Pour les chrétiens, elle représente le sacrifice de Jésus-Christ qui donna sa vie pour la survie de l'humanité. On la retrouve dans les églises et aussi à l'envers (on l'appelle alors la
Pour les alchimistes, la branche verticale, dressée, symbolise le principe masculin, et la branche horizontale, couchée, le principe féminin; leur conjonction est signe de vie 1. Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l'époque du Christ et a une valeur universelle.
ORIGINE DU SIGNE DE CROIX
À l'origine, bien des siècles avant Jésus, on a l' habitude en terre d'Israël de tracer sur le front un signe de bénédiction divine en forme de +, ancienne graphie du tav, la dernière lettre de l'alphabet hébraïque désignant le T de Torah.
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
Beaucoup de gens se posent la question : pourquoi certaines personnes non religieuses portent-elles une croix autour du cou ? La réponse est simple. Ces personnes recherchent un porte-bonheur qui les protégeraient. D'autres en porteraient comme un guide qui les aiderait à prendre de bonnes décisions.
La taille idéale d'une croix est petite. Après tout, dans le monde religieux, ce n'est pas un ornement; c'est un symbole de foi et de spiritualité. Par conséquent, il ne doit être ni grand ni clairement visible sous les vêtements. Seuls les prêtres sont autorisés à porter des croix sur les vêtements.
Le Portement de croix ou Montée au calvaire est un épisode de la vie de Jésus-Christ se déroulant durant la Passion et qui rapporté par les Évangiles synoptiques. Condamné à mort, Jésus doit porter sa croix pendant la montée au Golgotha où il est ensuite crucifié.
PORTE-CROIX, subst. masc. A. − Personne qui porte la croix devant le pape ou un grand personnage de l'Église, ou dans une procession.
Dans certaines des illustrations qui les accompagnent, en effet, la croix ou le crucifié se dressent contre le lit du mourant pour l'inviter à se préparer à quitter ce monde et à remettre son âme à Dieu.
La croix est le principal symbole du christianisme.
« Et le vendredi saint, en mémoire du sacrifice de Jésus-Christ, les Chrétiens ont coutume de manger maigre et de s'abstenir de consommer de la viande, le poisson venant ainsi se substituer à ces aliments.
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (Mc 15,34 et Mt 27,46) crié « à voix forte » en araméen Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ? (Ps 22:2) Souffrance suprême du sentiment d'abandon : la nuit obscure de l'homme Jésus, qui pourtant cite un psaume qui s'achève sur la réhabilitation du juste – et la mort survient à ...
Il y a d'abord la religion, ou faire le signe de croix sur le pain est une coutume de la religion catholique, comme pour bénir le pain avant de l'entamer, un peu comme Jésus a béni le pain juste avant de le rompre, la veille de sa mort, lors de la Cène.
Les catholiques et les orthodoxes prient les Saints. Ils croient au Purgatoire et vénèrent la Vierge Marie comme figure sainte. Cela constitue une autre différence importante avec l'Eglise protestante qui refuse les Saints et ne voue aucun culte à Marie.
Le repas du 24 décembre est maigre (pas de viande) car la veille de Noël, on jeûne. C'est le repas du 25 décembre qui donne lieu à des festivités avec de la dinde farcie et en dessert le gâteau au pavot. Les cadeaux sont donnés aux enfant à la fête de St Nicolas le 6 décembre.
Elle l'est d'autant plus le jour du Vendredi Saint, jour de la mort de Jésus-Christ, où l'Église demande aux chrétiens de « faire maigre », c'est-à-dire de s'abstenir d'aliments riches tels que la viande, l'alcool, ainsi que, selon les époques ou les lieux, les laitages ou les œufs, en mémoire du sacrifice de Jésus- ...
Le jeûne dans le catholicisme
deux jours maigres chaque semaine (= sans viande) : mercredi et vendredi. Un jeûne total était demandé pour le premier jour du carême, appelé Mercredi des Cendres, et pour le Vendredi saint (une collation est aujourd'hui autorisée).
Le Portement de croix ou Montée au calvaire est un épisode de la vie de Jésus-Christ se déroulant durant la Passion et qui rapporté par les Évangiles synoptiques. Condamné à mort, Jésus doit porter sa croix pendant la montée au Golgotha où il est ensuite crucifié.
Dans l'Invention de la croix par Protonikè (BH0 211), conservée dans deux versions en syriaque qui datent au plus tôt des IV e – V e siècle, il est rapporté que la croix de Jésus a été confiée d'abord à Jacques le frère du Seigneur et ensuite à Siméon, fils de Clopas, devenu évêque de Jérusalem vers 73 et martyrisé ...
Elle symbolise bien entendu la mort, mais aussi l'ironie de la religion, et une certaine beauté. Ceux qui la portent à l'endroit la prennent simplement comme une "critique". Ceux qui la portent à l'envers sont à la base des "révoltés", les anti-religieux, ceux qui sont agressifs vis-a-vis des croyances chrétiennes.
Paul dit à son disciple Timothée : « Cesse de boire uniquement de l'eau, mais prends un peu de vin pour faciliter ta digestion, puisque tu es souvent malade » (1 Timothée 5,23). Seul l'abus qui conduit à l'ivresse est considéré comme un péché.
Pour ce jour de la mort du Christ, l'Église demande à ses fidèles de “faire maigre” lors des repas le vendredi et plus particulièrement le Vendredi saint. Ils doivent donc s'abstenir d'aliments riches comme la viande en mémoire du sacrifice de Jésus et dans une démarche de pénitence.