production. Produit : le prix est variable en fonction des débouchés 220 à 280 €/t, le rendement varie de 15 à 35 quintaux. Pour 20 quintaux compter 440 à 560 € de produit par hectare.
Il correspond à un rapport entre ce qui est produit dans un agrosystème et ce qui est apporté. Il est souvent exprimé en quintaux métriques (1 q = 100 kg ) par hectare pour les grains, ou en tonnes par hectare pour les produits riches en eau (racines et tubercules, fruits...).
Un semis en ligne est recommandé. Les écartements sont de 1 m entre deux lignes et de 1 m entre deux poquets sur les sols sablonneux (1 m x 1 m = 10000 poquets par ha) ; pour les sols sablo-argileux la densité est plus élevée : 1 m x 0.75 m soit 13333 poquets par ha.
Pour apprécier un rendement on peut procéder de deux sortes : peser la production totale de la parcelle, et diviser par la surface parcellaire , procéder à un sondage en mesurant sur des stations le rendement et extrapoler à la parcelle entière le résultat calculé à partir de l'échantillon.
Il suffit de diviser la production totale par la surface totale emblavée.
Une moyenne proche de 30 q/ha sur l'Hexagone en 2021, selon Terres Inovia : le tournesol a battu son record national de rendement qui était de 27,6 q/ha en 2017 (moyenne à 22,8 q/ha pour ces dix dernières années), à l'instar du maïs, dont les rendements vont également atteindre un sommet en 2021.
Le maïs est la culture céréalière la plus produite chaque année. Environ 850 millions de tonnes de maïs grain sont produites sur environ 162 millions d'hectares, pour un rendement moyen de 5,2 t/ha.
La pose des carrés de rendement est faite de manière aléatoire. Il est posé un carré par parcelle et quelque fois deux quand la superficie de la parcelle le justifie. Par produit, le calcul des rendements moyens par secteurs est une moyenne simple des rendements des carrés. Cette méthode est correcte.
Le ratio de rentabilité correspond au revenu net divisé par les ventes. Le rendement de l'actif est calculé en divisant le revenu net par le total de l'actif. Le rendement des capitaux propres est calculé en divisant le revenu net par les capitaux propres du propriétaire.
Sa formule est : Revenu brut = Revenus – Coûts + (variation du stock, si disponible) Toutes les variables monétaires devraient être exprimées en PPA constants afin qu'elles soient comparables dans tous les pays et qu'elles tiennent compte de l'inflation durant la période considérée.
L'utilisation de la microdose (3 grammes NPK triple 15 par poquet pour le mil et 2 grammes de DAP par poquet pour le niébé) demande 20 kg d'engrais NPK pour le mil et entre 40 et 60 kg de DAP pour le niébé en fonction de la densité (paragraphe suivant).
Le mil n'est pas cultivé que pour son grain, on l'utilise aussi pour les pâturages, le fourrage vert ou l'ensilage. L'élevage est une composante importante de la plupart des systèmes de production du mil, les résidus de récolte étant une source importante de fourrage.
Date de semis et de plantation du millet
Le millet se sème fin mai lorsque le sol est suffisamment réchauffé, en lignes distantes de 25 cm.
Nos résultats ont montré que les caractéristiques des systèmes de culture à base de soja sont la rotation maïs-soja, soja-coton, l'utilisation très faible d'engrais minéraux et organiques. Le rendement moyen à l'hectare a été de 1051,13 Kg/ha avec une variation de 373,37 Kg/ha.
Prix net du maïs grain pour l'éleveur : entre 140 et 150 €/T.
En agriculture, l'indice de récolte (IR), est le rapport entre le rendement commercialisable d'une plante cultivée et la quantité totale de biomasse qui a été produite, exprimés en matière sèche. Cet indice, sans dimension, a une valeur comprise entre 0 et 1, il peut être aussi exprimé en pourcentage.
Un business plan d'agriculture remplit donc une double fonction. Il permet : à l'entrepreneur d'évaluer la viabilité financière de son projet professionnel. aux partenaires financiers de prendre connaissance du projet professionnel et de décider ou non de le financer.
Il est égal à la moyenne des rendements réalisés sur l'exploitation pour la culture considérée, au cours des cinq dernières années, en excluant la valeur maximale et la valeur minimale (il s'agit d'un rendement dit olympique).
La solution est en partie d'améliorer les méthodes agricoles – que ce soit en diversifiant les cultures, en améliorant les pratiques de conservation des sols ou en utilisant de meilleures semences et des technologies nouvelles.
Le moyen le plus simple de réduire les coûts est d'utiliser des engrais organiques. Dans les régions où l'élevage est important, il est relativement facile de se procurer du lisier ou du fumier. Ceux-ci fournissent les nutriments nécessaires au maïs et permettent d'économiser beaucoup d'engrais minéraux.
Généralement le rendement est calculé par tonne à l'hectare ou en hectolitre à l'hectare pour le vin ou en nombre de tête de bétail à l'hectare. Elle s'exprime en quintal/hectare avec un hectare (ha) = 10 000m^2 et un quintal (q) = 100 kg.
Pour le maïs-grain, on y préconise un apport d'engrais « démarreur » près de la semence lors du semis et un autre après la levée (en postlevée). On vise un total de 120 à 170 unités d'azote (c'est-à-dire des kilogrammes d'azote par hectare).
Le maïs est une culture qui valorise très bien les engrais de ferme, fumier ou lisier.