Les comices sont dans la République romaine des assemblées qui expriment la volonté du peuple romain dans les domaines électoraux, législatifs et judiciaires. Ces assemblées sont au nombre de trois, ou quatre si l'on comprend le concile plébéien.
Ils formaient un collège de deux magistrats qui, jusqu'au principat d'Auguste, étaient élus pour un an par le peuple romain réuni en comices centuriates. Ils exercaient l'imperium, pouvoir suprême civil et militaire, et commandaient les armées.
-C., les comices centuriates élisaient les magistrats supérieurs (consuls, préteurs, censeurs) et votaient les lois proposées par les consuls. À partir de 218 avant J. -C., ils perdirent leur pouvoir législatif, mais déclaraient la guerre et ratifiaient les traités de paix.
Les comices centuriates regroupaient les citoyens en fonction de leur fortune. Le roi Servius Tullius avait réparti les citoyens en 5 classes de fortune. Chaque classe comportait un nombre inégal de centuries. Il y avait 193 centuries à l'origine puis 368 à partir de 220 av.
Dans le système romain, les lois sont votées (et les magistrats élus) par des curies (comices curiates), tribus (comices tributes) et centuries (comices centuriates).
Les comices sont convoqués par des licteurs ou par des hérauts. On vote par curies, chaque curie ayant une voix; mais dans un curie chaque citoyen de cette curie a sa propre voix et la majorité des voix dans une curie détermine le vote de toute la curie.
Les comices tributes se réunissent au Forum mais vont voter au Champs de Mars. Ils sont alors regroupés sur la décision d'un tribun de la plèbe.
Les comices centuriates élisent : les magistrats majeurs ordinaires, à savoir : les consuls, les censeurs et les préteurs ; les tribuns militaires à pouvoir consulaire, à la fin du V e siècle et au début du IV e siècle, époque où ceux-ci remplaçaient les consuls.
Les comices sont dans la République romaine des assemblées qui expriment la volonté du peuple romain dans les domaines électoraux, législatifs et judiciaires.
La République romaine est la période de la Rome antique où le pouvoir n'était pas détenu par un seul homme, les citoyens élisaient leurs magistrats que le Sénat romain contrôlait.
J. -C. Durant la Monarchie romaine, le roi est le seul magistrat. Il est assisté par deux questeurs qu'il a nommés, ainsi que d'autres assistants pour diverses tâches.
S. P. Q. R. signifie en latin Senatus populusque romanus signifiant "le sénat et le peuple romain". Cette devise abrégée est devenue l'emblème de la République romaine, puis par tradition de l'Empire romain.
Il existe deux types d'assemblées romaines : les comices (comitia) et les conciles (concilium). Les comices sont les assemblées de tous les citoyens (populus romanus ou peuple de Rome).
Le citoyen romain dispose aussi de droits civils : jus conubii (ou conubium) : droit de mariage légal avec une romaine. jus commercii (ou commercium) : droit d'acheter et de vendre sur le territoire romain. jus legis actionis : droit d'intenter une action judiciaire devant un tribunal romain.
Ces constructions monumentales de l'architecture romaine peuvent être dédiées à la pratique extérieure d'un des cultes de la religion romaine, à loger symboliquement une administration ou encore à vénérer une personne.
Expression latine signifiant suite des honneurs ou carrière des honneurs et désignant, à Rome, l'ordre dans lequel devait s'effectuer la carrière publique et les conditions exigées pour en recevoir les magistratures.
À ce titre, ils sont considérés comme étant des représentants de tout le peuple de Rome. Chaque magistrat acquiert un degré de pouvoir (maior potestas). Celui qui en détient le plus est le dictateur, suivi ensuite du censeur, du consul, du préteur, de l'édile et enfin du questeur.
Ils décident des sénatus-consultes, véritables lois, surveillent l'installation des nouveaux cultes, ont la garde du Trésor, attribuent les crédits nécessaires aux campagnes militaires. Le sénat assure la direction et permet la continuité de la politique romaine. Il élit les consuls et détermine leur mission.
L'artère principale du Forum fut appelée la voie sacrée, la « Via Sacra ». La Via Sacra vue de nuit Elle traversait le Forum romain sur toute sa longueur pour monter jusqu'au temple de Jupiter, au sommet du Capitole.
Cette mission d'auxilium s'exerce également pour défendre les intérêts de la plèbe dans son ensemble : le tribun de la plèbe peut utiliser son droit de veto (jus intercessionis) contre l'action de tous les magistrats, dans toutes leurs actions : convocation d'une assemblée, vote d'une loi, élections, levée des légions.
Leur mission principale est la protection des Français et de leurs intérêts et le devoir de rendre compte aux autorités consulaires françaises des événements intéressant ces autorités. Leurs fonctions représentent un investissement, en travail et sur le plan financier, à leur charge.
Élaborée par Bonaparte, la nouvelle Constitution confie l'exécutif à trois consuls (Bonaparte, Cambacérès, Lebrun) ; en fait, le Premier consul (Bonaparte) détient seul la réalité du pouvoir : nommé consul pour dix ans par un article spécial, il est indéfiniment rééligible, et exerce un pouvoir exécutif sans limites.
On appelle cursus honorum la série de magistratures que devait exercer un Romain dans le cadre des institutions, avant de parvenir au consulat. Ce sont la questure, l'édilité (patricienne ou plébéienne), le tribunat de la plèbe (pour les plébéiens), la prêture, le consulat.
Fonction initiale : Ce temple abritait le trésor public de l'État, ainsi que les lois gravées dans le bronze, les décrets du Sénat, et d'autres registres importants. Le temple de Saturne abritait également en temps de paix (Pax Romana) les flammes et insignes des différentes légions de l'empire.