Le pain au chocolat, aussi appelé chocolatine, couque au chocolat, croissant au chocolat ou encore petit pain et petit pain au chocolat, est une viennoiserie constituée d'une pâte levée feuilletée, identique à celle du croissant, rectangulaire et enroulée sur une ou plusieurs barres de chocolat.
Étymologie. (1790) La forme est attestée une toute première fois dans un nom d'enseigne « Le café de la chocolatine » à Bordeaux, sans qu'on sache ce que désigne le mot. La première attestation d'usage avec un sens clair se trouve dans un article de Constance Aubert dans le journal L'Illustration.
Faut-il dire pain au chocolat ou chocolatine ? Le débat sur l'appellation de cette viennoiserie agite la France depuis de nombreuses décennies. D'un côté, les Français du Sud-Ouest pour qui "chocolatine" est le terme correct, de l'autre, le reste du pays, qui opte plutôt pour "pain au chocolat".
“Les boulangers qui vendaient cette viennoiserie l'ont rebaptisée pain au chocolat pour qu'un lien soit fait avec leur métier. Ils ont également décidé de la renommer ainsi car elle se consommait au goûter et à cette heure-là, les gens mangeaient du pain avec un bout de chocolat”, dit le boulanger toulousain.
Le mot chocolatine apparaît dans le Larousse. D'après le dictionnaire, il est employé dans le sud-ouest de la France et au Canada pour désigner un pain au chocolat. L'utilisation de ces deux termes est le résultat d'un clivage géographique, entre le nord et le sud de l'hexagone.
La viennoiserie composée d'une pâte feuilletée richement beurrée, renfermant deux barres de chocolat, divise le territoire : selon un sondage de mars 2019, 63% des habitants de Nouvelle-Aquitaine parlent de "chocolatine", alors qu'ils sont 94% en Île-de-France à dire "pain au chocolat".
Pourquoi dit-on chocolatine alors ? Ces pâtisseries viennoises sont à l'époque faites à base de pâte à brioche et de chocolat. Son appellation d'origine vient du célèbre croissant autrichien « Kipferl » (devenu « croissant » en France) et du pain empereur (kaisersemmel), un croissant fourré au chocolat.
Une chocolatine est un terme employé au Canada et dans certaines régions françaises pour désigner une pâtisserie fourrée au chocolat. C'est en fait une pâte feuilletée contenant deux barres de chocolat. En France, on parle plutôt de pain au chocolat.
En Corse c'est Ni Chocolatine, Ni pain au chocolat.
Si vous entrez dans une boulangerie toulousaine pour acheter votre traditionnel pain au chocolat, demandez une « chocolatine ». Oui, c'est ainsi que les habitants de la Ville rose (et du Sud-Ouest en général) nomment cette viennoiserie au chocolat.
En France, l'Occitanie est une des régions les plus divisées sur le sujet. Selon la carte des résultats, le territoire est coupé en deux. "Chocolatine" l'emporte ainsi à Toulouse et plus généralement dans l'ex Midi-Pyrénées. La fameuse chocolatine se fait aussi une place dans l'Aude et l'Aveyron.
La chocolatine ou pain au chocolat, c'est une viennoiserie composée de pâte levée feuilletée, généralement rectangulaire, et fourrée avec du chocolat.
À Marseille, comme dans une grande partie du pays, le pain au chocolat est roi. Mais attention, dans le sud-ouest, si vous vous y rendez, notre meilleur ami du petit déjeuner se dit "chocolatine".
On poursuit la lecture de sa carte de France : « Sur la majeure partie du territoire français, on parle de « pain au chocolat ». « Chocolatine » appartient à un grand quart sud-ouest. » Ce qui n'empêche pas certaines chaînes de boulangerie d'y utiliser le terme « pain au chocolat », même s'il est minoritaire.
Pourquoi en Belgique un pain au chocolat est appelé une couque ?
En Autriche, le pain au chocolat désigne un cake.
basgi. fr Contact effectué avec les lèvres en signe d'amour ou d'affection.
Bellu /n.m./ : beau, chic • cher, chéri.
Les traductions de bise en corse, entre autres, sont : basgiu (nous avons trouvé des traductions de 1).
pain au chocolat en breton
Traduction de pain au chocolat dans le dictionnaire français - breton : baraenn. pain au chocolat dans les traductions contextuelles a été trouvé au moins 9 fois.
Surtout utilisée dans le sud-ouest de la France, la variante «chocolatine» domine dans la partie francophone du Canada. Alors que le «pain au chocolat» résonne dans la plupart des bouches d'Europe, le Québec lui préfère sa variante courte qui permet de savourer plus rapidement ce délice matinal.
Dans le Nord aussi, on y apporte une petite spécificité : on dit « petit pain au chocolat », voire « couque au chocolat », aussi répandu en Belgique. A l'Est, une petite zone frontalière évoque ainsi le « croissant au chocolat ».
Egypte. On attribue l'invention du pain aux Egyptiens en 3000 avant JC. En effet en Egypte ancienne, on trouve déjà l'ancêtre de notre pain quotidien à base d'eau, de farine, de sel et de levain.
Une tradition fait de Marie-Antoinette d'Autriche, originaire de Vienne, celle qui aurait officiellement introduit et popularisé en France le croissant à partir de 1770, d'où le nom de viennoiserie.
Contrairement aux idées reçues, le croissant n'est pas une pâtisserie qui a été créée en France, mais en Autriche. Plus particulièrement dans la ville de Vienne. Selon une des légendes racontées sur le sujet, ce produit du petit-déjeuner est né lors du siège de la ville par les Turcs, en 1683.