En Europe, l'évènement déclencheur de la Seconde Guerre mondiale a lieu le 1er septembre 1939 avec l'invasion de la Pologne par l'Allemagne.
Assassinat à Sarajevo. La cause immédiate de la Première Guerre mondiale fut l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche, l'archiduc Franz Ferdinand, le 28 juin 1914 à Sarajevo. L'assassin était Gavrilo Princip, membre de la société de la Main Noire.
Le 3 septembre 1939, suite à l'agression de la Pologne, la Grande-Bretagne puis la France déclarent la guerre à l'Allemagne.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie.
Après s'être assuré de la neutralité de l'Union soviétique (par le pacte de non-agression germano-soviétique d'août 1939), l'Allemagne déclencha la Seconde Guerre mondiale en envahissant la Pologne le 1er septembre 1939. La Grande-Bretagne et la France réagirent en déclarant la guerre à l'Allemagne le 3 septembre.
L'Allemagne a déposé les armes deux fois en raison des idéologies belligérantes, des conflits entre l'Union soviétique et ses alliés, ainsi que de l'héritage de la Première Guerre mondiale. Nous sommes en 1945. La victoire des Alliés semble de plus en plus évidente.
La cause la plus fondamentale était l'infériorité démographique. En 1938, après l'annexion du pays des Sudètes, le Reich comptait 79 millions d'habitants, presque deux fois plus que la France (41,5) ! L'infériorité numérique s'était aggravée depuis 1914 (68 millions contre 39,6).
Il fait la guerre pour augmenter son territoire, sa population, et donc faire progresser son économie et son armée. Il fait la guerre aussi pour unifier l'Allemagne au détriment de ses voisins : en 1864, au Nord, contre le Danemark : c'est la « la guerre des Duchés » ; en 1866, au Sud, contre l'Autriche.
Philippe Pétain (1856-1951) : « vainqueur de Verdun », (en 1916) maréchal de France, il devient chef du gouvernement en juin 1940 puis chef de l'« État français ». Il signe l'armistice et impose le régime de Vichy, qui collabore avec les Allemands.
Objectifs de l'invasion
Depuis les années 1920, les principes fondamentaux du mouvement nazi incluaient : la destruction de l'Union soviétique par la force militaire. l'élimination définitive de la menace communiste perçue en Allemagne.
L'invasion de la Pologne marque le début de la Deuxième Guerre mondiale. Adolf Hitler voulait récupérer les territoires allemands devenus polonais après la Première Guerre mondiale.
Devant les lourdes pénuries de pétrole et autres matières premières, et motivé par la volonté de remplacer les États-Unis comme puissance dominante dans le Pacifique, le Japon décida alors d'attaquer les forces américaines et britanniques en Asie et de s'emparer des ressources de la région.
Les Allemands ont inventé de toutes pièces un prétexte pour déclencher l'invasion de la Pologne. Ils ont fait croire que des soldats polonais avaient attaqué un poste de radio allemand. Les attaquants étaient en fait des criminels affublés d'uniformes polonais.
La Seconde Guerre mondiale prend fin en Europe, avec la capitulation allemande, le 8 mai 1945 : le monde sort épuisé de quatre ans de guerre. De la fin de cette guerre naît la volonté de rompre avec le passé et d'établir un nouvel ordre mondial capable d'assurer la paix.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, deux camps belligérants s'opposèrent : l'Axe et les Alliés. Les trois partenaires principaux de l'Axe étaient l'Allemagne, l'Italie et le Japon.
La seconde guerre mondiale (1939-1945) a impliqué la plupart des pays de la planète. Elle a également mobilisé l'énergie et les ressources des belligérants. C'est la raison pour laquelle elle est considérée comme une « guerre totale ».
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
La libération de la France, couramment appelée la Libération, est la période qui voit, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la reprise progressive par les forces alliées des régions de la France métropolitaine occupées depuis 1940 par les armées du Troisième Reich et de l'Italie fasciste.
En chiffres absolus, c'est l'Union soviétique qui a subi les pertes humaines les plus élevées, aussi bien en ce qui concerne les civils que les militaires : environ 21 millions de morts, c'est-à-dire 70 fois plus qu'aux Etats-Unis.
Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
Le 3 août 1914, c'est le choc : l'Allemagne déclare la guerre à la France. En fait, la guerre a commencé quelques semaines plus tôt, loin de la France, en Europe de l'est. En Autriche-Hongrie, l'héritier du trône est assassiné par un Bosniaque d'origine serbe. L'Autriche-Hongrie déclare alors la guerre à la Serbie.
En 1940, Pétain a trahi la France ; en 1925, il a trahi de Gaulle.
La création du Conseil national de la Résistance par Jean Moulin, le 27 mai 1943 , puis celle des Forces françaises de l'intérieur (FFI) par Jacques Bingen, le 1er février 1944 , marquent les jalons essentiels de ce processus d'unification parfois difficile.
1re armée (général Blanchard)