Un neuro-oncologue, s'il s'agit d'un cas de méningiome agressif et/ou récidivant. Le spécialiste des cancers qui affectent le système nerveux (le cerveau, mais aussi la moelle épinière).
Le plus souvent, un traitement chirurgical aboutit à une disparition complète du méningiome. Les récidives après exérèse complète sont rarissimes mais elles sont possibles en cas d'ablation incomplète de la tumeur. Celle-ci peut poursuivre sa croissance, en général très lente.
En fonction de l'importance des symptômes ou de la taille et la croissance du méningiome pouvant faire craindre une compression de la zone concernée, l'ablation du méningiome peut être envisagée.
La majorité des méningiomes ne sont pas cancéreux mais bénins et à croissance lente. Cependant, certains peuvent être plus agressifs et localisés dans des zones ou leur résection est périlleuse.
Un scanner et une IRM sont nécessaires pour évaluer la taille, l'emplacement et la vascularisation du méningiome.
La cause précise du méningiome n'est souvent pas connue.
En effet, les personnes qui, pour d'autres motifs, ont eu une radiothérapie crânienne notamment dans l'enfance, ont plus de risques de développer un ou des méningiomes.
Les méningiomes sont des tumeurs des méninges qui peuvent comprimer le tissu cérébral adjacent. Les symptômes dépendent de la topographie de la tumeur. Le diagnostic repose sur l'IRM avec injection de produit de contraste.
Le méningiome est une tumeur bénigne des membranes qui entourent le cerveau et la moelle épinière. Il existe différents traitements pour guérir d'un méningiome, notamment la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. Mais parfois une simple surveillance suffit.
Maladie héréditaire qui atteint le système nerveux.
La survie médiane sans évolution de ce cancer est d'environ 12,8 mois s'il a été traité par chimiothérapie seulement et elle peut aller jusqu'à 5 ans si on a associé une chimiothérapie à une radiothérapie. La survie médiane varie de 7 à 24 semaines. La survie varie selon l'emplacement de la tumeur primitive.
Les maux de tête (ou céphalées) constituent le symptôme le plus fréquent, quel que soit le type de tumeur cérébrale. Ils se manifestent souvent le matin, parfois accompagnés de nausées et/ou de vomissements. Ils sont dus à la masse de la tumeur qui comprime la région où elle est localisée.
Cela dépend du type de tumeur bénigne ou maligne et du stade du cancer. Les tumeurs bénignes sont généralement moins agressives et peuvent souvent être traitées avec succès par chirurgie (craniotomie), chimiothérapie ou radiothérapie. En cas de tumeur au cerveau maligne, le taux de survie se situe entre 20 % et 30 %.
Les examens d'imagerie peuvent détecter des tumeurs cérébrales, mais une biopsie de la tumeur est souvent nécessaire pour la confirmation. Le traitement peut comprendre une intervention chirurgicale, une radiothérapie, une chimiothérapie ou une association de ces traitements.
Amas de cellules non cancéreuses. Une tumeur bénigne n'est pas un cancer, contrairement à une tumeur maligne : elle se développe lentement localement, sans produire de métastases, et ne récidive pas si elle est enlevée complètement.
La tumeur non cancéreuse (bénigne) des tissus mous est une masse qui ne se propage pas à d'autres parties du corps (pas de métastases). La tumeur non cancéreuse ne met habituellement pas la vie en danger.
Les schwannomes vestibulaires ou appelés également neurinome de l'acoustique sont des tumeurs bénignes de la gaine du nerf cochléo-vestibulaire, responsable de l'audition et l'équilibre. Ce sont des tumeurs non cancéreuses, d'évolution lente sur plusieurs années, sans facteur déclenchant identifié.
Le glioblastome représente 20 % de l'ensemble des tumeurs du cerveau. Il se développe rapidement et s'étend dans plusieurs zones du cerveau en même temps. Après un traitement complet (chirurgie et radiothérapie), la progression de la tumeur peut être ralentie ou stoppée pendant plusieurs mois.
Excroissance ou marque sur la peau qui grossit ou change d'aspect. Lésion qui ne cicatrise pas. Ganglions lymphatiques hypertrophiés.
On n'a pas recours aux analyses sanguines pour diagnostiquer une tumeur au cerveau ou à la moelle épinière. Cependant, elle peut fournir des renseignements utiles sur votre état général de santé, le fonctionnement d'autres organes et d'autres affections médicales.
Le développement d'une tumeur du cerveau entraîne parfois des maux de tête, qui apparaissent plutôt le matin au réveil et s'accompagnent souvent de nausées, voire de vomissements.
Un cancer apparaît comme une prolifération incontrôlée de cellules. La masse de cellules cancéreuses grandit et envahit les tissus voisins petit à petit. Cela conduit par la suite à une tumeur qui envahit peu à peu l'organisme et alterne son fonctionnement.
« Une tumeur « bénigne » est un groupe de cellules normales formant une masse qui se développe lentement, n'envahit pas les tissus voisins et ne récidive pas si elle est enlevée : c'est par exemple un grain de beauté, un polype dans l'intestin ou l'utérus, un adénome du sein ou de la prostate.
Le développement d'une tumeur du cerveau entraîne parfois des maux de tête, qui apparaissent plutôt le matin au réveil et s'accompagnent souvent de nausées, voire de vomissements. Ces maux de tête sont provoqués par une augmentation de la pression à l'intérieur du crâne, appelée hypertension intracrânienne.