Les contre-indications permanentes concernent les infections actives connues pour être transmissibles par le sang (hépatites virales, syphilis, infection par le VIH ou par le HTLV, maladie de Chagas, paludisme) ; des situations d'exposition à des agents transmissibles non détectables tels que le prion (séjours de plus ...
On ne donne pas, quand il y a une contre indication médicale. Certaines personnes peuvent même être définitivement exclues du don, en cas par exemple de pathologie cardiaque, vasculaire, ou de diabète. Enfin on rappelle que pour donner son sang il faut avoir entre 18 et 70 ans, et peser plus de 50 kilos.
Antibiotiques. Si vous avez une infection, vous ne devez pas donner de sang. La prise de médicaments pour traiter une infection peut entraîner une interdiction temporaire de donner du sang. Pour savoir quels médicaments sont compatibles avec le don de sang, consultez l'onglet Médicaments ci-dessous.
Un petit malaise n'est pas une contre-indication définitive dans tous les cas, mais peut être révélateur d'une maladie plus grave. Il faut faire une exploration complète pour le savoir, c'est une affaire de spécialiste. Or le médecin de collecte n'est pas spécialiste. S'il a un doute, il peut refuser.
En France, les personnes atteintes de cancer ne sont pas autorisées à donner leur sang même après guérison. Une restriction qui s'appuie sur un strict principe de précaution.
Selon le système de groupes sanguins le plus important, le système ABO combiné au facteur rhésus, le groupe sanguin le plus rare est le groupe AB-, tandis que le plus courant est O+.
Vous pouvez donner du sang si le perçage ou le tatouage remonte à plus de 3 mois.
Pour revenir a la question posée, Non donner ton sang ne te fera pas perdre de poids, car tes calories perdues, car oui tu en perdras en donnant ton sang, seront récupérées par ton organisme, c'est comme faire un jeun d' une journée, après tu auras faim et tu mangeras plus, bougeras moins.
Le don de sang peut stimuler la production de nouvelles cellules sanguines, l'organisme s'efforçant de compenser les pertes de sang. Cela contribue à promouvoir une bonne santé. 2.) Le don de sang à intervalles réguliers peut aider à prévenir l'hémochromatose.
En cas de prise d'aspirines ou d'anti-inflammatoires (Nurofen, Ibuprofen, Perdofemina…), vous pouvez donner du sang, mais pas des plaquettes. En cas de prise d'antibiotiques, vous devez attendre 1 semaine après la fin du traitement ou plus longtemps selon la maladie.
Vous êtes âgé entre 18 et 65 ans. Dans certains pays, la législation nationale autorise les jeunes âgés de 16 à 17 ans à donner du sang à condition qu'ils remplissent les critères physiques et hématologiques requis et qu'un consentement approprié soit obtenu.
L'allaitement n'est pas une contre-indication au don de sang. Par contre, la prise d'antidépresseurs peut être une contre-indication au don, en fonction de l'importance et du traitement associé. Il est donc nécessaire de signaler ce traitement au médecin que vous verrez si vous souhaitez donner.
Après 70 ans révolus, aucun don n'est autorisé, sauf dérogation prévue pour le don de sang de groupe sanguin rare. Ainsi, la prise de risque pour le donneur de plus de 70 ans n'est tolérée qu'à titre exceptionnel, pour des motifs d'urgence thérapeutique ou en cas d'immunisation complexe ou de phénotype rare du malade.
Pour faire un don de sang, vous devez être en bonne santé et peser au minimum 50 kg. Vous pouvez être exclu du don de sang en cas de contre-indications médicales, mais vous ne pouvez pas en être exclu en raison de votre orientation sexuelle.
Les dons de sang, les dons de plasmas et les dons de plaquettes ont des conséquences physiologiques transitoires pour le donneur : Perte du volume dans le corps qui est compensé entre 6 à 8 heures. Diminution du taux d'hémoglobine de 1 à 1,5g qui entraine une augmentation des réticulocytes dans les 10 jours suivants.
nausée, vomissement, évanouissement; fatigue le lendemain du don; inflammation d'une veine du bras (phlébite superficielle).
Riches en vitamine C, les agrumes tels que les oranges, les pamplemousses ou encore les citrons sont parfaits pour prévenir une mauvaise circulation du sang.
Dans les heures qui suivent le don, il est néanmoins conseillé de ne pas pratiquer d'activités fatiguantes ou à risques (conduite prolongée, marche ou station debout prolongée, sports…). Et pour mieux récupérer, hydratez-vous (eau ou jus) avant et après le don.
Après un don, vous avez besoin de produire des globules rouges, vous avez donc besoin de fer. C'est pour cette raison que nous vous incitons à faire attention à votre alimentation après un don. Le déficit en fer peut entraîner un état de fatigue. S'il est important, il peut aussi provoquer une anémie.
Lorsque vous donnez du sang, la quantité recueillie est d'environ 450 ml, soit un peu moins d'un demi-litre ou 2 tasses. C'est peu si l'on considère que le corps d'un adulte moyen en contient environ 5 litres.
Le liquide perdu lors du prélèvement de sang se régénère en l'espace de 24 heures. Pendant ce laps de temps, il importe de boire beaucoup et d'éviter au possible les gros efforts physiques. La formation des globules blancs (=leucocytes) ne demande que quelques jours.
Quant au poids minimum de 50 kg, rien ne devrait changer non plus. «Nous prélevons 450 ml de sang, ce qui n'est pas négligeable pour la santé du donneur, explique Jean-Daniel Tissot. Si nous prenions moins de sang à une personne de moins de 50 kg, c'est la qualité du sang qui ne serait plus optimale.»
Ainsi, le groupe O- est destiné à tout le monde; on l'appelle « donneur universel ». On utilisera donc, entre autres, du sang O- dans les situations d'urgence. À l'inverse, le groupe AB+ peut recevoir du sang de tous les groupes sanguins; c'est donc le groupe appelé « receveur universel ».
Une étude japonaise réalisée en 2004 a montré que le moustique tigre était plus attiré par les individus de groupe sanguin O. Les personnes de ce groupe sanguin auraient 85% de risque supplémentaire d'attirer les moustiques, contre seulement 45 % de risque pour les autres groupes sanguins.
Cela pourrait expliquer pourquoi les personnes de groupe sanguin O, qui possèdent à la fois des anticorps anti-A et anti-B seraient plus en mesure de lutter contre le virus.