Les mécanismes inconscients contrôlent la plupart de nos comportements, nos choix, nos émotions, nos décisions, comme le montrent de nombreuses expériences de psychologie. La conscience ne serait que la partie émergée de l'iceberg des processus cognitifs.
Le rôle premier de l'inconscient est de nous maintenir en vie. L'inconscient active chaque seconde toutes nos fonctions vitales (respiration, battement du coeur, système immunitaire…etc…). La fonction de l'inconscient agit sur notre physique. Toutes les actions vitales de notre corps se font naturellement.
On peut donc très bien concevoir l'inconscient tout en sauvegardant l'idée de liberté. Il reste que l'idée d'inconscient exige, si on l'admet, de quitter les conceptions naïves sur le libre arbitre. Si l'inconscient psychique existe, il n'est plus de place pour une maîtrise de soi à la manière de Descartes.
– l'homme est un animal moral : la conscience que l'on a de ce que l'on fait , fait qu'on se sent auteur et donc responsable . De plus, la conscience entraîne la connaissance de ce qui détermine ma volonté et donc sujet, liberté, responsabilité et possibilité de parler de moralité.
Si l'inconscient signifie qu'il y a en l'homme des désirs inavoués, refoulés qui peuvent déborder la conscience, l'homme est comme dépossédé de lui-même, dépossédé de son libre arbitre car ce dernier en parviendrait pas à canaliser ce que l'inconscient peut provoquer.
La notion de « limite » trouve sa genèse dans l'inconscient à partir de l'expérience de la perte de jouissance de l'objet, cette perte instaure un bord entre le moi et le monde extérieur et elle crée un espace subjectif qui sera celui de la pensée et par conséquent du jugement et de la représentation.
Notre inconscient, fruit de notre histoire, cause cachée de nos désirs, de nos comportements et de nos malaises, nous échappe. Pourtant, c'est un ami. Il nous dit qui nous sommes, pointe nos difficultés et nous permet d'être plus indulgent avec nous-même. D'où la nécessité de savoir l'écouter.
Les causes possibles de l'inconscience sont nombreuses. Dans certains cas, la vie est en danger : inflammation des enveloppes du cerveau (méningite), intoxication (au monoxyde de carbone), diabète, manque d'oxygène et saignement entre les enveloppes du cerveau (hématome sous-dural).
Freud innove en inventant un inconscient qui parle, se déchiffre et guérit, un inconscient peuplé de désirs sexuels, agressifs, mégalomanes, inavouables, de pulsions de vie et de mort, et qui possède des lois internes. Il nous propose en fait une vision révolutionnaire de l'âme humaine.
L'inconscient s'exprime alors librement mais de manière cachée, symbolique, mystérieuse, pour déjouer la conscience aux aguets. III/ Après Freud La psychanalyse contemporaine doit beaucoup à Freud, mais certains analystes sont parvenus à élaborer d'autres théories valables pour expliquer le phénomène de l'inconscient.
En philosophie, la notion d'inconscient est un concept dont l'usage semble remonter à l'Antiquité et qui peut être entendu en un sens ontologique, comme ce qui dans l'esprit est dépourvu de conscience, ou en un sens gnoséologique, comme ce qui reste inaccessible à la conscience réflexive ou à l'introspection.
L'inconscient fait peur car il remet en cause l'idée du bien et du mal. Car l'action en bien ou en mal implique la responsabilité. La théorie de l'inconscient serait donc dangereuse car en déchargeant les hommes de leur responsabilité, elle justifierait l'existence du mal et l'excuserait.
Les mécanismes inconscients contrôlent la plupart de nos comportements, nos choix, nos émotions, nos décisions, comme le montrent de nombreuses expériences de psychologie. La conscience ne serait que la partie émergée de l'iceberg des processus cognitifs.
L'inconscient est donc une sorte de sous-sol de notre vie psychique où nous plaçons tout ce qui heurte notre conscience. Le refoulement est la notion clef de la théorie freudienne.
L'inconscient est défini par Freud comme ce qui échappe entièrement à la conscience. C'est une réalité vécue qui refuse de se dévoiler à la suite d'une histoire individuelle (un désir refoulé, une scène traumatisante, par exemple).
L'inconscient y est représenté comme un lieu clos et mystérieux situé dans le poste de pilotage central de la tête d'un enfant. On peut difficilement faire plus irréaliste : l'inconscient est tout sauf un réduit où nous enfermerions nos pensées indésirables ou nos pulsions secrètes.
Pour nettoyer son inconscient, il existe une méthode très simple, mais également très ancienne. Celle de Ho'oponopono. Cette méthode permet donc d'effacer des données du subconscient. Cela vous permet donc de suivre le chemin qui vous est destiné.
Qui n'a plus conscience de son existence et de la réalité qui l'entoure, qui a perdu connaissance ; évanoui : Demeurer plusieurs minutes inconscient après une commotion. 2. Qui n'a pas conscience de quelque chose, qui ne s'en rend pas compte, par insouciance, légèreté d'esprit, etc. : Enfant inconscient de ses actes.
Vérifiez que la victime respire. Tournez la victime sur le côté en position latérale de sécurité. Demandez à quelqu'un d'appeler les secours ; allez chercher de l'aide si vous êtes seul. Vérifiez régulièrement la respiration de la victime jusqu'à l'arrivée des secours.
Si la victime est inconsciente et ne respire pas normalement, des compressions thoraciques et des insufflations doivent être pratiquées. Demandez à quelqu'un de prévenir les secours d'urgence (le 15 ou le 18) et d'apporter immédiatement un défibrillateur automatisé externe (s'il est disponible).
L'acceptation de soi et de phénomènes qu'on ne comprend pas est quelque chose d'important. Il fait apprendre à vivre avec soi ! Comme l'a dit Socrate : "Connais-toi toi-même" !!!
« La représentation inconsciente, après le refoulement, subsiste en tant que formation réelle dans le système inconscient », écrit Freud, et la réalité des représentations refoulées se juge à leur activité, en particulier à leur effet d'attraction et donc de déformation du cours des pensées.
Synonymes de inconscient, inconsciente adjectif
insouciant, fou, irréfléchi, irresponsable, léger, jobastre (région.)
Dans l'inconscient, on trouve des désirs qui ont été refoulé par le sujet. Freud affirme d'ailleurs : « Notre expérience la plus personnelle nous met en présence d'idées qui nous viennent sans que nous en connaissions l'origine ; des pensées se forment en nous dont la source nous est cachée ».