Les déchets constituent de véritables pièges pour la faune marine. Les plus gros déchets causent blessures, infections ou mutilations aux animaux qui se coincent dans des filets ou des sacs. Ils peuvent même suffoquer et se noyer.
Les rejets humains sont la première cause de la pollution de l'eau douce. En même temps, chaque année des millions de tonnes de déchets différents sont rejetés dans les océans. Cela fait une pollution visuelle et aussi une contamination des espèces vivantes dans l'eau.
Le réchauffement des océans, la modification de la fréquence et de l'intensité des précipitations, le changement dans l'activité des tempêtes, la réduction de la masse de glace et de neige, l'élévation du niveau et l'acidification des océans sont autant de phénomènes liés au réchauffement climatique.
Près de 7 000 espèces d'animaux et de plantes sont victimes d'un commerce illicite impliquant 120 pays. Dans le monde, 2,6 milliards de personnes dépendent directement de l'agriculture pour gagner leur vie. Selon le rapport Planète Vivante 2018 (WWF), 60% des populations d'animaux sauvages ont été perdues en 40 ans.
Risques liés aux déchets dangereux de l'industrie
Elles contiennent notamment des métaux lourds et des additifs toxiques. Une fois dans l'eau, elles forment une pellicule à la surface et empêchent en partie l'oxygénation du milieu aquatique.
Les principaux risques de collecte et tri des déchets
Risques physiques : contusions, chutes, coupures, troubles musculo-squelettiques (TMS) liés à la manutention ou aux gestes répétitifs et rapides, aux vibrations…
Les principales menaces sont la destruction de l'habitat par les incendies et le défrichement des forêts tropicales, qui sont également la cause d'au moins 20% des émissions de gaz à effet de serre à l'origine des changements climatiques, ainsi que la chasse des primates pour l'alimentation et le commerce illégal de la ...
Fragilisation de notre écosystème
Une biodiversité suffisante conduit à l'équilibre de l'écosystème. La disparition de certaines espèces végétales et animales engendrerait des conséquences désastreuses sur notre environnement, favorisant par exemple les glissements de terrain ou les incendies.
Ces polluants atmosphériques peuvent être toxiques pour les animaux en perturbant leur fonction endocrinienne, en endommageant leurs organes, en accroissant leur vulnérabilité au stress et à la maladie, en diminuant leur succès de reproduction et en causant possiblement leur mort.
Les conséquences de cette dégradation sont variées et elle peut provoquer de nombreuses conséquences comme l'extinction d'espèces, d'une perte de biodiversité, d'une perte de qualité de l'air, de la pollution de l'eau, de l'érosion du sol ou une augmentation de l'effet de serre.
La biodiversité est confrontée à de nombreuses pressions : artificialisation des sols, fragmentation des milieux naturels, changement climatique, pollutions chimique et lumineuse, etc.
Les activités humaines, telles que les changements d'utilisation des terres, la pollution et le changement climatique en sont la principale cause.
Pour l'anecdote, les déchets les plus repêchés sont des paquets de chips et de bonbons. Viennent ensuite les mégots de cigarettes – qui sont presque impossibles à récupérer une fois qu'ils se retrouvent dans l'eau –, les produits d'hygiène (serviettes, tampons, lingettes), les cotons-tiges et les gobelets en plastique.
Les effets sur la santé
Une dégradation de la fonction ventilatoire : baisse de la capacité respiratoire, excès de toux ou de crises d'asthme. Une hypersécrétion bronchique. Une augmentation des irritations oculaires. Une augmentation de la morbidité cardio-vasculaire (particules fines).
73 % du poids de ces déchets soit 5 millions de tonnes d'emballage proviennent de la seule consommation alimentaire tandis que la consommation non alimentaire est responsable des 27 % restants, c'est-à-dire d'environ 2 millions de tonnes.
Les activités humaines comme la déforestation, l'agriculture intensive, l'industrialisation ont pendant longtemps modifié la faune et la flore conduisant à une forte baisse de la biodiversité.
Planter des haies, préserver les arbres "sauvages" et les essences multiples. Préserver quelques troncs morts. replanter des haies, accueillir la bioiversité en ayant un jardin ou une coin jardin sauvage. Se rapprocher des associations, apprendre et participer aux nettoyages, replantages et restauration des milieux.
la sensibilisation du public; l'immobilisation d'animaux sauvages lors d'intrusions en milieu urbain; la sécurité, en collaboration avec les autres services de protection du public; l'encadrement des assistants et des gardiens des territoires (partenaires fauniques).
Conserver des ressources génétiques. Les plantes sauvages constituent une ressource biologique précieuse ainsi qu'une réserve de gènes importante. Certaines d'entre-elles sont utilisées pour des usages alimentaires, d'autres produisent des molécules aux propriétés diverses : thérapeutiques, aromatiques, cosmétiques…
La quantité de nourriture disponible risque ainsi de diminuer, en affectant les capacités de reproduction des femelles. De plus, le dérèglement climatique pourrait provoquer des sécheresses plus intenses et augmenter le risque de feux de forêts impactant d'ores et déjà l'habitat des grands singes.
Ils tiennent aux changements d'utilisation des terres (dont l'agriculture), à la surexploitation (chasse et pêche), au changement climatique, à la pollution et aux espèces invasives, avec en toile de fond la croissance démographique (11,4 milliards d'habitants attendus en 2100) et la hausse de la consommation par ...
« La mauvaise gestion des déchets contamine les océans, obstrue les canaux d'évacuation des eaux et provoque des inondations, propage des maladies, accroît les problèmes respiratoires du fait du brûlage des ordures à l'air libre, tuent des animaux et affecte le développement économique, en nuisant par exemple au ...
Manger moins de viande. Acheter du poisson issu de pêcheries gérées. Bannir les produits à usage unique : ustensiles et couverts en plastique, serviettes en papier, capsules de café, cotons démaquillants, brosses à dents en plastique (il en existe en bambou), essuie-tout (certains sont réutilisables)…
Les matières non dégradables en verre et en métaux portent le risque de blessure pour l'Homme (tessons de bouteilles, aiguilles, boites de conserves) Les matières plastiques enfouis empêchent les racines des plantes de jouer pleinement leur rôle et par conséquent assure la dégénérescence de celles-ci.