L'indicatif parfait actif est formé du radical du parfait et des désinences propres à ce temps : –i, –isti, –it, –imus, –istis, –erunt.
parfait, supin). La 4e de ces formes permet de connaître le radical du parfait, qui est différent de celui du présent. Ex. : amo, -as, -are, -aui, -atum → le radical du parfait est amau-. Il n'y a pas de moyen de déduire le radical du parfait de celui du présent, car il en est indépendant.
L'indicatif parfait exprime une cation ponctuelle, qui a eu lieu dans le passé, et qui est achevée. On traduit le parfait par le passé composé quand il s'agit du résultat présent d'une action passée. Exemple : Ad majora quaedam nos natura genuit.
L'indicatif parfait déponent est identique au passif, mais se traduit par une forme active : secutus est, « il suivit » ou « il a suivi ». Le parfait passif neutre a un sens impersonnel et doit souvent être rendu par « on » et l'actif en français : captum est, « on a pris » (litt. il a été pris).
L'infinitif parfait indique l'antériorité. On traduit donc l'infinitif par un temps qui montrera l'antériorité par rapport au verbe de la principale. Exemples :Caesar putat populum romanum fuisse beatum.
Du latin radicalis , dérivé de radix (« racine »).
Par infinitif, on entend généralement l'infinitif présent. L'infinitif passé se construit avec l'auxiliaire être ou avoir à l'infinitif, suivi du participe passé du verbe.
Pour trouver le radical du présent du verbe et sa conjugaison, il faut observer les trois premières formes des temps primitifs : Les verbes de la première conjugaison ont un radical en –a : paro, as, are. Radical : para–, la voyelle du radical disparaît à la première personne du singulier.
Composé de plus, de la conjonction que, et de parfait, sur le modèle du latin plus quam perfectum, de même sens. Marque de domaine : grammaire. Temps composé, qui présente une action achevée au moment de l'énonciation et antérieure à une autre action, elle-même située dans le passé et prise comme point de référence.
Formation parfait
Le parfait se forme avec l'auxiliaire haben ou l'auxiliaire sein conjugué au présent de l'indicatif et le participe passé (aussi appelé participe II) du verbe de l'action en question situé à la fin de la phrase. Ich habe dein Buch gelesen. J'ai lu ton livre.
B) Traduction: L'infinitif parfait se traduit par l'infinitif passé français. On utilise l'auxiliaire être ou avoir au présent suivi du participe passé du verbe conjugué.
Le plus-que-parfait latin s'utilise dans un contexte au passé ; il renvoie à un événement qui est encore antérieur à ceux relatés à l'imparfait ou au parfait. Ex. : Milites non uenerunt, nam consul eos monuerat. Les soldats ne vinrent pas, car le consul les avait prévenus.
Les « temps primitifs » sont les formes nécessaires pour identifier le modèle de conjugaison d'un verbe et pour le conjuguer de manière correcte. Les temps primitifs sont le plus souvent présentés de manière abrégée : amo, as, are, avi, atum doit se comprendre amo, amas, amare, amavi, amatum.
Le radical est la partie minimale d'un verbe auquel on ajoute une terminaison pour former les formes conjuguées. Pour trouver la racine de la plupart des verbes, il faut supprimer la terminaison de l'infinitif : -er, -ir, -oir ou -re.
Le radical ou la racine d'un verbe est la base qui exprime son sens, ce qu'il veut dire. C'est la partie qui commence le verbe et qui est obligatoirement suivie d'une terminaison.
Le participe parfait se forme à l'aide de la 5 ème forme des temps primitifs du verbe. Exemple : pour le verbe amo, -as, -are, -aui, -atum, cette 5 ème forme, appelée "supin 1" est amatum. Le participe parfait de amo sera donc : amatus, -a, -um.
L'imparfait exprime un fait réel passé. Il peut aussi traduire l'effort ou le passé épistolaire. Le plus-que-parfait exprime l'antériorité d'une action par rapport à une action passé (exprimée au parfait ou à l'imparfait).
Le plus-que-parfait est formé de l'auxiliaire avoir ou être à l'imparfait de l'indicatif et du participe passé du verbe à conjuguer.
Il sert à indiquer une action ayant eu lieu avant une autre déjà située dans le passé. Comment se forme le plus-que-parfait ? Le plus-que-parfait se forme avec l'auxiliaire être ou avoir conjugué à l'imparfait suivi du participe passé du verbe conjugué : j'étais parti, j'avais gagné, etc.
Pour un verbe du premier groupe comme chanter, on retrouve le radical en retirant la terminaison -er. Le radical est donc "chant-" et la terminaison "-er". Pour les verbes du 2e groupe, on procède de la même manière et on retire la terminaison -ir finale.
Le symbole '' √ '' est appelé radical. 52 =25 , d'où √25 = 5. √25 se lit racine carrée de 25 ou radical de 25.
Exemple : « terre » / « terrible » ; en revanche, « terre » / « territoire » présentent le radical « terr- » et sont de même sens…
Le gérondif est un mode impersonnel formé par la préposition “en” suivie du participe présent du verbe, par exemple : en dormant.
Les temps verbaux de l'indicatif sont : le présent, le passé composé, l'imparfait, le passé récent, le passé simple, le plus-que-parfait, le passé antérieur, le futur proche, le futur simple et le futur antérieur.
La phrase infinitive est une phrase à construction particulière formée à partir d'un verbe à l'infinitif et est donc dépourvue de sujet et de prédicat.