Ces flatuosités, comme les appellent les médecins, sont la plupart du temps très malodorantes. Pourtant, la plupart des gaz libérés sont inodores : dioxyde de carbone, hydrogène et méthane. Mais le pet contient aussi du sulfure d'hydrogène, célèbre pour son odeur d'œuf pourri.
Les chercheurs précisent tout de même que les flatulences, respirées à haute dose, peuvent être toxiques, mais que pour profiter de leurs bienfaits, il faudrait se contenter d'une petite dose...
En effet, d'après la science, sentir vos propres pets est bon pour la santé ! C'est le fameux sulfure d'hydrogène, un des composés des pets, qui leur donne cette odeur caractéristique d'œufs pourris. Et il s'avère que cette odeur est bénéfique à la santé.
C'est là que par un échange avec l'air tout proche, le sang perd une bonne partie de son dioxyde de carbone que l'on rejette ensuite en expirant (l'air que l'on avait inspiré, lui, n'en contenait presque pas).
Respirer des pets, finalement c'est bon ou mauvais pour la santé ? En réalité ça n'a aucun intérêt. Certes, du sulfure d'hydrogène est bien émis lorsqu'on pète. Mais, celui-ci ne permet ni de faire diminuer les risques de cancers, ni ceux d'AVC ou d'attaques cardiaques.
Le monoxyde de carbone. Ce gaz toxique est un produit de combustion émis par les appareils de chauffage mal entretenus et vétustes (combustion mal réglée/incomplète, conduit obstrué…). Ce gaz est d'autant plus dangereux qu'il est invisible, inodore et qu'il n'irrite ni les yeux ni les voies respiratoires.
En effet, essayer de maintenir un gaz intestinal entraîne une accumulation de pression, en plus d'un grand inconfort. “Une accumulation de gaz intestinaux peut déclencher une distension abdominale, certains gaz étant réabsorbés dans la circulation, et expirés par la respiration”, explique la spécialiste.
Bien que peu commun, le fétichisme des flatulences est bien réel. Certaines personnes ressentent en effet de l'excitation lorsque leurs partenaires sexuels laisse filer un vent. Cet amour du pet porte même un nom, l'éproctophilie.
Une personne normale pète environ 14 fois par jour. Et là vous vous dites que vous ne pétez pas autant, que vous êtes donc un surhumain ou un extraterrestre. On vous rassure, vous produisez très certainement des gaz en dormant.
Autant de responsables du syndrome de malabsorption, qui augmentent les flatulences et varient d'un individu à l'autre. Et si l'on pète beaucoup la nuit, rien de plus naturel puisque tout notre corps se relâche sans pouvoir le contrôler. Reste à éviter les aliments gazogènes la veille d'un rendez-vous galant !
Oui, en vous retenant, vos intestins se sont mis en mode « urgence » et vont donc disperser vos gaz un peu partout dans votre organisme : bouche, sinus, poumons… Et évidemment, quand on met ces parties du corps en relation avec des substances toxiques, cela peut avoir des répercussions sur la santé…
La pression effectuée par les muscles de l'abdomen fait qu'au bout d'un moment, on n'y tient plus : c'est le pet. De très sérieuses études ont démontré que l'être humain pète environ 14 fois par jour, l'homme étant a priori plus prolifique que la femme.
Chaque jour, l'humain pète 11 fois, et le pet voyage à une vitesse moyenne de 11 km/h.
Sentir le pet de son partenaire est bon pour la santé
Au-delà de renforcer vos liens avec votre partenaire comme le pensent quelques spécialistes, le pet pourrait avoir des vertus qui vont au-delà du bien-être du couple. Laisser libre cours à ses gaz pourrait aider à ce que l'être aimé soit en bonne santé.
Le pet à l'étouffée
Si vous êtes en position debout, serrez les fesses au maximum avant de les relâcher tout doucement, pour faire passer le moins d'air possible. Si vous êtes assis, la bonne vieille méthode de se décaler en s'appuyant juste sur une fesse fonctionne très bien, mais attention !
Le risque d'inconfort abdominal et intestinal
Cette accumulation gazeuse peut déclencher une distension abdominale. En effet, les gaz, faute d'être libérés, s'accumulent dans l'appareil digestif au point de créer une pression.
L'odeur est un stimulus très fort, comme la douleur, qui est de nature sensorielle. Aussi, l'idée que l'on a d'une douleur ressemble fortement à celle d'une odeur. Enfin, la sensation d'odeur, bien que très différente, a une origine dans le cerveau qui s'active comme pour la douleur.
Même s'ils sont incommodants, les gaz sont rarement le signe d'un problème de santé sérieux. Il est même tout à fait normal d'en avoir.
Il n'y a aucune raison de s'alarmer en cas de flatulences jugées excessives. Quand elles sont associées à des douleurs abdominales, une sensation de ballonnement ou des modifications du transit, on fait probablement face à une colopathie fonctionnelle ou syndrome de l'intestin irritable.
Le CO est un gaz incolore et inodore à température et pression normale, avec une densité voisine de celle de l'air. Il est le résultat d'une combustion incomplète, quel que soit le combustible utilisé (bois, butane, charbon, essence, gaz naturel...).
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Péter constamment tout au long de la journée pourrait être un signe que vous souffrez du syndrome du côlon irritable, explique le gastroentérologue Niket Sonpal. Votre système digestif devient en fait très sensible à toute forme de distension, qu'il s'agisse de nourriture ou de gaz.