Normalement, les avions commerciaux volent à une altitude qui oscille entre 17.000 et 40.000 pieds, ce qui correspond à 5.100 et 12.200 mètres au-dessus du niveau de la mer. Les jets privés peuvent, eux, aller encore plus haut, sans toutefois dépasser le plafond symbolique des 51.000 pieds, soit 15.500 mètres.
Plus on monte en altitude, moins l'air en effet oppose de résistance à l'avion et plus les moteurs sont efficaces. L'avion consomme moins de carburant et pourra voler plus vite.
Parce que c'est l'altitude qui correspond au meilleur compromis entre vitesse et consommation de carburant. A cette hauteur, la densité de l'air est 4 fois plus faible qu'au niveau de la mer. Conséquences : la résistance à l'air diminue d'autant, ce qui autorise l'avion à doubler sa vitesse (environ 1 000 km/h).
La portance devient égale au poids, la poussée devient égale à la traînée et donc en vol en palier, l'avion ne gagne ni ne perd de l'altitude, c'est pour ça que les avions ne tombent pas du ciel.
On estime que la pressurisation devient nécessaire pour les vols à une altitude supérieure à 3 810 m (12 500 ft) ; elle est obligatoire au-dessus de 4 572 m (15 000 ft).
C'est en 1972 que le pilote français Jean Boulet a battu le record d'altitude à bord d'un hélicoptère. Aux commandes de son SA 315B Lama, il a atteint 12.442 mètres de hauteur. Le record mondial d'altitude pour un hélicoptère remonte au 21 juin 1972, et c'est un Français qui le détient !
Un avion est plus lourd que l'air et pourtant il vole. L'une des raisons est que l'avion s'appuie sur l'air. Ses ailes ne sont pas parallèles au sol, elles sont conçues pour être légèrement inclinées vers le haut. Ainsi, elles dévient l'air vers le bas, ce qui crée une poussée vers le haut.
Un avion ne peut pas tomber comme une pierre. S'il perdait ses moteurs, ou s'il était en panne d'essence, il pourrait planer plus d'une demi-heure sur plusieurs centaines de kilomètres !
37.850 mètres. C'est le record d'altitude absolu pour un avion à réaction classique… et pourtant il a été établi il y a plus de 40 ans. C'est le russe Alexandr Vasilievich Fedotov à bord d'un prototype de l'aéronef intercepteur le MiG-25 qui a atteint cette hauteur le 31 août 1977.
L'air qui se déplace plus lentement pousse plus fort sur l'aile que l'air qui se déplace plus rapidement. L'air sous l'aile pousse donc l'avion vers le haut, c'est pour cela que les avions restent dans le ciel et ne tombent pas.
En effet, à 11 000 mètres d'altitude la température extérieure est d'environ -60°C alors que dans le train d'atterrissage, elle varie entre -18 et -12°C d'après une étude américaine publiée en 2002.
L'une des principales raisons pour lesquelles les avions ne peuvent pas voler dans l'espace est qu'il n'y a pas d'air. Selon la NASA, les grands avions commerciaux ne peuvent généralement pas voler à plus de 7,5 miles (11.27 km). À cette altitude, l'air n'est pas assez dense pour supporter un gros avion.
Le SR-71 Blackbird est le détenteur actuel du record. Santos-Dumont le 12 novembre 1906, sur son 14-bis (premier record du monde officiel).
Température de la cabine
La température à bord est maintenue entre 23 et 25 °C.
Quand l'avion avance, grâce à la forme de son aile, l'air qui passe au-dessus de l'aile accélère. La pression de l'air est alors moins forte au-dessus de l'aile qu'en dessous. Ça crée une dépression : ça veut dire que l'aile est aspirée vers le haut. Ça permet à l'avion de voler.
1- Pour répondre à cette question, il convient d'abord de se demander de quel avion parle- t'on. 2- S'il s'agit d'un avion de ligne, la vitesse est en général de 0,7 à 0,8 Mach, c'est à dire environ 900 km/h. 3- Le concorde lui, par contre, volait à Mach 2, soit environ 2400 km/h.
L'avion s'élance sur la piste pour atteindre les 200 à 250 km/h. C'est la vitesse de décollage dite V1. Au-delà de cette vitesse, un pilote est obligé de décoller quoi qu'il arrive car il ne serait plus possible d'arrêter l'avion dans les limites de sécurité prévues.
La température baisse d'environ 10 °C par kilomètre d'altitude. Les avions circulent au sommet de la troposphère puisque l'air y est moins dense (économie de carburant) : c'est le courant-jet.
Le décollage et l'atterrissage sont largement considérés comme les moments les plus dangereux d'un vol.
Le décollage et l'atterrissage d'un avion peuvent causer un véritable stress et de la tension. Il peut alors être judicieux d'opter pour un vol sans escale, si vous avez le choix (et le budget) pour cela.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Ces vols s'effecturont au-dessus des cinq départements des Hauts-de-France dans plusieurs espaces, hors agglomérations, indique la préfecture. Ils permettront aux ingénieurs des laboratoires de "mieux comprendre les processus physico-chimiques de l'atmosphère".
Cette opération, nommée "MANTICORE 2022", permet aux militaires de l'armée de Terre de s'entraîner à "des conflits de haute intensité". Son nom est emprunté à la manticore, créature mythologique ayant un corps de lion, un visage d'homme et une queue de scorpion.
Des raisons techniques et financières
En effet, lors du vol, l'avion est réchauffé par la lumière extérieure du soleil. De ce fait, le blanc reste la couleur qui reflète le mieux la lumière, l'avion se réchauffe donc moins fortement. Une peinture noire provoque exactement l'inverse.
Les hélicoptères classiques ne peuvent dépasser environ 350 km/h.