A la fraternité répond désormais la sororité, comme outre-Atlantique « brotherhood » s'est vu opposer « sisterhood » – un terme popularisé par l'ouvrage de Robin Morgan, Sisterhood is Powerful, publié en 1970.
Vous trouverez dans le forum WordReference quelques propositions plus ou moins heureuses, parmi lesquelles « sororie » comme remplacement féminin de « fratrie », qui semble être privilégié par les historiens, de même que le terme plus neutre « adelphie » pour désigner ce qui est relatif aux frères et sœurs.
Le terme de sororité, popularisé par les féministes dans les années 70, réemployé aujourd'hui au-delà des cercles militants, s'est ainsi construit en opposition au concept de fraternité, pour rendre visible les femmes, favoriser l'entraide entre elles et la lutte contre le patriarcat.
Le terme d'adelphité, plus « neutre » et surtout plus inclusif, regroupe à la fois la fraternité et la sororité, sans dimension ni mention genrée ; et désigne la solidarité entre ses semblables, qu'ils soient hommes, femmes ou non binaires.
Explications. La sororité c'est aussi un concept, un concept de solidarité. Une solidarité au féminin que certains assimilent à son pendant masculin : la fraternité. Du latin soror, qui signifie sœur ou cousine, la sororité veut unir les femmes sous une même bannière, au-delà des dissensions, pour lutter ensemble.
A la fraternité répond désormais la sororité, comme outre-Atlantique « brotherhood » s'est vu opposer « sisterhood » – un terme popularisé par l'ouvrage de Robin Morgan, Sisterhood is Powerful, publié en 1970.
Une fraternité ou sororité est souvent appelée aussi une « maison grecque » ou simplement « maison », des termes qui sont parfois trompeurs car ces confréries n'ont pas obligatoirement une véritable maison pour se réunir.
Étymologie. Du latin fraternitas , dérivé de frater (« frère »).
Le premier à avoir formulé cette devise en tant que telle est Maximilien de Robespierre dans son Discours sur l'organisation des gardes nationales, imprimé mi- décembre 1790 et diffusé largement dans toute la France par les Sociétés populaires, même s'il ne fut jamais prononcé, ni le 5 décembre 1790 , ni les 27 et 28 ...
Adelphe est un mot issu du grec ancien, qui a d'abord été employé dans le domaine de la botanique. Il a ensuite désigné un enfant ayant les mêmes parents que le locuteur. Pour faire plus simple, l'adelphe de quelqu'un, c'est son frère ou sa sœur.
Fraternel. La notion fraternelle comprend deux définitions. La première définition s'appuie sur le lien de parenté, et définit le fraternel comme ce qui est «propre à des frères et sœurs». La seconde définition est d'ordre affectif, «qui évoque l'affection que l'on se porte habituellement entre frères et sœurs».
Car si on n'a qu'une famille d'origine, l'histoire de cette famille comporte autant de versions que de membres. Dans l'ensemble des relations humaines, le lien qui existe entre soeurs est unique. La sororité est une forme d'amitié entre égaux.
Adopté sur proposition de Jean-Baptiste Belley (un des premiers députés noirs, représentant de Saint-Domingue), le terme de « fraternité » apparaît pour la première fois dans les textes en novembre 1848 à l'article IV du préambule de cette constitution : « Elle (la République française) a pour principe : la liberté, l' ...
Ensuite, c'est le frère ou la soeur cadet (appelé aussi puiné). Le benjamin désigne le petit dernier d'une fratrie. Ainsi, dans une fratrie de trois enfants, l'ainé sera la premier, le cadet sera le second et le troisième enfant sera le benjamin.
Sœur par le père ou la mère seulement.
Neveu Fils du frère ou de la soeur. Nièce Fille du frère ou de la soeur. Oncle à la mode de Bretagne Cousin germain du père ou de la mère. Oncle Frère du père ou de la mère.
"L'emblème national est le drapeau tricolore, bleu, blanc, rouge" et "L'hymne national est la “Marseillaise” " (art. 2 de la Constitution). Ces symboles, définitivement consacrés au début de la IIIe République, placent le régime républicain dans le prolongement de la Révolution française.
« Liberté, fraternité, démocratie ». « Liberté, démocratie, égalité ». « Liberté, égalité, fraternité ». « Liberté, égalité, fraternité » est la devise de la République française.
Car même si on est tous différents, la fraternité permet de créer des liens entre nous, comme la relation que l'on partage avec sa famille, avec ses frères et sœurs. On se voit tous les jours, on s'aime bien, on se chamaille, on partage des grands et des petits bonheurs et on se soutient.
Ce lien de sang est là, il ne se discute pas et tant que le sentiment de Fraternité est là, ce lien perdure avec ses règles. L'Amitié, elle, est définie comme le sentiment d'affection entre deux personnes. Il s'agit de l'attachement, de l'affection qu'une personne porte à une autre.
Fraternitaire, adj.,rare. Qui est relatif aux liens de fraternité entre les hommes.
La solidarité est souvent confondue avec la fraternité. Il ne s'agit pas toutefois de la même valeur morale : la fraternité est un sentiment que chacun est libre de ressentir, la solidarité est une mesure sociale de l'État imposée à tous.
En réalité, entrer dans une sororité, ou une fraternité, c'est surtout le moyen de se faire des amis et de prendre part à la vie sociale du campus : connaître des gens, leur réputation associée à celle de leur maison, où sont les fêtes, être connu sur le campus, ne pas être un anonyme parmi les milliers d'étudiants.
Une sororité est un groupe de femmes tel qu'ils se sont développés dans les universités américaines, soit l'analogue féminin des fraternités.