En 2021, le seuil de pauvreté (pour un seuil à 60%) correspond à un revenu net inférieur à 1063 € par mois ou 34 € par jour (seuil de pauvreté journalier).
Le seuil de pauvreté à 50 % est de 918 euros pour une personne seule. Pour un couple, il est de 918 euros multipliés par 1,5 (la première personne vaut une part, la seconde une demie) soit 1 377 euros mensuels.
Le seuil de pauvreté est fixé par convention à 60 % du niveau de vie médian de la population. Il correspond à un revenu disponible de 1 102 euros par mois pour une personne vivant seule et de 2 314 euros pour un couple avec deux enfants âgés de moins de 14 ans.
Le seuil de pauvreté monétaire, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s'établit à 1 015 euros par mois pour une personne seule en 2015.
Être pauvre, c'est avoir un revenu très inférieur à celui dont dispose la plus grande partie de la population. Pour l'Insee, comme pour Eurostat, une personne est pauvre si son niveau de vie est inférieur à 60 % du niveau de vie médian de la population française.
1 760 euros, c'est le revenu mensuel minimum que les Français estiment nécessaire pour vivre selon une étude parue en 2019.
En 2017, le niveau de vie médian des personnes vivant dans un ménage de France métropolitaine s'élève à 1 735 euros par mois. Le seuil de pauvreté à 60 % du niveau de vie médian s'établit à 1 041 euros par mois.
Pour prendre ce fait en compte, la pauvreté est définie de manière relative : le seuil de pauvreté par unité de consommation correspond ainsi à 60 % du niveau de vie médian. Ainsi, toute personne dont le niveau est de vie est inférieur à 1102 euros par mois est considérée comme pauvre en France en 2019.
Les seuils de faible revenu (SFR)
De façon plus particulière, le seuil est défini comme étant le revenu en deçà duquel une famille est susceptible de dépenser 20 points de pourcentage de plus de son revenu pour la nourriture, le logement et l'habillement que la famille moyenne.
En 2019, en France métropolitaine, le niveau de vie médian de la population s'élève à 22 040 euros annuels. Il correspond à un revenu disponible de 1 837 euros par mois pour une personne seule et de 3 857 euros par mois pour un couple avec deux enfants de moins de 14 ans.
Si définir la classe moyenne est un jeu périlleux, il apparaît une certitude : à 4 000 euros net par mois, on entre dans le top des 10 % de Français les plus riches, constate l'Observatoire des Inégalités, organisme indépendant qui passe aux cribles les publications sur le sujet.
En France, est considérée comme pauvre une personne dont les revenus mensuels sont inférieurs à 1 102 euros par mois.
Le niveau de vie est plus faible aux grands âges : avec 23 730 euros par an en moyenne, soit 1 978 euros par mois, les personnes de 80 ans ou plus disposent de 156 euros de moins par mois que les 75-79 ans, 200 euros de moins que les 70-74 ans et 244 euros de moins que les 65-69 ans.
Le seuil de richesse, établi par l'observatoire des inégalités, est fixé cette année à 3.470 euros pour une personne seule, après impôts, soit le double du niveau de vie médian que l'Insee fixe à 1.735 euros (en 2017). Ce sont donc 5 millions de personnes qui gagnent plus que ce seuil de richesse.
L'Insee retient ensuite, par convention, comme partout dans l'Union européenne, 60% de ce niveau de vie médian - on est alors à 1063 euros -, et il dénombre les personnes ayant un niveau de vie sous ce seuil de 1063 euros. Les 9,3 millions auxquels on aboutit représentent 14,8% de l'ensemble de la population.
En 2017, 40 % des habitants de France métropolitaine ont un niveau de vie inférieur à 1 551 euros mensuels. Un peu plus d'un tiers d'entre eux sont pauvres : leur niveau de vie est inférieur à 60 % du niveau de vie médian, soit 1 041 euros par mois.
Dans la plupart des cas, vous gagnez un revenu tiré de vos biens si vous ne faites que louer des locaux et fournir des services essentiels. Ces services comprennent le chauffage, l'éclairage, le stationnement et les services d'une salle de lavage.
Allocations familiales, revenu de solidarité active (RSA), allocation logement, allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA), bourses scolaires, aides locales pour le logement social dans certaines régions, etc.
Par exemple, le chômage partiel, les contrats de travail temporaires, l'absence de places de prise en charge extrafamiliale des enfants, ou leur prix excessif engendrent souvent de la pauvreté.
Elles sont qualifiées d'aisées au-delà de 2 300 euros et de riches au-dessus de 3 155 euros par mois. Pour les couples sans enfants, le seuil de pauvreté se situe à 1 550 euros. Ces couples appartiennent aux classes moyennes entre 2 500 euros et 4 500 euros et à la catégorie des riches au-dessus de 6 200 euros.
En 2021, une personne est considérée comme pauvre d'après l'Insee, si ses revenus sont inférieurs à 1 063 euros par mois, pour un niveau de vie médian établi à 1 771 euros mensuels pour une personne seule après impôts (allocations sociales comprises).
Selon le rapport de L'Observatoire des inégalités, le "seuil de richesse" se situe à 3.673 € net par mois après impôts pour une personne seule (soit deux fois le revenu médian), 5.500 € pour un couple et 7.713 € pour un couple avec deux enfants.
Si vous êtes une personne seule, vous êtes considéré comme "pauvre" si votre revenu mensuel est inférieur à 800 euros. Jusqu'à 1300 euros, vous êtes décrit comme faisant partie de la classe populaire. Entre 1300 et 2300 euros, c'est la classe moyenne.
L'observatoire des Inégalités a publié ce mois-ci son rapport sur les riches en France qui établit le seuil de richesse à 3.673 euros net par mois après les impôts pour une personne seule.
Même s'il n'existe pas de définition officielle de la classe moyenne en France, on considère généralement qu'elle représente un ensemble d'individus situé entre les 30% les plus pauvres et les 20% les plus riches. Soit 50% de la population.