La pauvreté est le premier frein au développement. La lutte contre la pauvreté est complexe, impliquant une multitude d'acteurs : elle doit être une priorité des États, faisant l'objet d'accords et d'une coopération internationale.
La pauvreté cause de plus en plus de crises sociales insolubles. Quant aux pays développés, leur poursuite effrénée de modes de vie toujours plus luxueux a mené à une dégradation sans précédent de l'environnement et à des atteintes irréparables aux ressources de la planète.
La pauvreté peut avoir des conséquences économiques importantes, notamment par une faible croissance économique : la pauvreté peut freiner la croissance économique, car les populations pauvres ont moins de pouvoir d'achat pour consommer des biens et des services, ce qui peut réduire la demande économique globale.
La pauvreté, c'est aussi ne pas pouvoir participer à des activités récréatives, ne pas pouvoir envoyer ses enfants en excursion ou à une fête d'anniversaire avec leurs camarades de classe, ne pas pouvoir payer les médicaments en cas de maladie. Ce sont là autant de conséquences de la pauvreté.
La pauvreté condamne des millions de personnes à la survie au jour le jour, avec des conditions de vie inacceptables et précaires, et rencontrent des difficultés souvent insurmontables pour avoir accès à l'alimentation, à l'eau potable, aux soins, à l'éducation, au logement.
millions d'hectares- population jeune- manque d'infrastructures- dégradation- lourde dette-instabilité politique- pauvreté- vols-problèmes.
La pauvreté oblige les gens et les nations, particulièrement dans les pays en développement, à se livrer à de nombreuses activités qui sont insoutenables à terme et préjudiciables à l'environnement.
La pauvreté est construite comme un problème public par différents acteurs politiques. Ils agitent cet épouvantail des pauvres qui consomment mal et dépensent mal leur argent. Le but de ces discours est de justifier la réduction des aides sociales, la baisse de la fiscalité sur les sociétés, sur les plus riches.
L'exclusion sociale associée à la pauvreté peut se traduire notamment par des possibilités limitées pour les individus (et conséquemment pour leur famille et leur communauté) de maintenir leur autonomie économique, tout en affectant l'intégrité de leur identité sociale, leur santé, leur éducation, leur participation au ...
Le seul moyen de briser le cercle vicieux de la fragilité et de la pauvreté est d'aider ces pays à renforcer leurs institutions et d'apporter aux populations l'appui nécessaire pour reconstruire leur vie et leurs moyens de subsistance.
Au niveau européen, les caractéristiques les plus associées à un risque élevé de pauvreté sont la grande taille du ménage, le fait d'être sans emploi et d'avoir un niveau d'éducation faible. Un mauvais état de santé ou un âge élevé du chef de ménage apparaissent souvent comme des facteurs discriminants.
Le concept de développement désigne l'ensemble des transformations techniques, sociales, territoriales, démographiques et culturelles accompagnant la croissance de la production. Il traduit l'aspect structurel et qualitatif de la croissance et peut être associé à l'idée de progrès économique et social.
La pauvreté est l'état qui ne fait pas ombre aux petits, elle leur inspire confiance. Elle valorise leur propre état et leur permet, à partir de là, d'affronter le monde. Elle les aide à puiser dans leur propre condition l'équilibre, la stabilité qui permettent d'accueillir plus pauvre qu'eux.
Il faut donc concilier ces trois domaines en même temps pour éviter leur épuisement : l'environnement, la société et l'économie.
La pauvreté rend des gens malades, cause de la souffrance, rend difficile l'accès à l'éducation et nuit à la capacité des personnes qui la vivent de réaliser leurs légitimes aspirations. Elle empêche des citoyenNEs de contribuer pleinement à la société. Et toute personne a droit à la dignité, qu'elle travaille ou non.
La pauvreté ainsi définie réduit donc les libertés réelles permettant à un individu de choisir le type de vie qu'il souhaite (A. Sen évoque le concept de « capabilité »). La lutte contre la pauvreté permet donc de favoriser l'égalisation des capabilités.
L'origine de la pauvreté est très diverse, mais parmi ses causes figurent le chômage, l'exclusion sociale et la grande vulnérabi- lité de certaines populations aux catastrophes, maladies et autres phénomènes qui les empêchent d'être productives.
Les ménages pauvres ont particulièrement pâti des baisses de revenu, des pertes d'emploi et des interruptions de travail enregistrées pendant la pandémie. Les femmes, les jeunes et les travailleurs informels et à bas salaires, en particulier dans les zones urbaines, ont été parmi les plus durement touchés.
Les effets de la croissance sur la réduction de la pauvreté sont à la fois directs et indirects : la croissance augmente mécaniquement le niveau moyen des revenus de la population ; elle entraîne aussi une augmentation des revenus des États, qui peut permettre un accroissement des investissements en matière sociale, de ...
Mais la comparaison à l'échelle de l'Europe permet d'en dégager trois formes élémentaires : une pauvreté intégrée, une pauvreté marginale et une pauvreté disqualifiante, renvoyant chacune à une configuration sociale précise.
Social, économique et environnemental : les 3 piliers du développement durable sont également ses enjeux principaux. L'avenir des générations futures ne saurait en effet être prospère sans une organisation cohérente et responsable de ces 3 enjeux dès aujourd'hui.
La maturation ou croissance biologique, la perception, l'activité du sujet, le langage, les interactions sociales, la culture, l'équilibration, les apprentissages sont des exemples de facteurs du développement.