En effet, l'apport d'oxygène est indispensable, en particulier au niveau du cerveau et du cœur, pour assurer sa survie. Au cours d'un arrêt cardiaque, les lésions du cerveau, consécutives au manque d'oxygène, surviennent dès la première minute.
Quand le cœur arrête de battre, la circulation du sang vers les organes, comme le cerveau, est également interrompue.
La victime perd connaissance, tombe, et ne réagit pas quand on lui parle ou quand on la stimule. La victime ne respire pas ou les mouvements respiratoires sont inefficaces, lents et bruyants.
Elle peut présenter les symptômes suivants inconfort à la poitrine ou au haut du corps; sueurs; nausées; essoufflement; étourdissements. La personne halète ou cesse de respirer.
Les séquelles les plus fréquentes quand elles existent sont les atteintes de la mémoire , les syndromes parkinsoniens , l'épilepsie, la cécité corticale (perte plus ou moins importante de la vue en rapport avec l'anoxie du cortex visuel) et des syndromes confusionnels , voire démentiels.
D'après une recherche américaine, les personnes souffrant d'apnée du sommeil présentent un risque beaucoup plus élevé que la normale de mourir d'une crise cardiaque au cours de la nuit.
Le bouche-à-bouche, augmente la pression à l'intérieur du thorax, ce qui diminue le retour veineux, mais aussi la perfusion artérielle coronaire et le débit sanguin cérébral. Si on comprime le thorax pendant le bouche-à-bouche, cela augmente encore la pression thoracique.
Une crise cardiaque est un problème circulatoire (blocage d'un vaisseau qui alimente le cœur en sang) qui peut causer des lésions cardiaques irréversibles. L'arrêt cardiaque a pour origine un problème électro-physiologique (dysfonctionnement électrique du rythme cardiaque).
Essoufflement. Pâleur, sueur et faiblesse générale. Nausées, vomissements et parfois indigestion. Peur et anxiété.
Les gasps sont des mouvements respiratoires agoniques traduisant une souffrance cérébrale hypoxique (manque d'oxygène).
Elle affecte surtout les personnes atteintes du diabète et les personnes de plus de 75 ans. Les facteurs qui augmentent le risque de crise cardiaque sont l'âge (les hommes de plus de 45 ans et les femmes de plus de 55 ans y sont davantage sujets), le tabac, le surpoids ou l'obésité, ainsi que l'hypertension.
Quel est le risque principal d'un arrêt cardiaque sans intervention des secours ? La mort de la victime qui survient en quelques minutes.
L'arrêt cardiorespiratoire (ACR) est l'arrêt de la circulation du sang et de la respiration chez un individu.
Sauf que, lorsque c'est le cœur qui s'arrête en premier, le cerveau le suit au bout d'un maximum de dix minutes. La mort de la personne est donc toujours cérébrale et c'est elle qui est irréversible ; il y a simplement plusieurs manières d'y arriver.
Causes. L'arrêt cardiaque est causé par un problème électrique au niveau du cœur. Il survient lorsque le cœur se met brutalement à battre trop vite au point de "trembler" au lieu d'alimenter en sang le corps et le cerveau.
La mort subite cardiaque se définit comme une mort naturelle avec perte brutale de conscience dans l'heure qui suit le début des symptômes, chez un sujet ayant ou non une maladie cardiaque connue. Le moment et le mode de survenue sont inattendus.
Infarctus du myocarde (IDM)
Il est situé entre les poumons, presque au centre de votre poitrine. C'est le muscle central du corps, et le tout premier organe à se former après la conception. Le cœur est situé dans la poitrine, entre les deux poumons.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Si vous avez aimé bouger sur « Stayin' Alive » des Bee Gees ou « Girls just want to have fun » de Cindy Lauper et que vous avez le sens du rythme, vous allez surement pouvoir réaliser des massages cardiaques facilement.
5 minutes pour agir : pourquoi ? Lors d'une fibrillation ventriculaire, le cerveau souffre très rapidement : il n'est pas alimenté en oxygène car le sang ne circule plus. Au-delà de 5 minutes d'arrêt du coeur, si on ne fait rien, les lésions cérébrales sont irréversibles, puis c'est la mort assurée.
Les symptômes de la crise cardiaque
Souvent, les douleurs irradient dans la mâchoire, le cou, le bras gauche, les épaules, voire dans toute la cage thoracique et la partie supérieure de l'abdomen.
Si la victime est inconsciente et qu'elle ne respire pas, commencez tout de suite la réanimation cardio-respiratoire ou réanimation cardio-pulmonaire, c'est-à-dire le massage cardiaque en alternance avec la respiration artificielle.
Commencez par effectuer 30 compressions thoraciques. Pratiquez ensuite 2 insufflations. Alternez 30 compressions thoraciques et 2 insufflations. Continuez la réanimation jusqu'à ce que les secours d'urgence arrivent et poursuivent la réanimation, ou que la victime reprenne une respiration normale.
Pour cela, il faut contrôler que la poitrine se soulève et se rétracte régulièrement, on peut également mettre son oreille près de la bouche de la victime pour entendre des bruits de respirations. S'il s'avère que la victime respire encore, il n'est pas préconisé de réaliser un massage cardiaque.