Ainsi, selon les interprétations, le fruit défendu serait une pomme, une poire, une figue ou une grenade (principalement en Arménie). La référence fréquente à la pomme pourrait être due au fait qu'en latin, pomum signifie « fruit », le terme propre pour désigner les pommes étant malum, mala.
Ils avaient l'interdiction de toucher au fruit de l'arbre de la Connaissance. La suite de l'histoire, on la connaît tous ! Ève (aidée d'un serpent), tente Adam et lui fait commettre l'irréparable: croquer dans le fruit, une pomme.
Surnommé "La Reine des fruits" ou "Le Fruit des Dieux", le mangoustan derrière sa coque épaisse et violacée cache une chair fondante d'un goût subtil et d'une blancheur nacrée. Très apprécié des gourmets, ce fruit exotique dévoile des arômes de pêche, d'ananas et de framboise.
L'Ancien Testament narre l'histoire d'Adam et Ève, les premiers parents. Ils vivaient au Paradis en toute innocence, jusqu'à ce que le Diable incarné en serpent les incite à manger le fruit défendu de l'arbre de la connaissance. Pour les punir de leur désobéissance, Dieu les chasse du Paradis.
Dans le livre de la Genèse, Dieu place Adam et Ève dans un jardin merveilleux, l'Éden. Il leur permet de manger de tous les fruits, sauf un. Mais un serpent leur fait croire que s'ils goûtent ce fruit, ils seront puissants et n'auront plus besoin de Dieu ! Ève goûte et fait goûter Adam.
Pour les punir Dieu les chasse du Paradis terrestre et leur enlève leur immortalité. Il dit à la femme qu'elle accouchera dans la douleur et à l'homme qu'il devra travailler à la sueur de son front et cultiver la terre pour se nourrir. Quant au serpent, il est condamné à ramper et à être maudit.
Le texte biblique ne mentionne donc jamais explicitement de quel type est le fruit ingéré par le couple. Il est bien question d'un figuier, dont le fruit pourrait être hypothétiquement le fruit défendu, mais le texte ne fait aucune mention de la fameuse pomme.
Le jardin d'Éden, réputé proche des sources du Tigre et de l'Euphrate, devrait se situer selon des narrateurs originels établis dans la terre de Canaan (selon la tradition juive, Adam et Ève sont enterrés dans la caverne de Makhpela, à Hébron) dans les monts Taurus, en Anatolie.
Les Fruits de l'Esprit Saint. « Mais le fruit de l'Esprit, c'est la charité, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la longanimité, la mansuétude, la foi, la modestie, la continence et la chasteté » (Galates 5, 22).
Ève succomba à la tentation du serpent. Elle mangea le fruit défendu et s'assura qu'Adam en fasse autant. « Et ensuite, dit la Genèse, leurs yeux se sont ouverts et ils se sont vus nus » (Genèse 3: 7). Pour cette transgression, ils furent expulsés du paradis.
Le Mizu Mizu no Mi, ou Fruit de l'Eau en français, est un Fruits du Démon de type Logia. Il permet à son utilisateur de devenir, contrôler et de maîtriser l'eau.
Les dons du Saint-Esprit sont différents des neuf fruits de l'Esprit, qui sont énumérés par Paul de Tarse dans l'Épître aux Galates : ceux-ci sont l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, et la tempérance.
Les Fruits du Démon seraient des fruits venant des mers et le secret de leur puissance serait caché sur Grand Line. Il est par ailleurs rare d'en trouver, notamment hors de Grand Line. De nombreuses rumeurs circulent à leur sujet, il est donc difficile de savoir si ce qu'on raconte est réel ou fictif.
Ève, d'abord convaincue par le serpent, puis Adam ensuite, vont croquer la pomme. Enfin la pomme, ça n'a jamais été précisé dans la Bible, on y parle juste du fruit d'un arbre qui en latin se dit. C'est pour ça qu'on parle de pomme de pin et que le premier nom de la banane fut "pomme de paradis".
Si de nombreuses incertitudes entourent le Jésus « historique », les textes les plus anciens indiquent qu'il avait des frères et des sœurs. Le Nouveau Testament en dénombre six au minimum : Jacques, Joset, Jude et Simon ; les sœurs, si elles sont mentionnées, ne sont jamais nommées.
Le fruit défendu n'étant pas décrit dans le texte biblique, l'arbre de la connaissance du bien et du mal a été assimilé à différentes essences. La tradition juive y voit souvent un figuier qui est présenté comme l'arbre qui permet à Adam et Ève de couvrir leur nudité une fois le fruit défendu consommé.
Les dons spirituels sont des bénédictions ou des capacités accordées par Dieu à ses enfants par le pouvoir du Saint-Esprit. Les dons de l'Esprit sont donnés pour la bénédiction et le profit des personnes qui aiment le Seigneur et s'efforcent de respecter ses commandements.
Les sept donsdu Saint-Esprit sont la sagesse, l'intelligence, le conseil, la force, la science, la piété et la crainte de Dieu. Ils appartiennent en leur plénitude au Christ, Fils de David (cf Is 11).
Le citron. Le citron, c'est le fruit détox par excellence. En effet, il aurait pour effet de stimuler l'activité des reins, ce qui favorisait l'élimination des toxines.
Ils vécurent dans le jardin d'Éden. Ils furent chassés par Dieu de ce merveilleux jardin car ils mangèrent du fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
3L'existence du Paradis terrestre était connue grâce au texte de la Bible, plus précisément, grâce au livre de la Genèse. L'Éden y est décrit comme un jardin merveilleux, situé à l'Orient, au milieu duquel se trouvent "l'arbre de vie" et "l'arbre de la science du bien et du mal"2.
Les hormones sexuelles féminines, les oestrogènes, entraînent également le grossissement de certaines parties du corps des femmes comme la poitrine. Mais pas leur pomme d'Adam. Il existe en revanche une protubérance osseuse presque exclusivement féminine, l'hallux valgus. Plus connu sous le nom d'« oignon » aux pieds.
Contrairement à ce que vous pensez, les femmes ont une pomme d'Adam mais à la différence des hommes, elle n'est pas visible. La pomme d'Adam, scientifiquement, correspond au cartilage thyroïde. C'est un cartilage et non un os, qui est une sorte de bouclier qui protège les cordes vocales et le larynx.
Ainsi, selon les interprétations, le fruit défendu serait une pomme, une poire, une figue ou une grenade (principalement en Arménie). La référence fréquente à la pomme pourrait être due au fait qu'en latin, pomum signifie « fruit », le terme propre pour désigner les pommes étant malum, mala.