Concernant la dot, le montant que le Prophète ﷺ donnait à ses femmes et exigeait pour ses filles était en moyenne d'environ 1428 grammes d'argent. Preuve en est la parole de Umar ibn Al-Khattab qui dit : « Prenez garde à ne pas tomber dans l'excès quant au montant de la dot.
Une dot c'est une compensation des dépenses des parents pour l'éducation de leur fille. Vous pouvez tabler sur 100.000 b comme cela peut aussi être 20.000 ou 0, tout dépend des familles, il n'y a pas de règles.
En fait, il n'existe pas de somme minimum pour la dot, car elle dépend de ce qui est convenu entre les deux futurs époux. Cela peut être une robe ou des chaussures, même si leur valeur est inférieure à un dirham. Sur ce, un homme riche peut donner à son épouse un Qintâr d'or à titre de dot.
Le montant de la dot est déterminé par le Walyi (tuteur) de la femme ou par la femme elle-même. En cas de divergence, les mâlikites estiment que si la femme est vierge, c'est la décision de son tuteur qui prime, à condition qu'il détermine un montant équivalent à la dot d'une femme de même rang.
La dot est la somme que la famille du marié paie à sa future belle-famille avant que l'union ne soit célébrée par les deux familles.
Il n'y a pas de montant fixe pour ce que les parents peuvent donner pour un mariage. Cela dépend des circonstances et des moyens financiers des familles. Dans certains cas, les parents peuvent payer tous les frais du mariage, tandis que d'autres peuvent ne payer que certains éléments.
La dot, ou le « mahr »
C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc. C'est Allah Lui-même qui a ordonné au mari de verser la dot à son épouse dans le Coran.
Oui, la dote (Mahr) est une condition essentielle pour la validité du contrat de mariage musulman. Le futur marié doit offrir une dote à sa future épouse en signe de respect et d'engagement.
La dot consiste pour la famille du fiancé à offrir à la famille de la fiancée, lors d'une cérémonie solennelle, un ensemble d'objets et de cadeaux, en espèces ou en nature, et d'accomplir certains rituels afin d'unir les futurs époux.
Ensemble des biens meubles ou immeubles donnés par un tiers à l'un ou l'autre des époux dans le contrat de mariage.
Dans l'un, et on y range pour simpli- fier le cas du douaire, c'est le mari ou sa famille qui doivent apporter lors du mariage des biens ou des valeurs destinés à la femme ou à sa famille. Dans l'autre, c'est la femme qui, en se mariant, apporte un patrimoine.
La dot servait surtout pour payer les loyers, acheter de la nourriture et d'autres biens, mais aussi, dans le cas des artisans et des petits marchands, pour approvisionner l'atelier ou le commerce ou accroître son activité.
Certaines coutumes traversent les siècles. C'est le cas de la dot, une pratique encore incontournable dans de nombreux pays africains, qui permet de sceller l'union entre deux familles. Ce rite très codifié et hautement symbolique donne généralement lieu à des célébrations qui se veulent joyeuses et fédératrices.
La dot peut être une somme d'argent, des bœufs, ou n'importe quels objets (qui a une valeur). si le montant de la dot est fixé, Il ne faut pas que la valeur de ces objets ou de ces bœufs soit être inférieur au montant fixé.
La dot est une affaire des familles
La dot constitue un ensemble des biens et/ou d'argent que le futur époux et sa famille remettent aux parents de sa fiancée pour qu'ils consentent au mariage.
Le système de la dot déshumanise les femmes en les traitant comme des biens échangeables. Pire encore, le système les considère non pas comme un atout, mais comme un fardeau dont il faut se débarrasser : la famille d'une mariée paie la famille du marié pour le coût de sa prise en charge.
Tous les biens demandés par la famille de la femme et acceptés par l'homme ou sa famille pour valider le mariage, constituent « la dot ». Le législateur ne distingue pas, entre la « pré-dot », les « biens de la mère », les « biens du père », les « biens des frères et sœurs » et les « biens des amis ».
La dot est définie par l'article 20 de la loi de 1964 sur le mariage comme étant une institution consistant à verser au profit de la personne ayant de l'autorité sur la future épouse, par le futur époux ou la personne ayant de l'autorité sur lui, d'avantages conditionnant la réalisation du mariage traditionnel.
Selon le Coran, le marié doit payer une dot à la mariée avant que le mariage puisse être célébré. Cette dot peut prendre différentes formes, mais elle est généralement constituée d'une somme d'argent ou de biens matériels.
L'épouse peut demander que la dot lui soit versée au moment de l'établissement de l'acte de mariage, comme elle peut exiger de la percevoir avec la consommation du mariage. Elle peut également déterminer avec son époux d'une date de paiement (Exemple : après six mois de mariage, ou une année..).
Le Coran. Selon la première source scripturaire qu'est le Coran, la sexualité n'est licite qu'au sein d'une union légale. En effet, toute relation sexuelle en dehors du mariage, appelée zina [7] , ou plus rarement sifah, est clairement décrite comme une turpitude (fahicha) et une mauvaise voie (sa'a sabila) [8]
Pour que le Hlel soit valide, il suffit que les témoins présents, entendent votre approbation et celle du futur mari que ce soit valable.
Ils privilégiaient plutôt les mariages en milieu de semaine, généralement le mardi ou le jeudi. Jours et mois saints des musulmanes : Pour la communauté musulmane, le vendredi est le jour saint de la prière, ce qui en faisait un choix populaire pour les mariages.
Le mariage religieux n'est pas valable du point de vue du droit musulman « Fiqh » car rien ne peut légalement le garantir.
Chacun de vous 2 doit contribuer aux charges du mariage. Vous pouvez vous mettre d'accord sur la répartition (par exemple, par contrat de mariage). En l'absence d'un autre choix, vous devez contribuer en fonction de vos revenus respectifs.