En effet, tout en haut trône toujours la marque de soju Jinro, un alcool de riz coréen, avec 95,3 millions de caisses de neuf litres écoulés ! En 2020, ses ventes ont encore bondi de + 10 %. Elle devance le gin Ginebra San Miguel, originaire des Philippines, et le whisky indien McDowell's No.
Le vin rouge
Ce n'est pas un secret qu'un verre de vin rouge en fin de journée peut participer à une bonne santé cardiovasculaire. C'est parce que cette boisson est remplie d'antioxydants qui aident à prévenir les maladies cardiaques telles que les maladies coronariennes.
Alcool de maïs rectifié, l'everclear a été longtemps considéré comme l'alcool le plus fort. Produit aux États-Unis, cet alcool est considéré comme trop dangereux et donc interdit dans plusieurs états. Avec son degré titrant de 75 % à 95 %, sa vente ou son achat est illégal.
Parmi les alcools les plus forts du monde vous trouverez l'Everclear, fabriqué aux Etats-Unis. Comme le Balkan, il est incolore, inodore, et n'as pas de goût ! C'est de l'alcool quasiment pur qui pourrait même être classé dangereux à s'en trouer l'estomac.
Le Cocoroco : alcool le plus fort au monde
Avec une teneur d'environ 96 % d'alcool, le cocoroco est qualifié comme la boisson la plus puissante au monde. Originaire de Bolivie, cette boisson est fabriquée à base de canne à sucre et de noix de coco.
Buvez des alcools forts plutôt que de la bière.
Les alcools forts enivrent plus vite que la bière ou le vin, car ils sont plus alcoolisés. Les shots sont particulièrement efficaces puisqu'ils permettent d'absorber rapidement de l'alcool et la vodka en particulier est connue pour accélérer l'ivresse.
Lors de l'Euro 2016, ce dernier avait déclaré que «la bière est la meilleure boisson de récupération, c'est la plus complète. Elle n'a que des effets positifs, en raison de la quantité moindre de sucre et de la présence plus importante de magnésium, de phosphore, de calcium et de vitamine B».
L'alcool est un cancérogène avéré pour l'homme (groupe 1 du CIRC). Les cancers dont le lien avec la consommation d'alcool est avéré sont les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) , de l'œsophage, du foie, du sein chez la femme, et le cancer colorectal (WCRF/AICR, 2018).
"Mais la couronne de la consommation d'alcool par habitant revient aux îles Cook, qui sont en tête du classement mondial avec une consommation annuelle par habitant de 13 litres d'alcool.", explique Visual Capitalist.
Le whisky est riche en antioxydants
Tout comme certaines bières brunes ou le vin rouge, le whisky est une boisson riche en antioxydants. Les antioxydants, présents dans de nombreux aliments également, permettent de réduire le taux de mauvais cholestérol, tout en stimulant la production du bon cholestérol.
"Le whisky bon pour le coeur ? Un mythe qu'il faut détruire, écrit le docteur Pierre Theil, membre du Conseil Supérieur de l'Hygiène publique : il agit seulement comme sédatif et peut même supprimer le signal d'alarme que constitue la douleur, particulièrement utile chez un sujet menacé d'infarctus.
Selon les résultats de cette étude, l'alcool serait trois fois plus dangereux que la cocaïne ou le tabac. Ce classement bouleverse notre perception de la dangerosité des drogues et en particulier la distinction drogues douces/drogues dures.
La maladie touche essentiellement des personnes de plus de 55 ans. Le diagnostic est posé en moyenne à 73 ans pour les femmes et 70 ans pour les hommes, généralement à un stade évolué, ce qui explique le mauvais pronostic de la maladie.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
En effet, la consommation d'alcool, même modérée, ralentit la récupération musculaire après un entraînement. L'alcool pourrait influencer les niveaux de myostatine qui augmente dans les muscles en présence d'alcool et est capable de réduire la prise de muscle en empêchant la création de nouvelles fibres.
Une consommation excessive d'alcool (lors d'une même occasion, quatre consommations ou plus pour les femmes, et cinq consommations ou plus pour les hommes) et une consommation importante d'alcool peuvent augmenter la pression artérielle et le risque de développer une arythmie cardiaque, comme la fibrillation ...
Il ralentit le processus de combustion des graisses de votre corps de 73%, et réduit l'effet de la leptine, une hormone qui indique au cerveau d'arrêter de manger. Ce qui explique que, souvent, lors des repas avec alcool, nous mangeons plus que lors de nos journées normales de semaine.
Les chiffres montrent également qu'1 jeune homme (18-24 ans) sur 5 (4) connaît au moins 10 ivresses dans l'année, contre 7 % des filles. Autre fait : le verre de vin ne fait pas partie des rituels de la génération Y ! Les jeunes préfèrent les alcools forts (67,3 %) (3) ou la bière (63,5 %) au vin (35,9 %).
Pour éviter les nausées et les maux de tête du lendemain, mieux vaut éviter les alcools forts (plus de 40°c) en début de repas car ils favorisent un enivrement rapide. En pratique : évitez le whisky ou le ricard et préférez le champagne, le vin ou la bière dont les valeurs sont moyennes.
Une déficience génétique
Il s'agit en fait d'une mutation génétique qui touche jusqu'à 1/3 de certaines populations asiatiques, chez qui le gène permettant de métaboliser l'alcool est déficient. « Au départ, on a tous un gène qui permet de se débarrasser de l'alcool, qu'on appelle déshydrogénase (ADH).
Enfin, l'alcool possède la propriété intrinsèque de provoquer une accoutumance : le corps s'habitue et pour continuer de ressentir les effets, il faut en augmenter les doses.