Les examens paracliniques les plus courants sont ceux d'imagerie médicale (échographie, radiographie, CT-scan, IRM, scintigraphie…). La résolution de ces examens est cependant modérée et certaines lésions sont trop petites pour être détectables. La normalité des examens ne signifie donc pas qu'il n'y a pas de lésion.
Dans une autre mesure, les examens paracliniques servent de moyen de dépistage, que ce soit par l'imagerie, comme les mammographies, ou bien par les bilans sanguins, comme un test de grossesse.
Procédure d'examen ou technique complémentaire à l'examen clinique à laquelle le médecin a recours pour révéler la présence d'une pathologie chez un patient ou pour confirmer ou infirmer son diagnostic.
Cet examen comprend classiquement deux étapes : une anamnèse qui permet, par l'interrogatoire, de retracer l'histoire de la maladie, puis un examen physique à la recherche de signes physiques.
Tout ce qui n'est pas l'examen clinique relève des examens complémentaires, appelés également examens paracliniques. On inclue dedans les examens de laboratoire, l'imagerie médicale (échographie, scanner, IRM…), l'endoscopie et tous les autres examens spécialisés, de plus en plus sophistiqués.
Le but de la surveillance clinique et paraclinique du travail est donc triple : accompagner la patiente, identifier une éventuelle pathologie inopinée et savoir intervenir pour rester dans la normalité, ni trop tôt ni trop tard.
En revanche, la palpation profonde permet l'examen des organes comme le foie, caecum. côlon sigmoïde et, parfois, le côlon transverse et l'estomac. Palpation profonde peut également faciliter la détection élargie des reins, la vésicule biliaire et la rate, comme, en bon état, ces organes sont rarement palpables.
Les signes physiques, couramment appelés signes, sont décelés lors de l'examen clinique par le médecin (pression artérielle anormale, augmentation de volume du foie, souffle sur un trajet artériel, etc.). Les signes radiologiques sont les anomalies décelées en imagerie médicale et caractérisant une maladie donnée.
Le diagnostic positif est un raisonnement qui se construit à partir d'un maximum de renseignements issus de l'étude des symptômes, de l'histoire de la maladie, des antécédents, de l'examen clinique et des explorations. Ce raisonnement conduit à l'identification de la nature de la maladie.
L'IRM est un examen de santé extrêmement précis. Contrairement au scanner, une IRM a l'avantage de ne pas exposer le patient aux rayons X.
« Épreuve ou série d'épreuves que l'on fait subir à un candidat dans le but d'évaluer ses apprentissages, en vue de la sanction des études », l'examen est à considérer comme une activité positive de nature stratégique qui sert à : - intégrer des connaissances; - contrôler des apprentissages; - reconnaître et certifier ...
Le rôle de l'examen est donc essentiellement régulateur. Il fournit la sanction des études et contrôle le fonctionnement de la formation, en contrôlant ceux qu'elle a formés.
Symptôme objectif ou signe
Le symptôme peut également être objectif, c'est-à-dire qu'il est possible de le constater : la fièvre, la tachycardie, une « boule » dans le sein sont des symptômes objectifs, quantifiables par le patient et par le médecin.
La palpation d'une hépatomégalie nécessite un examen physique consciencieux : placé à la droite du patient, le médecin pose sa main droite à plat en regard de l'hypochondre droit, parallèlement au rebord costal. À l'inspiration profonde, le bord inférieur du foie vient au contact de l'index.
Elle permet d'estimer l'augmentation de volume d'un organe plein comme le foie ou la rate et de détecter la présence de liquide dans la cavité péritonéale par la modification du tympanisme abdominal physiologique.
La palpation profonde permet d'évaluer les organes intra- abdominaux et de déceler une masse.
Ayant la réputation d'être l'examen le plus difficile au monde, le "gaokao" ne permettra qu'aux élèves avec un score très élevé de rejoindre les universités les plus prestigieuses, dans un pays où la concurrence est rude dans l'éducation.
Des techniques telles que la radiographie, la tomodensitométrie (CT), l'imagerie par résonance magnétique (IRM), la tomographie à émission de positons (PET) et la tomographie d'émission monophotonique (SPECT) jouent un rôle important dans la prise de décisions cliniques, notamment en ce qui concerne la thérapie et le ...
Procédures invasives reconnues par tout médecin
C'est le cas de l'intubation orotrachéale, de la dialyse en urgence, ou encore de la coronarographie.
La surveillance comprend le plus souvent la mesure des signes vitaux (température, PA, pouls et fréquence respiratoire), le bilan entrée-sortie des apports liquidiens et souvent une mesure de la pression intracrânienne et/ou une pesée journalière.
La surveillance des épreuves est assurée par les enseignants, principalement ceux permanents et contractuels.