Les temps verbaux les plus employés sont le présent, l'imparfait, le passé composé et le futur simple. Le passé simple est essentiellement employé dans les textes littéraires.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
Comme l'indicatif et le subjonctif, le conditionnel est un mode. On l'utilise pour exprimer une action qui aura lieu à condition qu'une autre action ait pu avoir lieu avant. Si Jordan gagnait au loto, il s'achèterait une voiture de sport rouge.
Le présent peut également exprimer une action dans un futur proche. Exemple : Je pars en vacances dans deux semaines. Enfin, il y a le présent d'habitude pour exprimer un fait, une action qui se répète régulièrement dans le temps. Exemple : Je monte à cheval trois fois par semaine.
Il est vrai que le subjonctif est un mode généralement utilisé dans les subordonnées introduites par que. D'ailleurs, la structure la plus courante d'une phrase avec du subjonctif est la suivante : sujet + verbe introducteur + que + sujet + verbe au subjonctif. Par exemple : Je souhaite que tu sois présent.
Dans plusieurs ouvrages, les expressions vérifier si et vérifier que sont présentées comme étant des synonymes signifiant « examiner de manière à constater que… ». Toutes deux sont suivies de l'indicatif.
Le gérondif est la forme adverbiale du verbe, qui indique les circonstances de l'action exprimée par le verbe de la phrase auquel il se rapporte. C'est un mode impersonnel, car il n'a pas de désignation spéciale de la personne grammaticale, mais il a pour sujet le même que celui du verbe principal.
Le futur proche est un temps particulier du mode indicatif qui exprime une action ou un état qui se produira dans un futur très rapproché. C'est un temps utilisé essentiellement dans le langage parlé.
Les temps verbaux de l'indicatif sont : le présent, le passé composé, l'imparfait, le passé récent, le passé simple, le plus-que-parfait, le passé antérieur, le futur proche, le futur simple et le futur antérieur.
On appelle mode, la manière dont le verbe exprime l'état ou l'action. En français, on distingue deux types de mode : - les modes personnels : ils sont introduits par un pronom personnel, je, tu, il etc. - les modes impersonnels : tous les modes n'ayant pas de pronom personnel : l'infinitif, le participe et le gérondif.
L'indicatif est un mode personnel exprimant une action réelle ou présentée comme telle. Les différents modes se divisent en modes personnels (qui comportent plusieurs personnes grammaticales : je, tu, il…) et impersonnels (qui n'en comportent pas : les modes infinitif, participe et gérondif).
- le passé antérieur après quand, lorsque, après que, etc. quand le verbe principal est au passé simple. Pour parler de deux actions simultanées, on utilise : - l'imparfait dans la plupart des cas.
Les verbes dire, affirmer, prévoir, penser, croire, espérer, être certain, imaginer, être probable, utilisés à la forme affirmative ont une valeur de vérité : on utilise donc l'indicatif dans la proposition qui suit.
Bien que + subjonctif
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif.
Bonsoir, Le premier verbe est au présent, j'aime; et le deuxième au passé composé, a été. Pour moi, c'est une affirmation, donc ne nécessite pas l'emploi du subjonctif. Encore une fois les deux sont possibles, cela dépend du degré d'incertitude.
Verbes de doute/incertitude (douter, ne pas → être sûr , ne pas être certain ...)
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
Le plus-que-parfait doit être utilisé quand on veut exprimer une action antérieure à une autre déjà située dans le passé : Sarah est arrivée, mais Mathieu était parti.
Le verbe de dignité est indigner. Le verbe de courage est encourager.