Un examen de la vue, des pupilles, des mouvements des yeux et du fond de l'œil ; Un test d'audition ; Un test de langage (capacité à trouver le bon mot par exemple), de lecture, d'écriture ou de dessin ; Des exercices mentaux (calculs simples), tests de mémoire, de compréhension, etc.
En fonction des symptômes et de l'examen clinique réalisé, quatre examens peuvent être réalisés par le neurologue en complément de l'examen clinique à savoir, l'électroencéphalographie (EEG), l'électroneuromyographie (ENMG), l'examen Doppler des vaisseaux du cou et la polysomnographie en cas de troubles du sommeil.
Votre médecin éclaire vos yeux avec une petite lampe. Il observe si vos pupilles se contractent (réflexe photomoteur) ; Vous fixez le nez de votre médecin tandis qu'il déplace ses doigts dans plusieurs directions. Vous devez alors lui dire de quel côté ses doigts bougent (test de confrontation).
Comment se déroule la première consultation ? Elle devrait généralement durer entre 3/4 d'heures et 1 heure 30. Le neurologue interroge le patient avec des questions basiques (âge, traitements, antécédents, profession…) et procède ensuite à l'examen selon les symptômes décrits.
Les symptômes de ces maladies sont variés, des plus bénins aux plus graves : douleurs, troubles de l'équilibre, tremblements, difficulté à avaler, perte de la sensation du toucher, perte de force musculaire, démence, convulsion, coma…
L'électromyogramme des membres supérieurs ou du canal carpien. L'électromyogramme des membres supérieurs ou du canal carpien est un examen qui analyse l'éventuelle compression d'un nerf de la main, sa localisation au canal carpien et le degré de sévérité de la compression.
L'électromyogramme (EMG)
consiste à étudier l'activité électrique du muscle lorsqu'il est au repos et lorsqu'il se contracte sous l'effet de la commande volontaire du patient.
Le neurologue diagnostique et met en place un traitement pour les maladies neurologiques : sclérose en plaques (SEP), maladie d'Alzheimer, épilepsie, Maladie de Parkinson, maladie de Charcot, algie vasculaire de la face, maladie du tremblement essentiel, malformation de Chiari, neurinome de l'acoustique, neuromyélite ...
L'électromyogramme a une mauvaise réputation qui n'est pas justifiée. Elle repose sur l'impression qu'en utilisant une aiguille et du courant, l'examen va être douloureux : il est en réalité au pire un peu désagréable, au mieux, tout à fait supportable.
Qu'est-ce qu'un trouble neurologique fonctionnel ? Les troubles neurologiques fonctionnels (troubles à symptomatologie somatique et apparentés dans le DSM-5) sont des symptômes qui affectent la motricité volontaire, les fonctions sensitives ou sensorielles. La prévalence est de 5 patients pour 10 000 habitants.
Pour l'examen, le patient est assis ou couché, non anesthésié. Lors de l'étude des vitesses de conduction nerveuse, l'enregistrement du muscle est fait par des électrodes adhésives collées sur la peau et la stimulation du nerf par des électrodes aussi sur la peau, positionnées en regard du nerf.
L'IRM est un examen de santé extrêmement précis. Contrairement au scanner, une IRM a l'avantage de ne pas exposer le patient aux rayons X.
Le diagnostic positif est un raisonnement qui se construit à partir d'un maximum de renseignements issus de l'étude des symptômes, de l'histoire de la maladie, des antécédents, de l'examen clinique et des explorations. Ce raisonnement conduit à l'identification de la nature de la maladie.
L'examen est effectué par un technologue et un neurologue. La durée de l'examen varie entre trente minutes et une heure trente, selon la raison de votre consultation. Le jour de l'examen • N'appliquez pas de crème hydratante. Assurez-vous d'avoir les mains et les pieds au chaud avant l'examen.
Le scanner et l'imagerie par résonance magnétique (IRM) permettent également d'explorer les nerfs mais ont l'inconvénient de ne le faire qu'en position couchée.
L'électromyographie est notamment préconisée lorsque le patient souffre d'un des symptômes suivants : douleurs, faiblesses musculaires, picotements, fourmillements, engourdissements…
La maladie de Parkinson est la deuxième maladie neurodégénérative la plus fréquente en France, après la maladie d'Alzheimer.
"On réalise cet examen systématiquement chez tout patient qui se plaint d'un symptôme "neurologique" (maux de tête, vertiges, traumatisme crânien…). Vous pouvez par exemple venir pour une chute et une entorse, mais il est fondamental de vérifier qu'un malaise n'a pas provoqué cette chute."
Faiblesse des muscles des membres, très grosse fatigue, ce sont les manifestations de la myasthénie, une maladie neuromusculaire chronique qui touche 5 Français sur 100 000.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.