Le service statistique du ministère de la transition écologique publie les résultats 2022 des enquêtes sur les préoccupations environnementales de la population. Le changement climatique reste en première place, suivi des risques au quotidien liés à la pollution de l'air et aux pesticides.
En 2019, les scientifiques du monde entier ont confirmé que la nature décline à un rythme alarmant. Il existe cinq causes directes de la perte de la biodiversité : La perte d'habitat est la menace la plus importante pesant sur la biodiversité et elle met en péril plus de 80 p. 100 de toutes les espèces.
La pollution est l'un des plus graves problèmes environnementaux. Elle peut causer un trou dans la couche d'ozone, entrainer l'effet de serre et le réchauffement climatique… la seule solution ?
POLLUTION. Monoxyde de carbone, oxydes d'azote et de soufre, particules fines, COV, métaux lourds, radioactivité… L'acidification des sols (résultant notamment des pluies acides) a pour conséquence une diminution de la fertilité des milieux naturels et des cultures.
Le réchauffement climatique demeure la préoccupation principale des Français, mais les problématiques liées à la pollution sonore, atmosphérique ou aquatique sont également très présentes.
Les sources humaines de pollution atmosphérique comprennent les activités qui reposent sur l'utilisation de combustibles à base de carbone (par exemple, le transport, les véhicules hors route et l'équipement mobile, ainsi que la production d'électricité), les procédés industriels comme ceux liés à la production de ...
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
Pollution de l'eau, de l'air et du sol
De même, les pesticides et les engrais ont eu un impact négatif sur environ 80 % des 576 espèces de papillons qui vivent en Europe. L'agriculture est également une source majeure de pollution des eaux de surface et des eaux souterraines, affectant de nombreux écosystèmes.
Parmi les principaux impacts environnementaux, deux sont centraux dans les débats actuels : l'impact sur le climat (en évaluant les émissions de gaz à effet de serre, dont le CO2 fait partie) et l'impact sur la biodiversité.
La pollution de l'air :
La pollution de l'air participe grandement à la pollution de la planète. Elle est principalement due à la calcination de combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole et gaz.
En raison de la surpêche, de la déforestation, de la destruction des habitats, de la pollution et d'autres facteurs, un plus grand nombre de plantes et d'animaux sont en voie d'extinction. Même la moindre perturbation d'un écosystème peut avoir un effet domino qui nous affecte tous.
Les grands enjeux actuels du monde contemporain (énergie, eau, climat, biodiversité, déséquilibres économiques et sociaux) se posent à l'échelle de la planète et relèvent presque tous de ce qu'il est aujourd'hui courant de désigner par environnement. Les déséquilibres Nord-Sud sont criants dans tous ces domaines.
Pollution atmosphérique et changement climatique
L'OMS considère la pollution atmosphérique en 2019 comme le plus grand risque pour la santé lié à l'environnement.
Un des changements observables est la dégradation de l'environnement, c'est-à-dire la pollution de l'eau, de l'air, des milieux naturels, etc. Elle est due à de multiples causes, les plus importantes étant l'augmentation de la population, l'augmentation des activités industrielles et la surconsommation.
L'utilisation d'engins motorisés très lourds détruit la structure du sol. Les engrais et les pesticides non naturels polluent l'eau et le sol. La généralisation de la monoculture appauvrit la biodiversité. La pêche intensive décime les poissons et transforme certaines zones maritimes en désert écologique.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
L'homme en polluant, modifie localement le peuplement des milieux, pollution par rejet des usines dans les fleuves et rivières, pollution par l'emploi de pesticides et d'engrais, pollution urbaine.
Les combustibles fossiles, à savoir le charbon, le pétrole et le gaz, sont de loin les plus grands contributeurs au changement climatique mondial ; ils sont responsables de plus de 75 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et de près de 90 % de toutes les émissions de dioxyde de carbone.
À tous les stades de l'activité humaine, l'usage des hydrocarbures liquides et du charbon, les place au premier rang des sources de contamination de l'environnement.
La principale source de pollution ponctuelle de l'eau provient du traitement des eaux usées et des eaux d'égout, tandis que la pollution diffuse a pour sources principales l'agriculture et les centrales à combustible fossile (via la pollution de l'air).