Plus l'épaisseur de couche est importante plus le temps d'impression sera réduit. Schématiquement, une impression en 100 microns nécessitera près de 3 fois plus de temps qu'une impression en 300 microns. Le standard, sorte de compromis entre définition et temps d'impression, est l'impression à 200 microns (0.20 mm).
Dans l'impression 3D, l'épaisseur de paroi correspond à la distance entre une surface de votre pièce et la surface opposée. Une pièce qui entrerait dans une boîte de 250 x 250 x 300 mm doit être conçue avec une épaisseur de paroi minimale de 1 mm.
La hauteur de couche doit être inférieure à 80% du diamètre de la buse (par exemple, la hauteur de couche maximale avec une buse de 0,4 mm est d'environ 0,32 mm).
La meilleure façon d'éviter le warping est d'utiliser un plateau chauffant. Il permet de maintenir le matériau à une température juste au-dessous du point où le matériau se solidifie (la température de transition vitreuse). De cette manière, nous somme sûr qu'il reste plat et connecté au plateau d'impression.
Le warping, ou gauchissement, correspond à la rétractation du thermoplastique à la surface d'impression. Il en résulte un décollement de l'objet imprimé, d'abord sur le pourtour de l'objet et qui peut aboutir à un décollement total de la pièce.
Solution 1 : Mise à niveau du plateau. C'est la solution à privilégier, le plateau doit être le plus de niveau et le plus droit possible avant de lancer une impression. Si le plateau est de travers, la buse pourrait être bien réglée à droite du plateau par exemple, et avoir trop de jeu plus à gauche.
L'un des inconvénients ou des limites de cette imprimante réside dans le fait que son emploi nécessite la maîtrise des logiciels. Ces derniers sont parfois difficiles et peu intuitifs pour un utilisateur classique. Néanmoins, il existe des modèles disponibles sur internet et prêts à être employés.
ALM (ADDITIVE LAYER MANUFACTURING)
L'ALM est le principe même de l'impression 3D. Comme son nom l'indique, ce processus consiste en l'ajout de couches successives (Later) de matériaux pour construire un objet.
La hauteur de la couche ne doit pas dépasser 80 % du diamètre de la buse. Si vous utilisez la buse standard de 0,4 mm, la hauteur maximale de la couche doit être de 0,32 mm. Cependant, avec une buse de 0,6 mm, il est possible d'atteindre une hauteur de couche de 0,48 mm.
Ce filament sous sa forme standard s'imprime généralement entre 190 et 210 °C pour des vitesses allant de 40 à 80 mm/s.
La calibration manuelle se fait grâce à 4 vis disposées aux 4 coins du plateau de votre imprimante 3D. Le but étant de trouver le rapport de hauteur parfait entre ces 4 vis pour niveler le plateau.
En terme de valeurs, sur les imprimantes actuelles, une vitesse de référence de 50mm/s ou 60mm/s est plutôt qualitative, alors qu'à 80 ou 90mm/s on est cherche à gagner du temps, au détriment de la qualité. Pour faire de la haute qualité, on pourra baisser encore en vitesse, à 40, voire 30mm/s.
Pour imprimer du PLA, il faut premièrement choisir la buse de l'imprimante en fonction des matériaux que l'on utilise. Le PLA non-chargé s'imprime avec une buse classique en laiton classique. En revanche, le PLA chargé (en poudre de pierre ou de bois par exemple), nécessite une buse en acier.
L'Ender 3 de Creality 3D est l'une des imprimantes 3D les plus abordables du marché. Performante, elle vous offre des impressions 3D de qualité avec un bon volume d'impression (220 x 220 x 250 mm). Sa vitesse d'impression est de 180 mm/s max et elle vous propose une compatibilité avec les filaments PLA, ABS, TPU.
Par ailleurs, la taille des objets fabriqués via l'imprimante 3D est elle aussi limitée (environ 20cm*20*15) : toutefois, cette limitation peut être contournée en fabriquant un objet de taille conséquente en plusieurs fois.
L'impression 3D peut produire divers objets sans avoir besoin d'un outillage particulier. C'est ainsi que cette technologie permet d'accroître la flexibilité au sein des entreprises et à réduire les dépenses. Aussi, si vous souhaitez produire de petites quantités, le fabrication additive est la solution parfaite.
Les sociétés d'ingénierie qui utilisent le plus l'impression 3D seraient: l'électronique, l'informatique, la mécatronique, le génie civil, la production et l'automatisation.
Un extrudeur encrassé va avoir tendance à être moins efficace sur les mouvements de filaments. Il pourra créer des défauts irréguliers et augmente fortement le risque de grinding. De la même manière, un extrudeur mal « calibré » peut aussi causer certaines problématiques d'entraînement du filament.
Afin d'éviter le warping, il faut que la distance entre la buse et le plateau soit parfaitement réglée afin que la première couche s'applique et colle correctement au plateau en verre. Si cette distance est trop grande, le matériau peut facilement se détacher.
Pour l'impression du PLA il ne faudra pas dépasser 50°C car l'effet inverse peut être obtenu, le PLA commençant à devenir malléable à partir de 40-50°C.
Le moteur à distorsion fonctionne sur le modèle de la métrique d'Alcubierre. Il déforme la texture de l'espace pour propulser le vaisseau. Dit simplement, le moteur distord l'espace, à la fois à l'avant et à l'arrière du vaisseau, lui permettant de voyager plus rapidement que la vitesse de la lumière.
Pour ajuster le paramètre du rapport de flux, le test du cube doit être effectué. Ce test consiste à imprimer un cube creux sans la face supérieure, pour vérifier que l'épaisseur des faces latérales correspond à celle du dessin.