L'intelligence artificielle (IA) est un processus d'imitation de l'intelligence humaine qui repose sur la création et l'application d'algorithmes exécutés dans un environnement informatique dynamique. Son but est de permettre à des ordinateurs de penser et d'agir comme des êtres humains.
Il existe trois types d'IA : l'intelligence artificielle étroite (ANI), l'intelligence artificielle générale (AGI) et la superintelligence artificielle (ASI).
En 1952, Arthur Samuel crée un logiciel capable d'apprendre à jouer aux échecs de manière autonome. Le terme d'intelligence artificielle, quant à lui, sera prononcé pour la première fois durant la conférence « Dartmouth Summer Research Project on Artificial Intelligence. » de John McCarthy en 1956.
L'intelligence artificielle (ou IA) est de plus en plus présente dans notre quotidien, notamment au travers de nouveaux produits ou services. Elle repose cependant sur des algorithmes gourmands en données, souvent personnelles, et son usage nécessite le respect de certaines précautions.
La notion voit le jour dans les années 1950 grâce au mathématicien Alain Turing et cette terminologie (IA) est apparue en 1956 grâce à John McCarthy[3] mais certains lui préfèrent celle de l'informatique heuristique ou de programme intelligent.
L'intelligence artificielle est utilisée dans des assistants en ligne automatisés qui peuvent être vus comme des avatars sur des pages Web. Il doit permettre aux entreprises de réduire leurs coûts d'exploitation et de formation. Une technologie sous-jacente de tels systèmes est le traitement du langage naturel.
Voici quelques exemples : Les chatbots utilisent l'IA pour comprendre les problèmes des clients plus rapidement et répondre plus efficacement. Les assistants intelligents utilisent l'IA pour analyser les informations critiques à partir de grands ensembles de données en texte libre afin d'améliorer la planification.
Piratage des systèmes contrôlés par l'IA : perturber les infrastructures en causant par exemple une panne d'électricité généralisée, un engorgement du trafic ou la rupture de la logistique alimentaire. Chantage à grande échelle : recueillir des données personnelles afin d'envoyer des messages de menace automatisés.
Une des solutions pour créer une intelligence artificielle capable de reconnaissance faciale est le deep learning. L'apprentissage profond en Français est une sous-catégorie du machine learning (y'en a BEAUCOUP d'autres).
L'intelligence artificielle naît en 1956 lors d'une conférence faisant suite à un article d'Alan Turing, cryptologue ayant réussi à casser le code de la machine Enigma durant la seconde guerre mondiale.
Entre autres, Google Assistant permet à l'utilisateur de discuter avec son appareil mobile pour lui demander d'exécuter une commande ou lui poser des questions. Pour faire simple, grâce à l'apprentissage automatique, l'assistant virtuel d'IA peut reconnaître les mots, les noms ainsi que leur contexte.
Tel un super assistant, elle collecte, tri et analyse les données ; apprend et s'ajuste de manière autonome. De la santé à la justice en passant par les transports, les bénéfices du big data sont exponentiels. Zoom sur les avantages de l'intelligence artificielle dans 5 secteurs-clés.
Alors qu'est-ce que l'intelligence artificielle ? Contrairement à la robotique, l'intelligence artificielle ou IA ne traite pas de robots physiques. Elle se concentre sur la fabrication de machines intelligentes et plus précisément de programmes informatiques.
Les machines pensent plus vite que les humains et peuvent être soumises à plusieurs tâches. L'intelligence machine peut être utilisée pour effectuer des tâches dangereuses. Leurs paramètres, contrairement aux humains, peuvent être ajustés. Leur vitesse et leur temps ne sont que des paramètres basés sur des calculs.
Dans certains domaines, l'IA va pouvoir mieux faire les choses que l'Homme. Par exemple, analyser un scanner, conduire une voiture ou un camion. Cela a deux conséquences. Premièrement, le renforcement des capacités humaines, car nous allons mieux faire les choses.
Loin de tous les fantasmes qu'elle charrie, Guy Mamou-Mani, coprésident d'Open, entreprise de services du numérique, plaide pour une utilisation sobre et responsable de l'intelligence artificielle, et plus largement des outils digitaux.
Considérée comme l'un des robots les plus intelligents du monde, Sophia est capable de dessiner le portrait d'une personne à main levée. D'une manière globale, Sophia est un automate animé par une intelligence artificielle dont la dynamique de fonctionnement est basée sur l'anthropomorphisme.
Pour devenir ingénieur en Intelligence artificielle (IA), une formation de base type licence de maths, d'informatique ou de maths informatique est nécessaire. Il convient ensuite de poursuivre sa formation vers un master ou un diplôme d'ingénieur voire un mastère spécialisé ou un doctorat avec une spécialisation en IA.
L'objectif de l'IA est de donner un caractère prédictif à ces données et de généraliser leur utilisation au quotidien et dans tous les secteurs de l'économie et de la société : santé, travail, industrie, agriculture, politiques publiques, etc.
Le développement rapide des technologies de l'intelligence artificielle (IA) a rendu possible son application pratique dans de nombreux domaines de l'activité humaine. Les progrès opérés en matière d'intelligence artificielle ont considérablement accru le niveau d'automatisation des processus métier.
Comme vous pouvez le constater, la robotique et l'intelligence artificielle sont deux choses bien distinctes. La robotique implique la construction de robots alors que l'intelligence artificielle implique une intelligence de programmation.
Ils n'effectuent pas de simulations, ne prennent pas de variables externes en compte, ne réagissent pas aux comportements exceptionnels et ne sont pas capables d'auto-apprentissage. La vraie intelligence artificielle est autonome : elle n'a pas besoin de maintenance humaine et travaille en silence en arrière-plan.