(Passereaux) Membre d'une famille d'oiseaux passereaux, les mésanges.
Dans la forêt amazonienne, vit l'oiseau le plus bruyant au monde. De la grosseur d'un pigeon, l'araponga blanc fait des sons aussi forts que le bruit d'un avion au décollage !
La Sittelle torchepot possède un répertoire de chants et de cris très varié. Son chant retentit dans les forêt de feuillus au printemps. Certains l'appelle "l'oiseau du referendum" car son chant; "oui-oui-oui, oui-oui-oui" est répété avec vigueur (ou conviction).
Celui-ci débute en effet 1 heure et 30 minutes avant le lever du soleil : le premier oiseau à entonner le récital est le rouge-queue noir, suivi de près par le rouge-gorge. Le dernier – l'étourneau sansonnet – s'entend 10 minutes après le lever du soleil.
Le cri habituel du Pouillot véloce est un 'huit' monosyllabique assez doux, caractéristique.
La grue craque, craquette, claquette, trompette ou glapit. Le héron hue (et puis, c'est tout). Le hibou bubule, ulule, tutube, hue, miaule, froue ou il bouboule (et Bill ?). L'hirondelle tridule, trisse, truisotte, ramage ou gazouille.
Qu'il est joli, ce petit roitelet, avec sa crête colorée et ses yeux soulignés de noir ! En France, il s'abrite dans les forêts de feuillus ou dans les sous-bois. On peut entendre son chant particulièrement aigu et répétitif, très proche du "piou-piou" qu'on fait dire à tous les oiseaux.
Antoine Derouaux, ornithologue chez Natagora n'hésite pas longtemps quand on lui décrit le chant qui résonne à 4 heures 30 du matin. «Ce sont les turdidés qui émettent ce chant assez sonore à la fin de la nuit: les merles, rouges-gorges et les grives.»
Le Loriot d'Europe
Le chant du Loriot d'Europe s'apparente communément au sifflement des garçons qui croisent une jolie fille, ainsi il s'agit d'un beau sifflement flûté très typique de cette espèce.
L'air est plus dense le matin
Ah ouais ? Or, qui dit air frais dit air plus dense. Et qui dit air plus dense dit également sons qui portent plus loin. Si les oiseaux chantent le matin aux aurores, c'est parce que c'est le meilleur moment pour dire aux autres, même aux plus éloignés : "Je suis ici chez moi".
Le ricanement très sonore du pivert est souvent entendu avant même d'apercevoir l'oiseau. Ce cri est une note aiguë unique, répétée et qui ressemble à s'y méprendre à un rire moqueur.
Selon les sources et les régions, l'oiseau de la pluie c'est lui ou la mésange charbonnière ou encore le pic vert. Avec son allure insignifiante de moineau déguisé en bécasse, ce n'est qu'en l'observant de près aux jumelles qu'il révèle son plumage riche et cryptique.
8/9 La chouette hulotte
Vous entendez un "hou hou" dans la pénombre ? C'est sûrement la chouette hulotte aussi appelée "chat-huant".
Le 21 octobre, la revue Current Biology a élu l'araponga blanc, l'oiseau le plus bruyant du monde.
La mésange charbonnière est un des premiers oiseaux faciles à reconnaitre au chant. Ses titu titu titu ou tititu tititu tititu sont immanquables. On peut aussi entendre le hennissement aigue de la mésange bleue, très commune dans les jardins.
La grive musicienne peut développer plusieurs motifs différents, chacun sifflé trois ou quatre fois de suite.
Quelques espèces sont connues pour continuer de chanter en pleine nuit aux côtés des vrais nocturnes : l'Alouette lulu, la Locustelle tachetée et bien sûr le Rossignol Philomèle qui est capable de chanter toute la nuit sans s'interrompre et là … on l'entend !!!
La fauvette à tête noire (Sylvia atricapilla) est un oiseau peu facile à observer. En effet, c'est un oiseau rapide et solitaire qui sait se faire discret dans les forêts. Son retour annonce l'arrivée du printemps.
#1 L'hirondelle rustique.
Renard Roux
Les cris de cet animal urbain peuvent ressembler à des cris inquiétants d'humains. Il arrive parfois que des gens pensent que ce sont les sons émis par une personne en détresse ou qui est agressée et ils appellent la police.
L'araponga blanc, l'oiseau qui crie le plus fort au monde.
On entend le pivert / C'est signe de pluie, à coup sûr. Selon la légende, il n'aurait droit de s'abreuver qu'aux seules gouttes d'eau du ciel. C'est pourquoi il se réjouit à l'approche d'une ondée en faisant entendre son rire saccadé : Pllée, pllée, pllée, en gallo et Gleb, gleb, gleb !