Dans une narration, une prolepse (en anglais flashforward, saut en avant) intervient lorsque le spectateur est informé d'un élément du récit qui est censé se dérouler dans un temps futur par rapport au temps principal du récit, figure que l'on peut opposer au flashback.
L'analepse fonctionne de la même façon, un stimulus doit entraîner le retour en arrière. Le personnage va alors se remémorer un épisode de son passé, ou en discuter avec quelqu'un. Puis, un autre élément va le ramener dans le présent, et l'ellipse temporelle sera close.
L'analepse – nom féminin (du grec ancien ἀνάληψις / análipsis) ou retour en arrière, dans un récit enchâssant, est une figure de style. Elle correspond à un retour en arrière, au récit d'une action qui appartient au passé.
La première partie du générique présente le plus souvent les acteurs et précise les personnages qu'ils incarnent, elle détaille également l'ensemble du personnel technique ainsi que la musique utilisée. Les crédits apparaissaient autrefois au début du film qui se termine par un simple carton « fin ».
Une préquelle, également appelé un préquel, présuite ou antépisode au Canada francophone (de l'anglais prequel), est, en littérature, au cinéma, dans les séries télévisées, en musique ou dans les jeux vidéo, une œuvre dont l'histoire précède celle d'une œuvre antérieurement créée.
De façon générale, la scène d'exposition a pour but de présenter les personnages principaux et leurs rapports entre eux, ainsi que l'intrigue et les premiers enjeux, mais aussi d'indiquer la tonalité générale, le cadre spatio-temporel, et enfin de donner l'envie de lire la suite.
Définition de analepse nom féminin
didactique Retour en arrière sur des évènements antérieurs au récit en cours, dans une narration. ➙ flash-back. Analepse et prolepse.
Procédé de style par lequel on revient en arrière dans un récit. Exemple : Afin de faire le jour sur le passé du protagoniste et d'expliquer ainsi son profil psychologique particulier, l'auteur a eu recours à différentes analepses.
en syntaxe, il s'agit d'une expression anticipée, dans le COD de la principale, du sujet de la subordonnée comme dans « Regarde cette auto, comme elle est belle ». en rhétorique, la prolepse est une figure par laquelle on prévient une objection, en la refusant d'avance comme dans « Cela serait trop long à expliquer ».
✓ La prolepse : une prolepse désigne toujours une anticipation narrative du récit sur l'histoire. En ce sens, elle est l'exact contraire de l'analepse qui, pour sa part, est toujours un retour dans le passé.
Définition : L'analepse et la prolepse sont des figures de style. La première est un retour en arrière, un flashback, un récit d'un événement qui a eu lieu dans le passé. La seconde est une anticipation, une prévision, un flashforward, qui permet de voir ce qui arrivera plus tard.
Une ellipse narrative permet au narrateur de passer volontairement sous silence certains épisodes de l'histoire. En grammaire, une ellipse désigne la disparition d'un mot ou d'un groupe de mots. En rhétorique, l'ellipse est une figure microstructurale de construction.
Une façon courante de faire la transition vers un flashback est d'invoquer la mémoire du personnage. Vous pouvez y parvenir en faisant voir à votre personnage quelque chose qui résonne avec lui, en lui faisant regarder une photo ou en lui faisant entendre une chanson qui lui rappelle une autre époque.
Le flashforward est un terme emprunté à l'anglais pour désigner un saut en avant effectué dans une narration, c'est-à-dire un saut dans le futur permettant au lecteur d'avoir des informations futures tout en restant dans un récit au présent.
1. Procédé syntaxique consistant à placer dans la principale un terme qui devrait se trouver dans la subordonnée (par exemple la phrase Tu as vu ce type comme il est grand). 2. Figure qui consiste à réfuter à l'avance une objection possible.
Dénouement ou élément de résolution : il met un terme aux actions et conduit à la situation finale. Situation finale ou explicit : c'est le résultat, la fin du récit qui redevient stable.
Psittaciste, subst.,rare. Personne qui pratique le psittacisme, qui répète sans réfléchir.
L'épilogue (du grec "ἐπίλογος", lui-même étant issu des mots ἐπί (epi) : sur, au-dessus et λόγος (logos) : discours) est la dernière partie, la conclusion d'une œuvre (discours, roman, film, pièce théâtrale, etc.). Il désigne plus particulièrement au théâtre classique un discours récapitulatif à la fin de la pièce.
Définition de ellipse nom féminin
Omission de un ou plusieurs mots dans une phrase qui reste cependant compréhensible. Ellipse du verbe dans « chacun pour soi » (« chacun agit pour soi »). Art du raccourci, du sous-entendu. Omission dans une suite logique, une narration.
Peut-on écrire un roman à partir d'une phrase, la première ? L'incipit, c'est la première phrase d'un livre, celle qui peut inciter le chaland-lecteur à s'arrêter pour en savoir plus.
D'un point de vue commercial, un échec cinématographique, couramment appelé bide, raté, fiasco, flop ou four, se dit d'un film dont le succès ne couvre pas suffisamment les dépenses engagées pour sa production, sa distribution et sa promotion.
Stichomythie (n. f.) : enchaînement de répliques très courtes de manière très rapide pour donner du dynamisme et de l'intensité à une scène. Elle marque souvent le conflit.
Définition "film muet"
n.m. Film se caractérisant par l'absence de dialogue, une bande sonore musicale pouvant toutefois être associée.
En art, un huis clos est un roman, une pièce de théâtre, un film, dont l'action se déroule en un lieu unique, dont les personnages ne peuvent sortir.