Certains médicaments ou dispositifs médicaux sont à utiliser avec prudence en cas de traitement par corticoïdes : - les anti-inflammatoires dits « non stéroïdiens » (aspirine, ibuprofène…) ont, comme les corticoïdes, de possibles effets indésirables digestifs.
Pas de contre-indication entre le paracétamol analgésique et la cortisone anti-inflammatoire.
Il ne faut pas combiner les anticoagulants, les anti-vitamines K et les antibiotiques avec de l'alcool. En effet, il existe un risque que l'effet augmente ou diminue après avoir été métabolisé ensemble dans le foie. C'est le cas par exemple de la warfarine qui prévient la formation de caillots sanguins.
un anticoagulant ; de l'aspirine ou un AINS ; un médicament contenant de la carbamazépine, du phénobarbital, de la phénytoïne, de la primidone, de la rifampicine, de la ciclosporine, de l'interféron alfa ou de l'isoniazide.
Évitez de prendre de la prednisone si vous avez fait une réaction allergique à ce médicament. Les personnes atteintes d'une mycose généralisée doivent éviter de prendre ce médicament.
L'association entre un AINS et un corticoïde est possible. Remerciements au Pr Patrick Durez, Rhumatologue à l'UCL Bruxelles, et au Dr Pierre-Dominique Ghislain, Dermatologue à l'UCL Bruxelles.
Cependant, selon divers essais cliniques, d'autres molécules pourraient être utilisées : les corticoïdes (par exemple le prednisolone). Ils représentent bel et bien une option thérapeutique supplémentaire pour soulager les maux de gorge.
Ne pas mélanger avec un anti-inflammatoire ou de l'aspirine. Ne prenez surtout pas de médicament contenant un anti-inflammatoire ou de l'aspirine en même temps que de l'ibuprofène.
Au niveau de l'alimentation, je vous suggère de réduire vos apports en sodium (viandes transformées/charcuteries, aliments en conserves/jus de légumes, fromages, sauces, condiments, repas surgelés et pré-préparés) et en sucres concentrés (sucre, cassonade, miel, produits d'érable, confitures, tartinade de chocolat et ...
Non, il n'y a pas lieu d'associer un AINS et du paracétamol. De la même façon, il ne faut jamais associer deux AINS. Si la douleur ou la fièvre persistent après la prise de l'un ou de l'autre, il faut consulter son médecin traitant qui cherchera la cause du problème pour donner le traitement nécessaire.
Nous prévoyons déjà que OUI ces deux médicaments peuvent être pris en même temps car ils n'interfèrent pas (ce sont un antibiotique et un anti-inflammatoire).
Les interactions médicamenteuses liées à la réponse de l'organisme. On les appelle « interactions pharmacocinétiques ». Contrairement aux interactions pharmacodynamiques, elles ne concernent pas que des médicaments d'une même famille, et sont donc moins facilement prévisibles.
Ce médicament doit être absorbé au cours d'un repas, de préférence en une fois, le matin.
Après une prise orale de corticoïdes, leur absorption par l'organisme est bonne (environ 80%) et rapide (le taux sanguin maximal est atteint entre 1 et 2 heures après la prise). La prednisone (ex : Cortancyl ®) doit être transformée par l'organisme en prednisolone pour être active.
La pratique du sport est très efficace dans le processus d'élimination de la cortisone du corps. En effet, lorsque vous faites des exercices physiques quels qu'ils soient, vous transpirez. Cette transpiration est un excellent moyen pour évacuer les déchets se trouvant dans votre corps.
Les effets indésirables les plus fréquents de ce traitement sont l'apparition de bleus, l'élévation de la tension artérielle, la rétention d'eau et de sel pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des troubles de l'humeur et/ou du sommeil, une prise de poids, un gonflement et une rougeur du visage, une poussée ...
Les corticoïdes ont habituellement un effet dopant initial qui combat la fatigue. Mais en cas d'usage prolongé ou lorsqu'on révèle, à leur interruption, une insuffisance surrénalienne, le phénomène est inverse avec une fatigue nette associée souvent à des douleurs musculaires qui renforcent cette impression de fatigue.
Dans cette catégorie de médicament, le prednisone, le prednisolone et le méthylprednisolone figurent parmi les plus puissants. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) regroupent les médicaments qui réduisent ou suppriment les symptômes associés à une réaction inflammatoire.
Par exemple, les lymphocytes, un type de cellules immunitaires particulièrement important pour la régénération des tissus, sont actifs le soir. En prenant des anti-inflammatoires en soirée, on empêcherait les lymphocytes de faire leur travail de guérison.
Anti-inflammatoires : modalités pratiques
Ils peuvent se prendre ponctuellement, au moment de la douleur (une migraine ou des douleurs de règles par exemple). Lorsqu'une cure courte s'impose, les prises sont réparties dans la journée en deux fois (s'il s'agit d'une libération prolongée) trois fois.
Les corticostéroïdes pourraient améliorer les symptômes du mal de gorge en réduisant l'inflammation des voies respiratoires supérieures.
Sauf indication contraire du médecin, il faut les prendre en une seule prise, le matin. Pourquoi ? Parce que la prise matinale reproduit le rythme naturel de sécrétion du cortisol par les glandes surrénales, qui est maximale autour de 8 heures. Une prise le soir risquerait également d'entrainer des troubles du sommeil.
Ne pas prendre d'anti-inflammatoires quand on a angine
Ils augmentent le risque de complications parfois graves. C'est dû au fait que l'inflammation a pour rôle de contenir l'infection dans une zone restreinte. En diminuant cette inflammation, on augmente le risque d'extension et d'aggravation de l'angine.