Tout d'abord il faut suivre un certain ordre et ne pas faire n'importe quoi : une description obéit à une certaine logique qui est généralement celle du regard. On décrira donc quelque chose comme si on le découvrait avec ses yeux : de haut en bas, du plus proche au plus lointain, de l'ensemble au détail...
Avant de commencer la rédaction, bien définir le but de la description. Commencer la description par une accroche vivante. Choisir un point de vue (une description vue par un personnage ou vue de l'extérieur). Ne pas chercher à tout décrire, mais choisir les éléments significatifs.
Elle a ainsi plusieurs fonctions qui, loin de s'exclurent, se combinent : fonction narrative, de symbole, d'explication et d'information, d'argumentation et enfin de poésie et d'esthétique.
On la reconnaît à l'abondance des verbes de perception, d'éléments visuels, de repères spatiaux, de verbes d'état et de qualificatifs. Elle suit généralement un ordre, par exemple de la tête aux pieds ou d'un plan général à un plan rapproché.
– les verbes d'état (être, sembler, avoir l'air, paraître) et de perception (voir, apercevoir, sentir, toucher, remarquer) pour rendre le passage descriptif plus vivant ; – le choix de l'imparfait ou du présent de description.
-Les temps verbaux : présent, Imparfait de l'indicatif ; etc. pour décrire l'objet. - Les adjectifs de couleurs pour préciser la ou les couleurs de l'objet; - Les types (déclaratifs, exclamatifs) et les formes de phrases (affirmative, négative, emphatique) pour apporter plus d'information sur l'objet décrit.
Il existe plusieurs types de fonctions. On travaillera ici sur les fonctions affines, les fonctions polynômes du second degré et les fonctions homographiques.
Pour structurer sa description, le mieux est d'introduire en donnant une idée générale de l'objet, de l'endroit ou de la personne qu'on va décrire. Ensuite, dans le corps du texte, on s'attarde sur ce qui fait la particularité de cet objet, de ce lieu ou de cette personne.
Un texte descriptif doit fournir au lecteur une image claire d'un évènement, lieu, objet ou d'une personne. Il doit présenter d'excellentes descriptions et des détails sensoriels pertinents. Vous devriez peut-être rédiger un texte descriptif dans le cadre d'un cours ou décider de faire cela juste pour le plaisir.
Décrire une personne, c'est parler de son physique et de son caractère. Parler du physique d'une personne, c'est indiquer ses traits physiques. Parler du caractère d'une personne, c'est indiquer sa manière d'être. Pour tout cela, il y a plusieurs adjectifs qui ont une forme masculine et une forme féminine.
Le choix de quelques détails caractéristiques de la physionomie du personnage permet d'annoncer son portrait moral: Le visage peut être (maigre, osseux, ridé, lisse...). Sa forme (ovale, carré, arrondi...). Le teint (blanc, brun, rose, injecté de sang, bronzé, blême...).
Ecrire une description, c'est partager une « photographie » de ce que vous visualisez en tant qu'auteur. C'est donner à voir au lecteur, mais également à entendre, goûter, sentir et toucher. En effet, il n'y a pas que les décors et les personnages à décrire, il y a aussi les sensations et les sentiments.
Le texte descriptif comporte trois parties importantes :
L'introduction. Le développement. La conclusion.
=> l'imparfait est le temps de la description, on l'emploie pour exprimer une action passée dont la durée est indéterminée. ex: La neige tombait. => le passé simple est le temps de la narration, on l'emploie pour exprimer une suite d'actions.
Pour introduire un portrait dans un récit, on utilisera des verbes de perception, souvent visuelle, ou de mouvement. Le portrait sert avant tout à présenter un personnage essentiel pour l'intrigue, au moment où il apparaît ou bien à un moment important.
L'introduction se divise en trois parties : sujet AMENÉ, sujet POSÉ, sujet DIVISÉ. Les premières lignes de l'introduction doivent présenter, dans un contexte général, la nature du sujet qui sera traité.
Dans l'alphabet, on a dans l'ordre : x, y et z. y est après x, c'est l'image de x. x est avant y, c'est l'antécédent de y.
Soit f une fonction définie sur un intervalle D. On appelle image de x par f le nombre f(x). On appelle antécédent de y le nombre x telle que f(x) = y.