La culture : l'homme par essence, un animal pensant. La culture, partie intégrante de l'homme va donner lieu à des activités culturelles : Le travail, L'art et la Technique, la religion. Nature ET culture : L'homme est un être paradoxal, toujours dans la duplicité avec deux éléments inconciliables.
CULTURE - En favorisant l'éveil aux richesses que chaque milieu et que chaque individu possède, la culture "établit un trait d'union entre les autres et soi-même" ; elle permet de communiquer, elle est rencontre de l'autre.
Élément vital d'une société dynamique, la culture s'exprime dans la manière de raconter nos histoires, de fêter, de nous rappeler le passé, de nous divertir et d'imaginer l'avenir. Notre expression créative nous aide à nous définir et à voir le monde au travers des yeux des autres.
La définition achevée de notre humanité implique le désir de se cultiver pour nouer des liens avec d'autres sociétés. En ce sens, un homme se définit par sa culture, c'est-à-dire sa curiosité d'esprit, l'étendue de ses connaissances et la force de son jugement.
La culture fait et ne fait pas l'homme. Car si c'était la culture (comprise comme éducation ou assimilation des codes) qui accordait le statut d'homme alors un bébé non éduqué ne bénéficierait pas de cette identité et des droits associés.
Il a un esprit cultivé, comme la terre d'ailleurs, qui n'est pas en friche mais qui produit de nouvelles connaissances. L'expression « animal culturel » désigne le fait que l'homme est parti de l'état animal qu'il garde et qui réapparaît lorsqu'on parle de brute, pour ensuite se détacher de la nature et la transformer.
Effectivement , un types de sens s'en dégage permettant de définir la culture. Dans le sens courant , l'homme peut vivre sans culture . Ce qui signifie que que l'homme n'a rien n'acquis de cette culture , il se réduit donc à un homme inculturée….
La culture fait l'homme parce que l'homme ,justement n'est jamais fait ,jamais achevé,il est toujours à faire, à façonner, à modeler, à inventer . C'est le propre de notre espèce d'être à ce point maléable ou comme le disait Rousseau, perfectible :capable de se transformer eux mêmes et d'être transformés.
L'homme est raison, il est sujet ; quelle que soit la culture qui l'a vu naître et qui l'a façonné, il demeure ouvert à toutes les cultures. L'homme est lui-même créateur de culture : il se définit par conséquent davantage par sa créativité que par sa culture qui est un produit de cette créativité.
LA CULTURE CONVENTIONNELLE, LA CULTURE BIOLOGIQUE ET LA CULTURE INTÉGRÉE.
La culture contribue positivement aux politiques, stratégies et programmes qui ciblent le développement social et économique, la durabilité environnementale, l'harmonie, la paix et la sécurité. La culture est à la fois un moteur et un catalyseur du développement durable.
La culture permet aussi de découvrir le monde. Tous les styles de vie, les valeurs et les croyances sont différents selon les pays. Nous pouvons ainsi savoir comment ils vivent, ce qui est important pour eux et ce qui ne l'est pas, leurs inquiétudes, leurs appréhensions et comment ils envisagent leur avenir.
«La culture, dans son sens le plus large, est considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social.
Si être cultivé est un devoir, l'homme devrait donc se sentir obligé de développer ses talents, d'actualiser les dispositions de sa nature et de promouvoir par son effort moral le perfectionnement de son être.
La culture définit ce qui est bon à penser et à consommer
La culture influe sur ce que nous voyons, comment nous interprétons les choses et comment un environnement doit être organisé. Elle façonne nos perceptions, la manière dont on perçoit des marques, des services, des relations.
– Kant : « Produire dans un être raisonnable cette aptitude générale aux fins qui lui plaisent (donc en sa liberté) c'est la culture. Par conséquent, la culture seule peut être la fin dernière qu'on peut avec raison attribuer à la nature par rapport à l'espèce humaine. »
Ce proverbe signifie qu' un homme qui n'a pas de culture n'est pas un vrai homme, il est dépourvu de ce qui fait l'humanité.
Lévi-Strauss et la plupart des philosophes et ethnologues préfèrent désormais parler de « cultures » au pluriel. « Culture » désigne alors l'ensemble cohérent des constructions imaginaires, structures mentales et modes de productions propres à chaque communauté.
Selon une autre définition, la nature serait une catégorie de pensée regroupant les éléments biophysiques non humains d'un environnement, par opposition à la culture comme catégorie de laquelle relève toute production anthropique.
Il y a en français deux acceptions différentes pour le mot culture : la culture individuelle de chacun, construction personnelle de ses connaissances donnant la culture générale ; la culture d'un peuple, l'identité culturelle de ce peuple, la culture collective à laquelle on appartient.
De nombreux facteurs ont été avancés pour expliquer l'émergence des cultures et des capacités symboliques des humains : le langage, la technique, l'intelligence sociale, l'imitation et l'apprentissage.
25À la lumière des observations qui précèdent, on peut définir les valeurs culturelles comme des valeurs largement répandues au sein d'une langue-culture, des valeurs qui sous-tendent les croyances, les convictions, les attitudes, les habitudes communicatives généralement associées à une langue-culture particulière.
- La culture se substitue à la programmation instinctuelle et permet ne évolution rapide, mais n'étant pas transmissible génétiquement, elle implique une vulnérabilité à la naissance et une dépendance plus longue, elle a fait de l'homme un être curieux non spécialisé.
Cinq traits distinctifs d'une culture. Ces éléments culturels de base sont : la langue, le patrimoine culturel, les coutumes, les arts, et la famille ou « les acteurs culturels ». Les aspects saillants d'une communauté sont identifiés et représentés par ces cinq éléments distinctifs.
L'idée de transmettre une culture, une religion, une tradition est souvent comprise comme une opération de reproduction à l'identique de ce que l'on a soi-même reçu, de ses ascendants ou de ses maîtres.