Nom commun. (Sens propre) Tout phénomène externe qui a une influence sur un système, en déclenchant ou modifiant un phénomène interne. (Médecine) Impulsion susceptible de provoquer la réponse ou l'excitation d'un organe.
un stimulus visuel par une image ou une lumière ; un stimulus olfactif avec une odeur ; un stimulus tactile avec des pressions, des piqûres, ou des températures différentes ; un stimulus gustatif avec des aliments.
Stimulus par perception
stimulus tactile, avec des pressions ou des piqures sur la peau ; stimulus thermique, avec une source de chaleur ; stimulus olfactif avec une odeur ; stimulus gustatif sur les récepteurs bucaux.
Un stimulus (pluriel : stimuli) est toute modification du milieu extérieur qu'un organisme animal est capable d'apprécier. Il est possible de définir le stimulus comme le "changement détectable (physique ou chimique) dans l'environnement d'un organisme qui se traduit par une activité fonctionnelle".
Les organes des sens transforment les stimuli sensoriels tels que les sons, les odeurs, la lumière, en signaux nerveux électriques/chimiques qui peuvent ainsi être interprétés par le cerveau. Ces signaux sont analysés par le cortex (couche externe du télencéphale) pour être transformés en sensations.
Les stimulus sont perçus par la peau au niveau de récepteurs sensoriels.
Un message nerveux sensitif est produit, en direction du cerveau, au niveau du cortex auditif (localisé dans lobe temporale droit et gauche) . A ce niveau, il y a une interprétation du son. Stimulus : variation d'un paramètre physico-chimique du milieu susceptible d'être reçu par un récepteur.
On accepte deux pluriels pour le nom stimulus, les formes stimuli et stimulus. La première suit la règle des pluriels latins de noms en -us ; la seconde suit la règle du français qui veut que les noms terminés par s, x ou z soient identiques au singulier et au pluriel.
C'est la salive qui assure cette fonction. Elle lubrifie convenablement notre langue, nos dents et nos gencives ainsi que les muqueuses de la bouche.
Les objets visuels absorbent et reflètent la lumière, et c'est cette lumière qui constitue le stimulus de base de la vision, par l'intermédiaire des cellules sensibles à la lumière (photorécepteurs) qui tapissent le fond de l'œil.
Cet article est extrait de l'ouvrage « Larousse Médical ». Organe permettant la transformation d'un stimulus auditif, gustatif, olfactif, tactile ou visuel en information nerveuse, celle-ci étant ensuite transmise au cerveau. Il existe pour chacun des cinq sens des récepteurs sensoriels spécialisés.
- Le stimulus neutre : C'est l'élément du milieu qui ne déclenche pas la réaction inconsciente à laquelle on s'intéresse (ex : La sonnette).
Élément d'influence externe à l'individu tel qu'un message publicitaire, une animation sur le lieu de vente, une musique d'ambiance, un temps agréable…
La moelle épinière a donc 3 rôles: transmettre les messages nerveux moteurs commandées par le cerveau. transmettre les informations sensitives captées par la peau et les muscles jusqu'au cerveau.
Puis passé une certaine stimulation, l'amplitude n'augmente plus, la valeur maximale est atteinte. Le nerf n'obéit pas à la loi du tout ou rien : plus l'intensité est importante, plus le nombre de fibres stimulées est grand, et plus le PA du nerf est grand, cette propriété est appelée sommation.
De nature électrique le long des neurones, ce message est transmis de manière chimique d'un neurone à l'autre au niveau des synapses, par l'intermédiaire des neurotransmetteurs.
A quoi servent nos 5 sens ? Nos 5 sens permettent de comprendre notre environnement et de nous y adapter en permanence. A chaque sens est associé un organe : l'œil à la vue, l'oreille à l'ouïe, le nez à l'odorat, la peau au toucher, la langue et les papilles au goût.
Les sens nous relient à la vie, ils nous perme ent de percevoir le monde qui nous entoure, ils sont au nombre de cinq (pour les principaux connus en tout cas) : l'ouïe, l'odorat, le goût, le tou- cher et la vue. À chaque sens, correspond un organe.
Le trajet des odeurs et de l'influx nerveux
Lors d'une inspiration, des molécules odorantes vont entrer dans les fosses nasales et stimuler les cils olfactifs de la tache olfactive. La tache olfactive transforme l'odeur en influx nerveux qui est acheminé au bulbe olfactif.
Les corpuscules de Meissner sont quant à eux observés dans la partie supérieure du derme de la peau imberbe, tels que l'extrémité des doigts, les mamelons et la plante des pieds. Ces deux types de récepteurs détectent le toucher, la pression et la vibration.
L'exposition prolongée ou répétée à l'agent stressant épuise les capacités énergétiques de l'organisme, le taux de glucose dans le sang est au plus bas, les cellules ne sont plus nourries : l'état d'épuisement est atteint. L'état d'épuisement devient un terrain propice au développement des maladies.
Son ou bruit détecté par l'oreille qui entraine une réaction d'excitation nerveuse au niveau du nerf auditif qui se poursuit au cerveau où elle crée une sensation sonore, et éventuellement une émotion. La musique est un stimulus, comme le bruit d'une explosion, une parole, un craquement…