La plupart des sakés titrent autour de 15 % d'alcool, un degré plus élevé que la majorité des autres boissons fermentées comme la bière et le vin, mais plus faible que celui des alcools distillés en général.
Le saké n'est pas un alcool fort
Même si le mot saké, en japonais, désigne tout type d'alcool, le nihonshu (saké japonais) titre en moyenne de 14° à 16°. Il faut surtout retenir que c'est une boisson simplement fermentée comme le vin,…
Ce saké se caractérise par son bouquet très reconnaissable et sa saveur à la fois riche et veloutée, mais on peut le doter, selon le procédé de brassage, d'un goût sec, sucré ou neutre.
Au Japon, on plonge le “tokkuri” (la bouteille traditionnelle destinée au service du saké) dans de l'eau chaude. Si vous n'avez pas de “tokkuri”, vous pouvez utiliser à la place une grande tasse ou un verre assez épais. Vous pouvez aussi réchauffer votre saké au micro-ondes (entre 40 s et 1 min environ).
Prix (en restaurants) entre 30 et 35 € (500 ml).
Allez directement choisir un saké de style Daïginjo, un saké au nez fruité et floral, un nez très marqué pour fouetter le cerveau et une bouche tendre et suave pour éblouir les papilles. Le saké idéal, c'est KAMEIZUMI un saké sur une aromatique puissante de fruits tropicaux et de raisin craquant.
Le geste est symbolique: l'hôte fait déborder le verre pour signifier au client qu'il lui donne sans compter, sans minauder ! La plupart du temps, le saké débordé sera également bu. Il s'agit de l'évolution d'une tradition plus ancienne où seul le Masu était rempli plus que nécessaire.
Le saké est un vin de riz, avec un taux d'alcool de 9° à 14°. Il se conserve au minimum 2 ans après mise en bouteille, et peuvent vieillir longtemps pour les 14°. On conseille de consommer rapidement les sakés de dégustation, mais ils tendent à mieux se conserver qu'un vin blanc par exemple.
Après ouverture, pour conserver ses qualités le plus longtemps possible, une bouteille doit être gardée au réfrigérateur et consommée dans la semaine (jusqu'à 10 jours pour certains sakés voire plus longtemps pour d'autres).
Prévenant également son désèchement, il permet à la peau de rester hydratée et lumineuse. De plus, l'acide kojique - qui compte parmi la centaine d'acides aminés et organiques contenus dans le saké - agit sur la mélanine, et permet de ce fait d'atténuer les taches et grains de beauté.
En japonais, bien que ce même terme sake (酒) ou o-sake (お酒, prononciation kun'yomi, le « o » marquant le respect, voir Keigo) désigne cette boisson, son sens peut s'étendre selon le contexte à toute boisson alcoolisée, aussi les Japonais utilisent-ils plutôt le terme nihonshu (日本酒, littéralement « alcool japonais »), ...
Le Sake : Une Boisson Sacrée
Cette boisson ancestrale serait apparue au Japon vers le IIIe siècle, avec le développement de la riziculture. À l'origine, la fabrication du saké était réservée aux prêtresses qui mâchaient le riz avant de le laisser fermenter, grâce aux enzymes contenues dans la salive.
L'Everclear a une teneur de 95°. Comme le précédent, il s'agit d'un alcool rectifié, mais cette fois-ci, fabriqué aux États-Unis. Il est fait à base de maïs et mérite pleinement sa place parmi les alcools les plus forts au monde. D'ailleurs, sa consommation est interdite dans plusieurs états aux États-Unis.
En France cependant, on parle de saké pour désigner ce qui s'appelle en réalité le nihonshu, une préparation issue de la fermentation de riz. Le fameux "alcool de riz". Si on désigne généralement le saké comme étant le "vin japonais", il n'en est rien et cette boisson serait d'ailleurs davantage une "bière japonaise".
Le secret pour réchauffer son saké, c'est de placer le tokuri dans l'eau bouillante pendant un court instant. Réchauffer le saké au bain-marie dans une grande quantité d'eau bouillante, sans contact direct avec la source de chaleur, lui permet de préserver son goût et de refroidir plus lentement.
Sakés chauds :
Tobikiri Kan (55°) Atsu Kan (50°) Jyou Kan (45°) Nuru Kan (40°)
De nos jours, la plupart des sakés premiums se dégustent légèrement frais. Mais veillez à ne pas trop le refroidir, le froid atténuant certains arômes. Tout comme le vin, le saké présente des profils différents en fonction de la température de dégustation.
Comme le vin, le saké est une boisson très complexe, d'où l'intérêt de le déguster dans un verre à vin. Selon le style de saké, on peut utiliser un verre à vins de Bordeaux ou un verre à Brandy. Pour les sakés de la famille Junshu par exemple, nous pouvons utiliser une coupelle qui s'appelle le guinomi.
Véritable fleuron du savoir-faire des brasseurs japonais, le nihonshu Junmai Daiginjo fait figure de meilleur saké. Généralement servi sec, il possède un parfum complexe ainsi que des arômes très prononcés. Le saké Daiginjo se montre plus subtil et délicat, avec toujours un certain raffinement.
Si vous appréciez le saké, tournez-vous vers du ginjo saké ou du daiginjou saké qui présentent peu d'arômes de riz. Les sakés avec un goût de riz prononcé se marient bien mieux avec les sashimis que les sushis.
Les ingrédients du saké sont : le riz, les levures et l'eau. Il n'y a pas d'ajout d'arômes ni de sulfites. Le riz est la matière première du saké. De la même manière que le raisin de cuve est différent du raisin de table, le riz, destiné à la fabrication du saké est différent du riz destiné au repas et à la cuisine.
Le saké est une boisson japonaise à base de riz, obtenue par fermentation, et qui a été importée par les Chinois en -500 avant Jésus-Christ. Le savoir-faire, la qualité de l'eau et la qualité du riz sont les trois éléments qui permettent de déterminer la grandeur d'un saké.
Le mirin, un saké doux.
Le mirin arrondi la saveur des aliments par sa douceur et confère une aspect brillant et appétissant aux plats. Il peut être également utilisé pour apporté un goût sucré à une préparation. Son utilisation est très large et va des salades, aux plats chauds, jusqu'au desserts.