Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Les deux principaux types de diabète sont des maladies différentes mais caractérisées par un excès de sucre dans le sang et doivent être prises au sérieux et traitées efficacement. Il n'y a pas de « petits diabètes » ou de diabètes plus graves que d'autres.
Des complications à l'évolution variable
L'hyperglycémie prolongée aura dans les deux cas des effets délétères sur les artères, avec des atteintes rénales, cardiovasculaires ou encore visuelles. Les patient·es diabétiques de type 1 sont exposé·es plus jeunes aux complications du diabète.
Quelles sont les conséquences du diabète de type 2 ? Après plusieurs années d'évolution, le diabète entraîne des complications graves, pouvant survenir après 10 à 20 ans de déséquilibre glycémique. La maladie peut provoquer une cécité et des atteintes aux pieds pouvant aller jusqu'à des amputations.
Quel taux de glycémie dangereux ? Quel taux pour être diabétique ? Un taux de glycémie trop bas (hypoglycémie) c'est à dire qui est inférieur à 0,70g par litre à jeun peut être dangereux pour la santé; tout comme un taux de sucre trop élevé (hyperglycémie), c'est à dire supérieur à 1,26g par litre à jeun.
L'état d'hyperglycémie hyperosmolaire survient en présence d'un taux de glucose sanguin élevé, souvent supérieur à 30 mmol/L, qui mène à une déshydratation sévère en raison de l'augmentation de la fréquence et du volume urinaire.
L'appellation "diabète de type 3" est très controversée. Il s'agit en fait du surnom donné à la maladie d'Alzheimer, considérée par certains chercheurs comme une nouvelle forme de diabète, localisé au niveau du cerveau. Le point avec le Dr Maï Panchal, directrice scientifique de la Fondation Vaincre Alzheimer.
L'amélioration de la condition physique, la perte de poids et une alimentation contenant peu de graisse ainsi que des mesures comme la diminution du stress, des excès d'alcool et de la consommation (voire l'arrêt) de tabac permettent en effet de retraverser dans l'autre sens la limite arbitraire entre diabète et non- ...
Diabète et articulations. Ces complications du diabète concernent les membres supérieurs (doigts, main, poignet, coude ou épaule) mais aussi les pieds. Elles peuvent se traduire par une gêne ou un blocage des mouvements, des fourmillements, une sensation d'engourdissement ou des douleurs.
et une qualité de vie altérée, l'impact sur l'espérance de vie est mineur. En revanche, le diabète de type 2 diagnostiqué avant 40 ans “coûte” six à huit ans de vie. Mais ce n'est pas tout.
Causes et facteurs favorisants du diabète. Le diabète est favorisé par une prédisposition génétique. Le diabète de type 1 survient suite à une réaction anormale du système immunitaire. La survenue du diabète de type 2 est essentiellement liée au mode de vie : surpoids, sédentarité, hypertension artérielle, etc.
Avec le temps, le diabète peut endommager le coeur, les vaisseaux sanguins, les yeux, les reins et les nerfs.
Groupe 4 : ce diabète est observé chez des personnes obèses, mais dont le métabolisme est beaucoup plus proche de la normale que chez celles du groupe 3. Groupe 5 : il apparaît chez des personnes d'âge moyen, plus vieilles que dans les autres groupes, et il a tendance à être moins grave.
Un diabétique de type 1 qui ne prend pas son insuline peut mourir à tout moment. Sachant cela, les diabétiques de type 1 ont tendance à bien gérer leur glycémie.
Le diabète de type 2 est de loin le plus fréquent. Il est lié à l'interaction de plusieurs gènes de prédisposition et de facteurs environnementaux (alimentation, sédentarité, tabac). Ainsi, le diabète de type 2 est favorisé par le mode de vie « occidental », plus sédentaire qu'avant, par l'obésité et l'âge.
Elle consiste à privilégier les fruits, légumes, féculents, poissons… et à limiter la consommation de produits sucrés, salés et gras ; qui couvre vos besoins, en quantité adaptée à chacun pour apporter l'énergie nécessaire au fonctionnement de l'organisme.
Les kiwis. Les kiwis sont excellents pour réguler la digestion et réduire le taux de cholestérol grâce à leur richesse en fibres et en vitamine C. Leur taux de sucre est similaire à celui des fraises (7-8 %), ils sont donc recommandés dans le cadre d'un régime diabétique.
On considère généralement que le diabète de type 2 est une maladie chronique irréversible, dont on ne peut espérer guérir, et que la seule option thérapeutique demeure de limiter les dégâts causés par l'hyperglycémie.
Le cerveau n'est pas épargné : être diabétique à 40 ans augmenterait de 30% le risque de faire une attaque cérébrale à partir de 60 ans selon une étude publiée dans la revue médicale Diabetologia en 2019.
Les études montrent que le diabète de type 2 peut constituer un facteur de risque de la maladie d'Alzheimer, des maladies cérébrovasculaires et d'autres types de troubles neurocognitifs.
Les complications du diabète au niveau des artères cérébrales. Les personnes diabétiques ont un risque plus élevé d'accident vasculaire cérébral. Cette complication est due à une mauvaise circulation du sang du fait de la présence de plaques d'athérome, dépôts formés de cholestérol, dans les artères cérébrales.
Pour se désintoxiquer et arrêter le sucre, l'idéal est de faire des bonnes nuits, de se détendre, de trouver du positif et du réconfort ailleurs. Le sport est bien sûr recommandé, mais aussi la consommation de tisanes pour se nettoyer et couper l'envie de sucre chaque fois qu'elle advient.
2 - Le sucre peut provoquer la maladie du foie gras
La maladie du foie gras ou encore la stéatose hépatique non alcoolique (NASH en anglais) est une maladie qui toucherait environ 2 millions de Français. Elle apparait lorsque le foie reçoit une quantité de sucre trop importante et le transforme en graisse.