté par le mari à son épouse.
Autrefois, la dot d'une femme était une affaire de famille ; elle était payée par son époux et sa famille. Le « prix de la mariée » n'était pas négocié : le marié et sa famille décidaient généralement du montant et des modalités de paiement au profit de la famille de la mariée.
La dot servait surtout pour payer les loyers, acheter de la nourriture et d'autres biens, mais aussi, dans le cas des artisans et des petits marchands, pour approvisionner l'atelier ou le commerce ou accroître son activité.
Conclusion. 41Le halal règle les comportements sexuels et plus uniquement des filles comme l'imposait le nif : désormais le passage par le religieux fait que toute relation hors mariage (avant ou pendant) est condamnée tant pour les hommes que pour les femmes.
La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée. La cérémonie dure une trentaine de minutes et peut se dérouler dans divers endroits : A la mairie, à la mosquée, au futur domicile du couple ou bien celui des parents.
Le mariage sans acte civil est haram.
Le mariage est un contrat civil qui doit être reconnu devant Dieu et devant les hommes. Le terme “Hlal” tel qu'il est utilisé aujourd'hui pour décrire le mariage religieux ne peut être valable dans la mesure où rien ne peut légalement le garantir.
Le mariage religieux n'est pas valable du point de vue du droit musulman « Fiqh » car rien ne peut légalement le garantir. Rien ne garantit, non plus, les droits des chacun des époux en cas de litige, ni la reconnaissance d'éventuels enfants ou les droits de succession.
Dans la loi islamique, il est possible de dissoudre le mariage par un divorce par répudiation. Pour ce faire, voici la liste des démarches à suivre : L'époux doit adresser une demande de répudiation écrite à la justice de sa commune ou en se rendant dans un tribunal d'instance.
Amour prééternel
Il est un amour préexistant et éternel. Dans sa petite épître consacrée au thème de l'amour, Mahmûd al-Uskudârî explique ceci : « Dieu, exalté soit-Il les aime en vertu de Sa préexistente bienveillance, non en vertu d'une cause quelconque. Il les aime pour ce qu'ils sont intrinsèquement.