Au niveau mondial, les femmes effectuent 3,2 fois plus de travail domestique et de soins non rémunérés que les hommes d'après cette étude de 2019 de l'Organisation internationale du travail. Au Mali, au Bénin ou encore à Madagascar, les femmes réalisent respectivement 92 %, 84% et 81,3% de ce travail.
Elle est le premier facteur du développement économique et humain. Elle est plus large que l'instruction. Ainsi, une entreprise, une communauté et un pays progressent et se développent proportionnellement à l'effort durable qu'ils consentent en faveur de l'éducation et de la recherche.
Ainsi, la femme africaine porte bien souvent sur ses épaules, à tous les sens du terme, la santé économique des campagnes africaines. Une véritable performance qui force l'admiration lorsqu'on sait qu'aucune n'échappe (sauf raisons médicales) à l'impératif de la procréation.
Il a le droit au respect et à la considération de sa femme, de ses enfants et de toute personne qui est sous son autorité. Certes, comme éducatrice, épouse et gardienne de certains aspects de la tradition, la femme a également droit au respect et à la considération de son mari et de ses enfants.
L'image des femmes africaines est donc, plus qu'ailleurs, bourrée de stéréotypes : de la terre mère féconde et généreuse à la jeune beauté paresseuse et débauchée…
Une société dominée par les hommes. Le Code civil de 1804 place les femmes sous l'autorité de leur père, puis de leur mari. Considérées par la loi comme mineures, elles ne disposent pas des mêmes droits que les hommes, malgré l'égalité proclamée dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen en 1789.
ans les sociétés traditionnelles africaines, les femmes jouent un rôle prépondérant dans tous les domaines de la vie sociale1. L'importance de ce rôle est d'ailleurs inhérente aux structures sociétales matrilinéaires ou patrilinéaires atténuées qui se chevauchent dans une dualité dialectique.
Bien que l'Afrique compte à la fois des pays à bas et à moyens revenus, le taux de pauvreté y est encore élevé. La majorité des femmes travaillent dans des conditions précaires, sont mal payées, et ont très peu de possibilités de promotion.
Les femmes sont rassembleuses et collaboratives. Elles soudent les équipes et favorisent l'entraide. Bonnes communicatrices, elles facilitent la résolution des conflits. Bref, elles améliorent le fonctionnement d'une l'entreprise au quotidien.
Pour rester dans le sillage de la littérature africaine, on considère que les auteurs Africains –hors mis le sexe- présentent la femme en fonction des unités externes ou internes à celles-ci et les structures sociales qui peuvent façonner leur regard lors de la construction de l'image de la femme dans leurs œuvres.
Mais ceux qui s'intéressent aux belles femmes d'Afrique penseront probablement à la magnifique Mpule Kwelagobe. Elle a été la première Botswanaise et la première femme africaine de peau noire à recevoir la couronne de Miss Univers.
Les droits des femmes et des filles sont des droits humains. Ils couvrent tous les aspects de la vie —santé, éducation, participation politique, bien-être économique, absence de violence, parmi beaucoup d'autres.
Par exemple, les programmes d'aide sont plus efficaces quand les femmes participent aux activités de développement. L'alphabétisation des femmes accélère la croissance économique. Enfin, l'accès à l'eau et au microcrédit peut transformer la vie des femmes et aussi de leurs familles.
1. Être humain du sexe féminin. 2. Adulte de sexe féminin, par opposition à fille, jeune fille : La voilà une femme maintenant.
cit., Article I, de l'occupation, Art. II, du…, ainsi que les principaux devoirs d'une femme mariée : la pratique de la religion, l'éducation des enfants, les relations avec son mari, et plus généralement les mœurs. L'accent est mis sur l'emploi du temps des épouses qui est une préoccupation constante de ces ouvrages.
♀ est un symbole pour : le féminin, ou la femelle, par opposition à ♂, qui représente le masculin, ou le mâle ; la planète Vénus ; le cuivre en alchimie.
Il correspond à la femme qui réalise la majeure partie des tâches qualifiées de ménagères, telles que : l'entretien du logis, les achats de consommation courante, la préparation des repas, la surveillance et l'éducation des enfants, à titre d'exemples.
Le premier problème que rencontrent les femmes est la difficulté d'accès au marché de l'emploi. Le deuxième problème est celui de la disparité salariale. Le troisième problème concerne ce que l'on appelle le « plafond de verre ».
Les femmes exercent des impacts élargis et positifs sur l'économie, par leur présence dans le monde des affaires, dans l'agriculture et dans l'industrie, comme employées de maison, commerçantes de marché, travailleuses migrantes, et par tous les soins non rémunérées qu'elles dispensent.
“L'insuffisance de moyens, le manque de personnel et de pouvoir ou d'autorité au sein des gouvernements pour faire progresser l'égalité et la justice en faveur des femmes ne sont que quelques-uns des obstacles qui existent."
Les femmes traditionnelles évoquent plus fréquemment la « Maternité » (5,20 %), le fait d'être « Heureuses » (10,74 %), la « Compétence professionnelle » (9,06 %), la « Reconnaissance à l'égard des hommes » (7,38 %) et l'attitude « Critique à l'égard des femmes » (16,44 %).
Les femmes ont acquis le droit de vote en 1944, le droit de travailler et d'ouvrir un compte en banque sans l'autorisation de leur mari en 1965. Avec tous ces acquis, l'on se pose la question de savoir si la femme africaine est vraiment émancipée. Quels sont les atouts et les inconvénients de cette émancipation ?
La place de la femme est importante dans la société traditionnelle africaine. Outre son rôle de mère de famille, elle est chargée de toute la gestion de la maison. A ce niveau, les femmes assument une responsabilité sociale. Elles se considèrent souvent, malgré tout, un peu sous-estimées ou sous-valorisées.
Les femmes ont eu un rôle aussi important dans la guerre, elles pouvaient travailler dans les usines d'armement, elles construisaient des pièces pour les navires et les avions. Elles ont eu le don de construire avec peu de ressources.
Dans un monde d'opulence et d'inégalités, les libertés jouent un rôle essentiel pour combattre la misère et l'oppression. Elles sont à la fois la fin ultime du développement et son principal moyen. Loin de s'opposer, liberté économique et liberté politique se renforcent.