Le syndrome de Peter Pan ou SPP correspond à un refus de grandir. Non classifié parmi les maladies mentales, il se manifeste par un ensemble de signes liés à l'angoisse d'intégrer le monde des adultes. Ce complexe concerne généralement les jeunes de 20 à 25 ans, âge où commencent les premières responsabilités.
Le syndrome de Wendy ou de la sauveuse
La Wendy cherche à plaire aux autres pour être reconnue et pour pouvoir continuer son chemin avec l'amour de sa vie, et comme elle n'est pas satisfaite à la mesure de ses attentes, elle tombe dans l'autocompassion car : "Plus grande est l'illusion, plus grande est la chute".
Pour s'en sortir l'accompagnement par une personne compétente (psychologue, psychothérapeute, psychiatre) est indispensable. Une thérapie permet d'en guérir. Le soutien des proches est essentiel. "L'entourage doit être bienveillant.
Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette incapacité à grandir, qui caractérise le syndrome de Peter Pan. Il est possible que des événements traumatisants survenus dans l'enfance - un deuil, une séparation, des maltraitances physiques ou psychologiques - nourrissent la crainte d'avancer et de progresser dans la vie.
Ce syndrome est un mécanisme psychique qui crée chez les personnes concernées un sentiment de scepticisme permanent à l'égard de leur propre valeur et qui les pousse à attribuer leur réussite à des facteurs externes, comme la chance ou le hasard. En somme, si la personne réussit, ce n'est jamais grâce à ses qualités".
Très répandu, le syndrome de l'imposteur donne à celui qui le vit le sentiment de ne pas mériter la place qu'il occupe. Il puise ses origines dans des ego malmenés et dans la nécessité que nous éprouvons de nous comparer aux autres.
Comme dans le rêve d'Alice dans le livre de Lewis Caroll, les personnes qui en souffrent ont l'impression que leur corps est déformé, leurs membres s'allongent, des sensations similaires à celles perçues lorsqu'on se regarde dans un miroir déformant. Ce phénomène sans gravité annonce généralement une migraine.
Avoir peur de grandir, refuser toute responsabilité d'adulte et se réfugier dans un monde imaginaire porte un nom : le syndrome de Peter Pan. De quoi s'agit-il et comment le traiter ?
La peur de grandir
L'enfant est sans limite", explique Eudes Séméria. Or, ajoute-t-il, "devenir adulte, c'est se heurter à des limites et les accepter". Et quand on prend conscience de ces limites, "on prend aussi conscience des limites existentielles", ce qui provoque une nouvelle peur.
L'hypertrichose est une maladie rare qui provoque un développement exessif de la pilosité, notamment sur le visage. L'hypertrichose est une pathologie dans laquelle on observe un développement excessif de la pilosité sur le visage, l'abdomen, la poitrine… D'où son autre appellation : syndrome du loup-garou.
Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés.
Pourquoi nous pousse-t-on à grandir ? Tout au long de la vie, la société nous pousse à grandir pour nous rendre aptes à rentrer un jour dans son moule et tenter de faire de nous des êtres responsables et stables, afin qu'elle continue à prospérer et à perdurer.
Les causes d'un tel comportement remontent le plus souvent à l'enfance. La plupart des sauveurs ont été les « parents » de leurs parents ou d'un membre de leur famille touché par une dépression, une addiction, ou un décès par exemple. Ils ne savent se sentir aimé qu'en prenant soin des autres.
Il n'y a pas de traitement au sens "médicamenteux" pour "soigner" un syndrome d'Hubris. Selon le Dr David Owen, les symptômes s'atténuent généralement lorsque la personne n'exerce plus de pouvoir. Il faudrait aussi qu'elle soit entourée de critiques pour contrer son sentiment de "toute puissance" absolue.
C'est un signe de maturité psychologique : on quitte l'enfance, on accède à l'âge adulte lorsqu'on réalise que la mort fait partie de la vie. L'angoisse de mort existentielle est donc normale tant qu'elle ne perturbe pas la vie quotidienne.
Le mal de vivre est souvent lié à des états dépressifs ou à des troubles émotifs. Ce profond et intime mal de vivre demeure traitable.
La gérascophobie est extrêmement rare. Il serait ainsi le troisième cas au monde. Mais des spécialistes contredisent le diagnostic. Imaginez-vous vivre constamment dans un état de paralysie et de peur panique face à l'idée de vieillir.
"Le syndrome de Lima se définit comme un processus psychologique durant lequel les ravisseurs éprouvent de l'empathie envers leurs otages, devenant même sensibles et réceptifs à leur besoins et revendications, explique Rodolphe Oppenheimer, psychothérapeute et Psychanalyste.
En fait, le « syndrome de Jérusalem », ça consiste tout bêtement à péter un câble en arrivant dans la Ville Sainte en étant submergé par l'ambiance religieuse qui imprègne toute la ville et en perdant tout contact avec la réalité.
L'origine des migraines reste encore mal comprise. Dans le cas de la migraine avec aura, l'activité des neurones au sein du cerveau pourrait être perturbée. Une diminution du débit sanguin cérébral pourrait être l'une des explications. Il semblerait qu'il existe également des prédispositions génétiques.
Dans sa forme générale, le syndrome du survivant englobe les sentiments de culpabilité que ressent une personne qui se reproche d'être en vie alors qu'une autre personne a péri. Il est difficile de se sentir heureux d'être en vie sachant que d'autres n'ont pas connu le même sort.
imposteur
Personne qui trompe par de fausses apparences, qui se fait passer pour quelqu'un d'autre.