allus. au Rubicon, petit fleuve formant la limite entre l'Italie et la Gaule Cisalpine qu'il était interdit de passer à la tête d'une armée et que César franchit avec ses troupes] Franchir, passer le Rubicon. Prendre une décision hasardeuse irrévocable et lourde de conséquences.
Origine de l'expression «franchir le Rubicon»
Il avait ordonné que tout général, devait impérativement déposer les armes et disperser ses armées avant de rentrer dans Rome, précisément au niveau du fleuve Rubicon.
Étymologie. Se réfère à l'épisode historique où Jules César, en 49 avant J. -C., a violé l'interdiction du Sénat et fait franchir à ses armées la rivière Rubicon pour se diriger vers Rome, prenant en cela un gros risque. Il aurait d'ailleurs à cette occasion prononcé la phrase alea jacta est (le sort en est jeté).
Quand Jules César traverse le Rubicon, la république romaine agonise depuis déjà plusieurs décennies. Il ne reste plus rien du premier triumvirat constitué dix ans plus tôt par César, Pompée et Crassus pour mettre fin aux guerres civiles. Crassus a trouvé la mort au combat en 53 av.
Ce moment de l'histoire du monde désormais figé dans l'expression « franchir le Rubicon » renvoie à la volonté d'une transgression délibérée, à un engagement décisif et irréversible, et à un pari hasardeux – autant d'orientations qui sont encore au cœur de nombre de politiques extérieures.
Cette expression latine, habituellement traduite par «les dés sont jetés» ou «le sort en est jeté», est employée pour indiquer, en un moment crucial, que l'on remet son sort au hasard. Jules César aurait prononcé cette phrase passée à la postérité le 11 janvier 49 av.
Jules César, conquérant mais pas empereur. Veni, vidi, vici (Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu). Cette phrase a été prononcée par Jules César (100 avant J.
− [P. allus. au Rubicon, petit fleuve formant la limite entre l'Italie et la Gaule Cisalpine qu'il était interdit de passer à la tête d'une armée et que César franchit avec ses troupes] Franchir, passer le Rubicon. Prendre une décision hasardeuse irrévocable et lourde de conséquences.
* « Le sort en est jeté » : la phrase prononcée par César quand il franchit le fleuve Rubicon pour marcher sur Rome.
Alea jacta est est une locution latine signifiant « le sort en est jeté », ou « les dés sont jetés », que Jules César aurait prononcée le 10 janvier 49 av. J. -C. avant le passage du fleuve Rubicon.
congestionné, cramoisi, écarlate, enflammé, pourpre, rouge, rougeaud, sanguin. – Littéraire : empourpré. Contraire : blafard, blême, cireux, exsangue, livide, olivâtre, pâle, plombé, terreux.
Le Tibre (latin Tiberis, italien Tevere) est le troisième fleuve italien, après le Po et l'Adige. Il traverse Rome, à l'histoire de laquelle il est étroitement lié.
Alea jacta est, ou plus exactement Alea iacta est – le latin ignorant la lettre j –, est une locution latine signifiant « le sort en est jeté ». Ces paroles furent prononcées par César, le 12 janvier 49 av.
César (100 – 44 av. J. -C.), au sommet de sa gloire après sa victoire dans la guerre des Gaules (58 – 50 av.
Le Rubicon est une rivière qui sépare la Gaule de l'Italie. Pompée a ordonné que toute armée laisse ses armes avant de rentrer dans Rome.
lanterne n.f. Boîte faite ou garnie d'une matière transparente, dans laquelle on... lanternes n.f. pl. Feux de position d'un véhicule automobile.
Mots par lesquels César annonça au sénat la rapidité de la victoire qu'il venait de remporter sur Pharnace, roi du Pont (47 avant J. -C.).
Veni, vidi, vici (prononcée [ˈweːniː ˈwiːdiː ˈwiːkiː] en latin classique ou [ˈveni ˈvidi ˈvitʃi] en latin ecclésiastique) est une célèbre expression employée par Jules César en 47 av. J-C. Elle peut être traduite en français par « je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu ».
C ette phrase lapidaire - « Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu » -, qui indique une victoire aussi rapide qu'inattendue, aurait été écrite par le général de la République romaine dans une lettre qu'il adresse à un ami pour lui annoncer son triomphe foudroyant, le 2 août - 47, sur Pharnace II, roi du Pont (ancien ...
"Alea jacta est", est une locution latine qui aurait été prononcée par Jules César et qui signifie qu'on ne peut plus reculer, qu'aucune marche arrière n'est désormais possible, lorsque l'on est confronté à un obstacle. Exemple : J'ai passé mon entretien d'embauche. Alea jacta est !
1. Soumis au hasard, dont le résultat est incertain : Entreprise aléatoire. 2. Se dit d'une œuvre plastique (notamment cinétique) dont la configuration procède d'une combinatoire exploitant les possibilités du hasard, avec ou sans programmation par ordinateur.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.