Phrases juxtaposées Quand deux propositions (ou phrases) sont juxtaposées, elles sont liées avec un signe de ponctuation : une virgule, un point-virgule ou deux points.
On dit que deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule.
La coordination est une des façons de relier les propositions d'une phrase complexe par une conjonction de coordination (« mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car ») ou un adverbe de liaison (« puis », « ensuite », « ainsi », « cependant », etc.). On dit que les deux propositions sont coordonnées.
La juxtaposition consiste à lier des éléments à l'aide d'un signe de ponctuation. Il s'agit d'une forme de coordination sans coordonnant. Violette a reçu son diplôme, elle est fière d'elle. Dans cet exemple, les phrases Violette a reçu son diplôme et elle est fière d'elle sont juxtaposées à l'aide d'une virgule.
Lorsque deux propositions sont séparées par une virgule, un point-virgule ou par deux-points, elles sont juxtaposées. Elles ne dépendent ni de l'une ni de l'autre et présentent chacune un sens complet. Elles sont donc indépendantes (la nature des propositions juxtaposées est : « proposition indépendante »).
Deux propositions indépendantes sont juxtaposées quand elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. Elles sont juste séparées par une virgule ou un point virgule.
Une proposition est dite juxtaposée lorsqu'elle est reliée à la proposition principale par un signe de ponctuation ( : ; , ) ... Elle peut comprendre plusieurs propositions indépendantes avec des sujets différents. ...
Quand deux propositions sont reliées par un signe de ponctuation, elles sont juxtaposées. Quand elles sont reliées par un mot coordonnant, elles sont coordonnées.
Deux propositions indépendantes peuvent être coordonnées, c'est à dire qu'elles sont reliées par une conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car). Exemple : Le gâteau de Fiona est délicieux et ses invités sont contents.
Par juxtaposition
Les propositions sont séparées par un signe de ponctuation dit « faible », c'est-à-dire une virgule, un point-virgule ou deux-points : Viens m'aider, j'ai besoin de toi. Je ne me souviens pas d'elle ; je ne pense pas l'avoir rencontrée. Les bateaux ne sortent pas : la mer est trop mauvaise.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
Placer des choses immédiatement l'une à côté de l'autre : Juxtaposer une phrase à une autre.
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
La proposition subordonnée
Une proposition qui a une fonction par rapport à un mot d'une autre proposition est appelée proposition subordonnée. « qui l'a profondément marqué » est une proposition qui dépend du nom vie : c'est donc une proposition subordonnée.
La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).
La juxtaposition est une coordination sans l'emploi d'un coordonnant. Le coordonnant est remplacé par un signe de ponctuation (une virgule, un deux-points ou un point- virgule), qui sépare graphiquement les éléments de même fonction juxtaposés.
Deux propositions indépendantes reliées par une conjonction de coordination (et, ou, ni, mais, car, or, donc, ou encore par puis, ensuite, cependant, pourtant, toutefois, néanmoins, aussi) sont appelées « coordonnées ». Par exemple : Truc tend la main et Bidule la lui serre.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination. Invariables, elles font partie des coordonnants et ont pour fonction d'unir deux éléments de même fonction syntaxique (c'est-à-dire ayant le même rôle dans la phrase).
Pour analyser une phrase complexe comprenant une ou plusieurs subordonnées, il faut repérer les mots subordonnants et couper la phrases en propositions : la principale et la subordonnée (ou les subordonnées).
Situation de quelqu'un qui dépend, dans ses fonctions, de l'autorité de quelqu'un d'autre : Il supporte mal sa subordination à un chef fantasque. 2. Dépendance de quelque chose par rapport à quelque chose d'autre : La subordination de l'armée au pouvoir civil.
Analyser une phrase, c'est identifier, à l'intérieur d'une phrase, tous les groupes de mots (parfois un mot tout seul) qui ont le même rôle : Verbe (conjugué), sujet, compléments circonstanciels, compléments d'objet, attribut du sujet, complément du nom... Le verbe (conjugué) : Il a soif !
Phrases coordonnées
Quand deux propositions (ou phrases) sont coordonnées, elles sont reliées par une conjonction de coordination ou un adverbe de liaison : adverbe de liaison : en effet, puis, aussi, alors, par conséquent, enfin, cependant... conjonction de coordination : mais, où, et, donc, or, ni, car.
Une phrase simple ne comporte qu'un seul verbe conjugué, donc une seule proposition. Exemple : Je vous prie de m'excuser. Une phrase complexe comporte plusieurs verbes conjugués, donc plusieurs propositions.